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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


L’Ivermectine semble prometteuse pour réduire la transmission du paludisme en Afrique - 14/10/2025 - Nature - Panafricain

Un essai clinique montre une baisse de 26% des infections paludiques après des doses répétées de ce médicament antiparasitaire, mais davantage de preuves sont nécessaires avant d’envisager un changement de politique à l’échelle mondiale.

Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine1, l’Iivermectine, un médicament antiparasitaire, s’avère prometteur dans la lutte contre la transmission du paludisme.

L’étude a révélé que l’administration de doses répétées d’Iivermectine à l’ensemble de la population d’un village entraînait une réduction de 26% des infections paludiques par rapport à celles traitées à l’Albendazole, un autre médicament antiparasitaire, qui servait de contrôle. Elle a été coordonnée par l’Institut de santé mondiale de Barcelone (ISGlobal), en collaboration avec le Centre de recherche en santé de Manhiça et le Programme de recherche du Kenya Medical Research Institute-Wellcome Trust.

« Nous avons trouvé un nouveau moyen de lutter contre le paludisme », déclare Marta Maia, chercheuse spécialisée dans le paludisme au KEMRI-Wellcome Trust, qui a participé à l’étude. Les chercheurs ont administré de l’Ivermectine ou de l’Albendazole au début de la saison des pluies, une fois par mois pendant trois mois, à 15 271 participants dans le comté de Kwale au Kenya et à 13 661 participants dans la région de Mopeia au Mozambique. Les enfants âgés de 5 à 15 ans ont été testés pour le paludisme pendant six mois après le premier traitement. Tous les participants ont utilisé des moustiquaires. Comme l’essai mesurait les taux au fil du temps plutôt que le nombre total de cas parmi les participants, l’article ne précise pas combien de personnes en somme ont contracté le paludisme, mais seulement le taux de nouvelles infections par rapport au temps d’exposition au risque. Dans le groupe traité à l’Ivermectine, l’incidence du paludisme était de 2,20 infections par enfant-année à risque. Dans le groupe témoin (Albendazole), elle était de 2,66 infections par enfant-année à risque. C’est a dire, il y a eu une réduction de 26% des infections paludiques chez les participants ayant reçu de l’Ivermectine par rapport à ceux ayant reçu de l’Albendazole... - Lire cet article


Pr Eva Marie Coll Seck : “On ne peut pas être souverain en Afrique si on dépend des autres” - 13/10/2025 - Seneweb - Panafricain

En prélude à la 8ᵉ édition du Forum Galien Afrique et au 5ᵉ Prix Galien Afrique, le Réseau des Médias Africains pour la Promotion de la Santé et de l’Environnement (REMAPSEN) a organisé un webinaire consacré au thème de cette édition : « Souveraineté sanitaire, un impératif pour l’Afrique ». La présidente de Galien Afrique, Pr Eva Marie Coll Seck, y a lancé un message fort : l’Afrique doit cesser de dépendre des autres pour espérer être souveraine sur le plan sanitaire.

Un forum pour penser la santé africaine autrement

Le Forum Galien Afrique se tiendra à Dakar du 28 au 31 octobre 2025, avec plus de 500 participants en présentiel et 1 500 en ligne.Selon la Pr Eva Marie Coll Seck, cette 8ᵉ édition revêt une importance particulière. “Ce forum, qui se déroule désormais sur quatre jours, doit permettre aux Africains de penser, réfléchir, agir et proposer des réformes concrètes sur les grandes thématiques de santé qui les concernent directement”, explique-t-elle.

Depuis sa création, le Forum Galien Afrique a abordé des sujets majeurs tels que les maladies non transmissibles (hypertension, diabète), les maladies épidémiques, la pandémie de Covid-19 ou encore la couverture sanitaire universelle. Cette année, le mot d’ordre est clair : la souveraineté sanitaire. Des innovations et une dynamique inclusive

La présidente de Galien Afrique annonce plusieurs innovations : un forum des jeunes, un forum des femmes et un forum scientifique.“Nous aurons des femmes chercheuses, communautaires, politiques et leaders pour échanger sur la souveraineté sanitaire. Les jeunes aussi auront leur espace d’expression, car ils incarnent l’avenir de la santé africaine”, précise-t-elle. L’approche se veut participative et transversale, avec la volonté de croiser les regards entre chercheurs, décideurs politiques et acteurs communautaires... - Lire cet article


Forum Galien Afrique 2025 : Un rendez-vous incontournable pour la santé et l’innovation sur le continent - 10/10/2025 - Sidwaya - Panafricain

Le Réseau des médias Africains pour la promotion de la santé et de l’environnement (REMAPSEN) a organisé un webinaire avec Galien Africa le mercredi 8 octobre 2025 sur le Thème : Organisation du 8ème Forum Galien Afrique et du 5ème Prix Galien Afrique.

Le Forum Galien Afrique s’impose, au fil des années, comme une plateforme majeure de réflexion et d’action sur les enjeux de santé publique et de recherche sur le continent. À quelques semaines de sa 8ᵉ édition, prévue du 28 au 31 octobre à Dakar, les organisateurs et partenaires ont dévoilé les grandes lignes de cette rencontre axée sur la souveraineté sanitaire, un thème qualifié d’« impératif pour l’Afrique ». L’information a été donnée au cours d’un webinaire avec les journalistes membres du REMAPSEN le 8 octobre 2025. «Le Forum Galien Afrique permet aux Africains de penser, réfléchir et proposer des réformes adaptées à leurs réalités sanitaires », a déclaré la Présidente de Galien Africa, Pr Awa Marie Coll Seck. Elle a rappelé que l’initiative trouve son origine dans la Fondation Galien, basée à New York, qui vise à récompenser les innovations pharmaceutiques et médicales à travers le monde.

Créée à l’origine pour mettre en lumière les découvertes dans le domaine des médicaments et des vaccins, la Fondation a essaimé dans plusieurs pays avant que le Sénégal ne devienne le premier représentant du continent africain. « Nous avons voulu qu’en Afrique, le Forum prenne une dimension plus large, avec quatre jours de débats, contre une seule journée ailleurs », a expliqué le Pr Awa Marie Coll Seck. L’événement rassemble chaque année plus de 2 000 participants, dont 500 en présentiel... - Lire cet article


Régulation pharmaceutique - L'Ethiopie devient le neuvième pays africain à atteindre le niveau de maturité 3 - 03/10/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Le 30 septembre 2025, l'Autorité éthiopienne des aliments et des médicaments (EFDA) est devenue le neuvième pays africain à atteindre le niveau de maturité 3 (ML3) dans le cadre de l'outil d'étalonnage mondial des systèmes réglementaires de l'Organisation mondiale de la santé. Cela signifie que l'Éthiopie dispose désormais d'une autorité réglementaire stable et fonctionnelle, capable de garantir la sécurité, la qualité et l'efficacité des produits médicaux pour sa population. Voici comment cela transforme l'environnement réglementaire de l'Afrique.

Il s'agit d'un moment décisif pour le continent. La réussite de l'Afrique en matière de réglementation dépend de la maturité de ses ARN, de son leadership politique, de l'alignement de ses régulateurs - et de la volonté des institutions continentales de respecter le rôle de l'AMA. medicines for africa (mfa) appelle les ARN qui travaillent à la réalisation du niveau ML3 et celles qui sont en passe d'atteindre la norme la plus élevée du niveau ML4 à continuer. Grâce à votre leadership, l'Afrique a une chance de changer l'image des médicaments dangereux... - Lire cet article


Afrique de l’Ouest : la NAFDAC alerte sur la vente de faux médicaments contre le paludisme - 17/09/2025 - L-FRII - Panafricain

De faux médicaments contre le paludisme et des antibiotiques falsifiées sont en vente au Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique, a alerté la NAFDAC ce mercredi 17 septembre 2025 sur X.

En effet, l’Agence nationale pour l’alimentation et le contrôle des médicaments (NAFDAC) a lancé, le 10 septembre 2025, une alerte publique concernant la mise en vente au Nigeria de deux produits falsifiés et de qualité inférieure : ARTEMETRIN DS (Artemether/Lumefantrine) et CIPROFIT 500 (Ciprofloxacine).

Ces médicaments, censés être fabriqués par deux laboratoires basés à Enugu (A.C. Drugs Ltd et Impact Pharmaceutical Ltd), ont été testés en laboratoire.

Risque d’inefficacité de l’ARTEMETRIN DS à traiter le paludisme

Selon les résultats, l’ARTEMETRIN DS contrefait ne contient que 59,2 % d’artéméther et 71,2 % de luméfantrine. L’alerte de la NAFDAC indiquent que ces pourcentages se trouvent en dessous des normes de 90 à 110 %.

L’artéméther et la luméfantrine sont utilisés dans le traitement du paludisme, une maladie qui touche près de 250 millions de personnes en Afrique, selon un rapport de 2024 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Selon l’institution onusienne, les décès liés au paludisme en Afrique surviennent plus au Nigeria (30,9 %), en RDC (11,3 %), au Niger (5,9 %) et en Tanzanie (4,3 %).

Par ailleurs, l’OMS souligne que la région ouest africaine en majorité francophone, représente 48 % des cas de paludisme et 52 % des décès dus au paludisme dans le monde. Pourtant, cette zone ne représente que 10 % de la population mondiale exposée au risque de paludisme... - Lire cet article


Pharma Expo 2025 : l’Afrique veut renforcer son industrie pharmaceutique - 16/09/2025 - Agence d'information d'Afrique Centrale - Panafricain

La deuxième édition de Pharma Expo a rassemblé à Douala, au Cameroun, plus de 1 700 participants autour de l’ambition de bâtir une industrie pharmaceutique africaine durable et tournée vers l’innovation. De l’import-substitution à la valorisation des savoirs traditionnels, en passant par la lutte contre les faux médicaments, cet événement a marqué un tournant pour l’avenir sanitaire du continent.

Pharma Expo 2025 a fermé ses portes le week-end dernier après trois jours d’échanges, de partages de savoirs et d’innovations. Les principaux acteurs du secteur pharmaceutique ont été représentés, dont des chercheurs, des étudiants, des professionnels de santé, des autorités de régulation, des décideurs politiques, y compris des tradipraticiens. « Nous avons eu le plaisir d’accueillir une cinquantaine d’étrangers accompagnés de leurs délégations. Parmi les participants figuraient également des tradipraticiens, du personnel médical (infirmiers, dentistes, médecins)», s’est réjoui Dr Franck Dange Nana, président de l’Ordre des pharmaciens du Cameroun.

L’import-substitution a été le sujet central de cette édition, mettant l’accent sur une stratégie qui vise à favoriser la production locale de médicaments pour réduire la dépendance aux importations. Des centaines de milliards de FCFA sont chaque année englouties dans l’achat de médicaments importés. Pour le Pr Emmanuel Albert Mpondo Mpondo, président du Conseil scientifique du Cameroun, le continent réaliserait une économie importante s'il arrive à réduire de moitié ses dépenses d’importation de médicaments. « L’impact serait colossal sur notre économie et notre souveraineté », a-t-il souligné.

Au-delà des chiffres, cette stratégie est perçue comme une opportunité de création d’emplois, de transfert de technologies et surtout d’amélioration de l’accès aux soins, notamment dans les zones reculées.

Autre thématique forte : la valorisation des médicaments traditionnels améliorés. En s’appuyant sur les savoirs ancestraux, le Cameroun souhaite développer une médecine intégrée, fondée sur des solutions locales mais validées scientifiquement. Selon le Pr Denis Wouessidjewe, doyen-assesseur de la filière pharmacie de l’Université des Montagnes, à Bangangté, chaque pays doit désormais garantir son autonomie pharmaceutique. L’intégration des médecines traditionnelles dans la recherche scientifique, a-t-il ajouté, est une voie prometteuse... - Lire cet article


Surveillance et sécurité des produits de santé : 21 agences de pays africains en session à Dakar - 15/09/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Panafricain

Dakar, 15 sept (APS) – Des agences de réglementation pharmaceutique de 21 pays africains participent à une formation sur la surveillance des produits de santé et la sécurité sanitaire, ouverte lundi à Dakar, en vue d’assurer un alignement des politiques réglementaires concernant les médicaments et les vaccins.

Selon le directeur de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique, docteur Alioune Ibn Abou Talib Diouf, cette initiative regroupant 12 pays au début s’étend désormais à 9 autres pays, “tous actuellement à Dakar” pour cette formation prévue pour deux jours.

Des autorités nationales, des partenaires techniques et financiers et des experts participent à ce 7ᵉ comité de pilotage du Programme de surveillance intelligente de la sécurité de l’Union africaine (AU-3S).

Les participants sont appelés à “discuter des mécanismes de renforcement de capacité des agences de réglementation pharmaceutique sur la pharmacovigilance, mais également des mécanismes d’harmonisation et d’alignement des politiques réglementaires concernant les médicaments et les vaccins”, a-t-il expliqué.

La pharmacovigilance “permet de travailler beaucoup sur la qualité du médicament et sa sécurité”, a souligné docteur Alioune Ibn Abou Talib Diouf à l’ouverture de la rencontre.

“Lorsque le médicament est commercialisé, il est important de surveiller au niveau des utilisateurs, donc de la population et des consommateurs, de voir s’il y a des effets secondaires ou des effets inattendus, ou des effets qui peuvent être néfastes pour l’utilisateur”, a-t-il ajouté... - Lire cet article


Partenariat AES-OMS pour couvrir les besoins en médicaments - 14/09/2025 - Deutsche Welle Afrique - Panafricain

Selon le ministre nigérien de la Santé, l'objectif de son pays, mais aussi du Mali et du Burkina Faso, est d’abord de renforcer la fabrication locale de produits pharmaceutiques pour ne plus dépendre des firmes étrangères.

Mais cette volonté de souveraineté et d’indépendance de l'AES en matière d’approvisionnement ne peut pas couvrir l’ensemble des besoins en médicaments dans ces trois pays, selon un pharmacien malien joint à Bamako par la DW.

Difficultés dans l'approvisionnement

Seyni Halidou, vit à Niamey, ce pharmacien nigérien explique pour sa part que le circuit d’acheminement des médicaments depuis le coup d’Etat du 26 juillet 2023 est devenu long et entravé par des attaques terroristes sur la route entre le Burkina Faso et le Niger.
"Pour éviter les pénuries de produits pharmaceutique, dit-il, sa pharmacie lance les commandes 3 à 4 mois avant la fin du stock"... - Lire cet article


L’Ouganda propose des réglementations de santé plus strictes - 14/09/2025 - Les pharaons - Panafricain

Une nouvelle loi introduite au Parlement ougandais créerait une nouvelle agence pour réglementer les médicaments, les dispositifs médicaux et autres produits de santé.

Le gouvernement de l’Ouganda a proposé un projet de loi qui introduirait une réglementation plus stricte des médicaments, des dispositifs médicaux et des suppléments nutritionnels, et réglementerait les cosmétiques pour la première fois.

Le projet de loi sur la National Drug and Health Products Authority, 2025, a été présenté au Parlement le 4 septembre par le ministre d’État à la Santé Anifa Kawooya.

Le projet de loi abrogeait et remplacerait la loi de 1993 sur la politique et l’autorité nationale de la politique des drogues pour inclure la réglementation des pharmacies, des versions de vaccins, des rappels de médicaments, des installations illégales, des cosmétiques, des dispositifs médicaux et des suppléments nutritionnels. Il réglementerait également les écrans solaires et autres produits de santé.

Un aspect clé de la législation serait la création de la National Drug and Health Products Authority pour superviser la fabrication, l’enregistrement et la distribution des médicaments, ainsi que des essais cliniques et des dispositifs médicaux.

Dans les remarques publiées par le site officiel de l’Assemblée législative, le ministre a déclaré au Parlement: «La loi de 1993 est dépassée. Avec les nouvelles technologies, les professions de la santé en évolution et les normes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), notre cadre réglementaire doit se moderniser.»

«Nos citoyens sont confrontés à des risques de drogues, de cosmétiques et d’appareils non réglementés. Ce projet de loi donne à l’Ouganda de réglementer, tester et rappeler des produits nocifs, protéger la santé publique», a-t-elle ajouté... - Lire cet article


Problèmes liés à l'automédication pour le paludisme en Afrique subsaharienne : Une revue systématique de la littérature et une méta-analyse - 04/09/2025 - APIDPM - Panafricain

Le paludisme est l'une des principales causes de mortalité en Afrique subsaharienne, qui concentre plus de 90 % des cas et des décès dans le monde. L'automédication à base d'antipaludiques est une pratique courante dans la région, principalement en raison de la forte endémicité du paludisme, de la pauvreté et de la difficulté d'accès aux services dans les structures officielles. L'automédication contre le paludisme est impliquée dans la tendance à la hausse de la résistance aux médicaments antipaludiques, qui menace les progrès réalisés depuis des décennies dans la lutte contre la maladie. Des études antérieures ont quelque peu détaillé les raisons de l'automédication contre le paludisme et les facteurs qui la motivent, mais elles n'ont pas été en mesure d'estimer la prévalence globale de cette pratique et son évolution dans le temps en fonction de la période, de la région et du pays.

En raison des facteurs sous-jacents qui motivent cette pratique, les autorités sanitaires et les organismes de réglementation en Afrique subsaharienne devraient intensifier leurs actions en intégrant les acteurs du marché informel des médicaments dans un cadre qui prône une utilisation éclairée des médicaments antipaludiques dans la prise en charge de la maladie... - Lire cet article




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