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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Le Pharmaceutical Inspection Co-operation Scheme (PIC/S) établit un accord de coopération avec l'Agence de développement de l'Union africaine - 12/02/2025 - Regulatory Affairs Professionals Society - Panafricain

Le Pharmaceutical Inspection Co-operation Scheme (PIC/S) a récemment annoncé un nouvel accord avec l'Agence de développement de l'Union africaine - Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (AUDA-NEPAD) afin de partager des informations sur les bonnes pratiques de fabrication (BPF) pour les produits pharmaceutiques et les ingrédients pharmaceutiques actifs (IPA). Cet accord vise à renforcer les capacités des autorités réglementaires nationales (ARN) africaines en matière de BPF.

L'AUDA-NEPAD s'est également vu accorder le statut de membre associé, ce qui constitue la première étape vers l'obtention du statut d'autorité participante PIC/S.

L'accord de coopération vise notamment à faciliter les processus de préadhésion et d'adhésion au PIC/S pour les ARN membres de l'Agence africaine des médicaments (AMA), à assurer la formation des inspecteurs et à participer aux réunions de l'autre partie.

L'AUDA-NEPAD a annoncé que "ce partenariat marque une étape importante dans l'avancement des bonnes pratiques de fabrication (BPF) dans le paysage pharmaceutique africain, garantissant des médicaments de meilleure qualité pour la population du continent"... - Lire cet article


Accord entre les autorités africaines de régulation des médicaments pour une collaboration renforcée - 12/02/2025 - 37 degrés - Panafricain

Les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC) et l’Agence de Développement de l’Union Africaine ont procédé au début du mois de février 2025 à la signature d’un mémorandum d’entente (MoU) entre les Autorités Nationales de Régulation (ANR) africaines ayant atteint le niveau 3 de maturité de l’OMS.

Ces agences ont mis en place des systèmes solides pour garantir la sécurité, l’efficacité et la qualité des produits médicaux, conformément aux normes réglementaires internationales.

Africa CDC ont indiqué dans un communiqué que « cet accord marque une étape importante dans le renforcement des systèmes réglementaires à travers le continent, en favorisant la collaboration et la reconnaissance mutuelle des décisions réglementaires entre les agences signataires »... - Lire cet article


Cette alliance de 7 géants africains veut accélérer l’accès aux médicaments pour 1,3 milliard de personnes : un tournant historique - 11/02/2025 - Afriquenligne - Panafricain

Le continent africain franchit un pas décisif vers l'harmonisation de ses systèmes de santé avec un accord inédit entre ses principales autorités de régulation des médicaments.

Le 4 février 2025 marque une date clé pour le secteur de la santé en Afrique. En effet, un accord historique a été signé au Caire, Égypte, entre les principaux organismes de réglementation des médicaments du continent. Ce mémorandum d’entente, élaboré sous l’égide de l’Africa Centres for Disease Control and Prevention (Africa CDC) et de l’African Union Development Agency – New Partnership for Africa’s Development (AUDA-NEPAD), vise à harmoniser les pratiques réglementaires et à renforcer la coopération entre ces entités. L’objectif principal est de garantir la sécurité, l’efficacité et la qualité des produits médicaux, tout en respectant les normes internationales. Cette initiative promet de transformer le paysage de la santé en Afrique, en facilitant l’accès rapide à des médicaments essentiels pour ses populations... - Lire cet article


Catastrophe en Afrique : 1 médicament sur 5 est faux ou défectueux, un défi sanitaire colossal pour le continent - 17/01/2025 - Afriquenligne - Panafricain

En Afrique, près d'un médicament sur cinq est de mauvaise qualité, mettant en péril la sécurité des patients et exigeant des mesures urgentes pour renforcer les systèmes de santé.

La question de la qualité des médicaments en Afrique est un sujet de préoccupation majeur pour la santé publique. Selon une récente étude, environ 22,6 % des médicaments sur le continent sont soit contrefaits, soit de mauvaise qualité. Ce chiffre alarmant souligne l’ampleur des défis auxquels sont confrontés les systèmes de santé africains. Ces médicaments de qualité inférieure ne se contentent pas de compromettre les traitements médicaux, mais ils posent également un risque significatif pour la vie des patients. Les causes de ce problème sont multiples, impliquant des réglementations inadéquates, des chaînes d’approvisionnement inefficaces et une forte dépendance à des fournisseurs peu fiables. Face à cette situation critique, il est impératif de prendre des mesures urgentes pour améliorer la qualité des médicaments et assurer la sécurité des patients. Explorons les différentes facettes de ce problème complexe et les solutions possibles pour y remédier... - Lire cet article


Plan de fabrication pharmaceutique pour l’Afrique : Michel Sidibé appelle à repenser complètement les approches - 18/12/2024 - Sud Quotidien - Panafricain

Dans le cadre de la relance de l’industrie pharmaceutique en Afrique, Michel Sidibé, Secrétaire Exécutif de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD) a appelé hier, mardi 17 décembre à Dakar, les acteurs à repenser complètement les approches et à passer à l’action.

Pour Michel Sidibé, Secrétaire Exécutif de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), la maladie mondiale se trouve en Afrique et pratiquement 25% des vaccins consommés au niveau mondial , les sont en Afrique.

« Nous ne produisons pas et il faut entre réaliste, nous sommes réellement dépendants de l’extérieur. Cette situation nous rend vulnérables, elle fragilise nos chaines d’approvisionnement, elle limite aussi notre capacité à réagir aux urgences sanitaires », fait-il remarquer.

Face à cette préoccupation, des experts dans le domaine pharmaceutique et médicale ont réfléchi sur un plan de fabrication pharmaceutique à mettre en place pour aller vers la souveraineté. De l’avis secrétaire exécutif du Nepad, Michel Sidibé, pour arriver à ce plan, il faut tout simplement repenser complètement les approches... - Lire cet article


Résistance aux antimicrobiens en Afrique de l’ouest : l’institut Pasteur s’implique - 17/12/2024 - Sud Quotidien - Panafricain

L’ Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS) et l’Institut Pasteur de Dakar, avec le soutien du Fonds Mondial ont lancé hier, lundi 16 décembre, un projet stratégique pour renforcer la surveillance de la résistance aux antimicrobiens (RAM) en Afrique de l’Ouest. Une assemblée générale qui a réuni des décideurs, microbiologistes et techniciens de laboratoire de la CEDEAO pour valider le projet WARIL-EQA-RAM, visant à améliorer la qualité des laboratoires et à créer un réseau collaboratif régional.

La résistance aux antimicrobiennes ne concerne pas uniquement la santé humaine, elle l’est aussi pour la santé animale à cause de l’utilisation des antibiotiques qui peut être nuisible pour l’humanité si elles sont mal prises. Pour une régulation de ces molécules, l’ Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS) et l’Institut Pasteur de Dakar, avec le soutien du Fonds Mondial ont lancé hier, lundi 16 décembre, un projet stratégique pour renforcer la surveillance de la résistance aux antimicrobiens (RAM) en Afrique de l’Ouest. Une rencontre qui s’est ouverte à l’’institut Pasteur de Dakar. Pour les organisateurs, l’objectif de cet événement est de générer des données fiables et précises pour mieux répondre à cette menace mondiale.

« Cet événement marque un tournant crucial pour harmoniser les efforts et renforcer la réponse collective ouest-africaine face à la résistance aux antimicrobiens », relève-t-on sur la note de presse.

Pour le conseiller technique numéro 1 du ministre de la santé et de l’action sociale (Msas), venu présider la cérémonie, les résistances antimicrobiens concernent actuellement même le secteur de la pêche avec l’aquaculture mais aussi le secteur agricole avec l’agriculture et même le service du commerce... - Lire cet article


La lutte contre la résistance aux antimicrobiens implique une approche holistique - 17/12/2024 - Agence de Presse Sénégalaise - Panafricain

Dakar, 17 déc (APS) – Le Dr Mamadou Sarr, conseiller technique du ministre de la Santé et de l’Action sociale (MSAS), a souligné, lundi, l’importance d’avoir une approche holistique dans le domaine de la santé humaine et de la santé animale, pour faire face à la résistance aux antimicrobiens, qui constitue un problème de santé publique en Afrique de l’Ouest.

"La résistance aux antimicrobiens ne concerne pas uniquement la santé humaine. Elle concerne aussi la santé animale, parce que les médecins vétérinaires utilisent aussi des antibiotiques", a-t-il rappelé.

Cet état justifie "la nécessité d’avoir non seulement une vision holistique, mais [aussi] une approche holistique". Une telle approche "va permettre à chacun de ces secteurs (…) de pouvoir faire des interventions sur les déterminants impactant négativement sur la question de la résistance aux antibiotiques", a-t-il souligné.

Le Dr Mamadou Sarr prenait part à une assemblée générale marquant le lancement d’un projet stratégique destiné à renforcer la surveillance de la résistance aux antimicrobiens (RAM) en Afrique de l’Ouest. Ce projet est initié par l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) et l’Institut Pasteur de Dakar (IPD) avec le soutien du Fonds mondial.

Selon le Dr Sarr, "la résistance aux antimicrobiens concerne actuellement même le secteur de la pêche avec l’aquaculture, le secteur agricole avec l’agriculture, mais aussi (…) le service du commerce".

Il s’agit d’une question qui est "holistique", a-t-il affirmé. Il suggère de "voir la résistance aux antimicrobiens à partir de la prescription jusqu’à la délivrance par le pharmacien, mais aussi jusqu’à l’administration, c’est-à-dire à la prise du médicament par le patient"... - Lire cet article


Production pharmaceutique : la dépendance de l’Afrique est une source de vulnérabilité (Michel Sidibé) - 17/12/2024 - Agence de Presse Sénégalaise - Panafricain

Dakar, 17 déc (APS) – L’ancien directeur exécutif du Programme commun des Nations unies sur le VIH/Sida (Onusida), Michel Sidibé, a déploré mardi la vulnérabilité liée à la dépendance vis-à-vis de l’extérieur dont souffre l’Afrique dans le domaine de la production pharmaceutique, situation qui, selon lui, limite la capacité du continent à réagir aux urgences sanitaires.

"Nous ne produisons pas et il faut être réaliste, nous sommes réellement dépendants de l’extérieur. Cette situation nous rend vulnérables, elle fragilise nos chaînes d’approvisionnement, elle limite aussi notre capacité à réagir aux urgences sanitaires", s’est désolé M.Sidibé.

Il prenait part à l’atelier international sur l’engagement stratégique des pôles de santé et du développement des compétences appuyé par l’Agence africaine de développement (Auda-Nepad), qui se tient de mardi à mercredi à Dakar.

"Pour avoir un impact, le plan a ciblé 24 produits médicaux qui répondent aux défis sanitaires majeurs du continent", a expliqué M. Sidibé.

Selon le directeur exécutif d’Onusida, les produits ont "été catégorisés en fonction des problèmes qui nous affectent quotidiennement (…)".

Michel Sidibé signale que "pratiquement 25% des vaccins produits au niveau mondial sont consommés en Afrique".

De l’avis de l’ancien secrétaire exécutif de l’Onusida, le plan de fabrication pharmaceutique de l’Afrique est "plus qu’une vision". Il s’agit d’une nécessité pour renforcer vraiment la fabrication pharmaceutique régionale... - Lire cet article


Atteindre de l’autonomie en vaccins, tests de diagnostic et médicaments en Afrique : Bassirou Diomaye Faye appelle les acteurs à une concertation et coopération - 14/12/2024 - Sud Quotidien - Panafricain

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a lancé un appel à une concertation et coopération actives entre les différents producteurs, les agences nationales de réglementation pharmaceutiques, le secteur privé, les chaines d’approvisionnement, les universités et les centres de recherche dans les différents pays africains pour faire émerger l’écosystème africain de l’industrie pharmaceutique qui permettra d’atteindre l’autonomie en vaccins, tests de diagnostic et médicaments en Afrique. Cet appel a été fait hier, vendredi 13 décembre lors de la célébration du centenaire de l’Institut Pasteur de Dakar qui a conduit à la visite du Vacinôpole de Diamniadio.

« C’est avec un immense plaisir et un sentiment de fierté que je me tiens devant vous aujourd’hui pour célébrer un jalon important de l’histoire de notre Nation et du continent africain : le centenaire de l’Institut Pasteur de Dakar. Une institution qui, depuis sa fondation, incarne l’engagement du Sénégal dans la lutte contre les maladies infectieuses et la promotion de la santé publique »... - Lire cet article


L'accès aux médicaments en Afrique du point de vue de la réglementation pharmaceutique - 15/11/2024 - DIA Europe, Middle East & Africa - Panafricain

Imaginez que vous soyez un patient atteint d'une maladie chronique non transmissible (comme le diabète ou l'hypertension) en Afrique. Vous devez constamment vous rendre dans les centres de santé locaux pour un suivi et, la plupart du temps, vous rentrez chez vous sans les médicaments nécessaires pour gérer votre glycémie et votre tension artérielle. Au fil du temps, alors que vous vieillissez et que vous avez peu d'argent à dépenser (surtout avec tant de personnes à charge dans la famille), votre santé se détériore, car les maladies susmentionnées commencent à affaiblir votre vue et à endommager vos reins. Très vite, vous vous retrouvez à devoir subir des interventions plus coûteuses, pouvant aller jusqu'à la transplantation d'un rein. Si vous avez beaucoup de chance, vous pouvez survivre encore quelques années. Mais votre mauvaise qualité de vie exige de plus en plus de soins de la part des membres de votre famille, qui doivent désormais cesser de prendre soin d'eux-mêmes, en étant économiquement productifs, pour s'occuper de vous.

C'est malheureusement l'histoire de nombreuses personnes ici en Afrique et elle se répète dans la plupart des régions où sévissent des maladies. Malgré les progrès technologiques, l'accès à des soins de santé de qualité reste une chimère pour de nombreuses personnes en Afrique. Le manque d'accès en temps voulu à des médicaments de bonne qualité est l'un des principaux facteurs à l'origine de ces mauvais résultats en matière de santé. La médiocrité des infrastructures de soins de santé, l'absence de systèmes de remboursement des frais de santé et l'insuffisance du financement des soins de santé sont d'autres facteurs qui continuent d'aggraver la situation.

Un autre facteur négatif, comme une pandémie silencieuse en Afrique, a été la faiblesse des systèmes réglementaires pour les produits de santé, et divers systèmes réglementaires à différents niveaux de maturité qui s'avèrent trop fragmentés et inefficaces pour faire du bien aux patients dans leurs juridictions. Des médicaments de mauvaise qualité nuisent aux patients dans les pays où les systèmes réglementaires sont faibles, voire inexistants, tandis que des complications administratives inutiles retardent l'approbation réglementaire et l'accès des patients à des produits de qualité dans d'autres pays.

Nous avons vu, par exemple, un nouveau médicament pour la gestion des complications des maladies cardiovasculaires lancé dans l'UE et aux États-Unis n'être disponible pour les patients de certains pays africains que plus de cinq (5) ans plus tard et, dans certains cas, jusqu'à neuf (9) ans plus tard. Si ce retard et d'autres sont principalement imputables à la lenteur des processus réglementaires, d'autres facteurs incluent le manque d'intérêt des entreprises pour le lancement de nouveaux médicaments en Afrique, en raison parfois de l'imprévisibilité de l'environnement réglementaire.

Heureusement, la situation en Afrique s'est grandement améliorée au cours des cinq dernières années, peut-être grâce aux récents événements de santé publique qui ont forcé les différentes parties prenantes à penser et à agir différemment, y compris, mais sans s'y limiter, la pandémie. Nous avons assisté à diverses initiatives visant à combler les lacunes et à renforcer les systèmes de réglementation des médicaments sur le continent, ce qui a apporté un soulagement bienvenu aux patients africains.

'accélération des résultats de l'initiative d'harmonisation de la réglementation des médicaments en Afrique (AMRH) en est un exemple. En Afrique de l'Est, cette initiative a permis de réduire considérablement les délais réglementaires pour l'autorisation des nouvelles demandes de médicaments, qui sont passés de 36 mois à 6-9 mois, accélérant ainsi considérablement l'accès des patients aux médicaments qui leur sauvent la vie... - Lire cet article




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