Le plan de développement des réseaux haut débit mobiles IMT 2020 « International Mobile Télécommunication 2020 » tels que les réseaux «5G » du ministère de la transition digitale, des postes et des communications électroniques (MTDPCE) a retenu la santé comme un secteur prioritaire que l’utilisation intelligente des technologies IMT2020 contribuera à révolutionner.
Parmi les axes de développement identifiés pour le secteur de la santé, figure la mise en œuvre de la télémédecine avec pour but d’utiliser l’expertise des centres hospitaliers universitaires pour venir en appui aux centres de santé de premier et deuxième niveaux afin de garantir aux populations des zones rurales et / ou d’accès difficile une prise en charge complète avec l’accès aux consultations spécialisées. Cela est aligné avec les priorités du ministère de la santé qui travaille ces dernières années sur la mise en œuvre de la télémédecine afin de moderniser et d’augmenter l’offre de soins d’une part, et , d’autre part, d’assurer la couverture sanitaire universelle. D’autres acteurs comme les universités, les startups et le secteur privé ont aussi des initiatives dans la mise en place de solutions de télémédecine qui sont porteuses d’espoirs... - Lire ce document
La commission technique d’homologation des produits de santé a tenu, les 2 et 3 août 2024, à Ouagadougou, sa deuxième session de l’année 2024. Cette session entre dans le cadre du règlement N°04-2020 de l’UEMOA, relatif aux procédures d’homologation des produits à usage de médecine humaine.
La rencontre a réuni une trentaine de participants sous la présidence de Pr Innocent Pierre Guissou. Durant deux jours, ces acteurs ont passé en revue tous les dossiers soumis pour homologation afin de donner des avis techniques.
D’entrée de jeu, ils ont fait l’état de mise en œuvre des recommandations de la précédente session. Après ce point, un rappel des regles de délibération et d’examen des dossiers a été fait pour mettre tous les participants au même niveau de compréhension et faciliter le bon déroulement des travaux... - Lire ce document
Le ministère de la Santé, à travers l’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP), a tenu, du 6 au 8 novembre 2024, à Ouagadougou, un atelier de validation de projets de textes règlementaires sur la pharmacie hospitalière.
La validation a concerné un projet d’arrêté sur les conditions d’ouverture et d’exploitation de la pharmacie hospitalière et un autre arrêté sur les conditions de détention et modalités d’approvisionnement de l’armoire à médicaments. L’élaboration de ces textes entre dans le cadre de la règlementation encadrant la pharmacie hospitalière au Burkina Faso.
La rencontre a réuni une quarantaine d’acteurs du ministère de la Santé, des ordres professionnels de santé, de structures hospitalières publiques et privées, des établissements pharmaceutiques de vente ou de distribution en gros, du syndicat des pharmaciens et des associations... - Lire ce document
L'ONPBF poursuit sa quête d'un secteur pharmaceutique rayonnant. Ainsi, après un entretien avec le Ministre chargé de l'Economie et des Finances, le bureau du Conseil National accompagné de deux représentants de structures grossistes, a eu une séance de travail avec le Directeur Général des douanes ce Mercredi 30 octobre 2024.
Après les salutations d'usage, le président Dr Nedié NAO a présenté l'ONPBF et ses différentes instances. Par la suite, il a exposé quelques préoccupations du secteur pharmaceutique à savoir les différences de classification entre la nomenclature douanière et la nomenclature des produits de santé, la fraude sur les produits pharmaceutiques à l'importation, les allègements des taxes sur les intrants afin de promouvoir la production locale et les difficultés dans l'enlèvement des produits au cordon douanier surtout pour les commandes urgentes pour régler des besoins des malades... - Lire ce document
L’Agence nationale de régulation pharmaceutique (ANRP) a débuté le 28 octobre 2024, à Manga, région du Centre-sud, une session de formation du personnel sur la norme ISO 9001/2015. La session a officiellement été ouverte par le Directeur général, Dr Issiaka Soulama.
L’objectif général de cette formation est de permettre aux participants de s’approprier la norme ISO 9001/2015 qui définit les exigences des systèmes de management de la qualité (SMQ). Elle a réuni une vingtaine de personnes de l’ANRP qui sont des pilotes, des copilotes et des membres de groupes d’amélioration de processus... - Lire ce document
Le Ministère de la Santé à travers la Direction des systèmes d'information (DSI) et la Direction de la prévention par la vaccination (DPV) organise, du 02 au 04 octobre 2024, à Ouagadougou, un atelier d'analyse des gaps et d'élaboration d'un plan d'action holistique de déploiement du registre électronique de vaccination (REV) au Burkina Faso... - Lire ce document
Le Conseil a adopté un décret portant création, attributions, organisation et fonctionnement du Point focal national du Règlement sanitaire international (PFN RSI) au Burkina Faso.
Le Règlement sanitaire international est un instrument qui recommande aux Etats membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’évaluer leurs capacités essentielles minimales en santé publique tous les cinq (05) ans. Il a pour objectif de prévenir la propagation internationale des maladies, de s’en protéger, de la maîtriser et d’y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elles présentent pour la santé publique. Ce décret vise la mise en œuvre de la recommandation de l’OMS à travers la création du Point focal national du Règlement sanitaire international au Burkina Faso. Ce point focal est organisé en structure de coordination et en structure membre, et fonctionnera de sorte à notifier toute urgence de santé publique à l’OMS dans un délai de 24 heures à compter de la date d’identification de l’évènement.
L'adoption de ce décret permet à notre pays de créer son Point focal national du Règlement sanitaire international et de renforcer ses capacités de détection et de réponse aux évènements de santé publique. - Lire ce document
Le Conseil a adopté un décret instituant l’Initiative présidentielle pour la santé (IPS).
Depuis quelques années, le Burkina Faso s’est engagé à améliorer son offre de santé. Le Gouvernement a donc conçu et mis en œuvre des politiques publiques telles l’assurance maladie universelle et la gratuité des soins au profit des enfants de 0 à 5 ans et des femmes enceintes. A ce jour, le constat reste l’insuffisance du plateau technique et la non disponibilité des produits sanguins labiles qui sont des motifs récurrents d’évacuations vers les grandes villes et posent un problème d’équité et de faible accès aux soins de santé de qualité.
Face à ces contraintes, le Président du Faso lance l’Initiative présidentielle pour la santé (IPS). Cette initiative ambitionne de moderniser les structures de santé et d’améliorer la qualité des soins au Burkina Faso. D’une durée de mise en œuvre de cinq (05) ans, l’IPS sera logée au sein du Bureau national des grands projets du Burkina (BN-GPB) et comporte quatre (04) composantes :
Composante 1 : la construction et l’équipement de 55 Centres
médicaux communaux. Cette composante vise la transformation de 55 Centres de santé et de promotion sociale (CSPS) en centres médicaux communaux dans les 13 régions administratives. Des médecins généralistes, du personnel de laboratoire, des spécialistes pour l’imagerie médicale ainsi que du personnel de soutien et de maintenance seront affectés dans lesdits centres. En outre, les infrastructures existantes pour la plupart des CSPS sont constituées de bâtiments isolés dont l’état actuel demande une réfection. La mise en œuvre de l’IPS permettra de construire à court et moyen terme des bâtiments juxtaposés à niveau en deux phases. Cette juxtaposition permettra une meilleure coordination des soins.
Composante 2 : la construction et l’équipement de 5 services d’anesthésie réanimation dans des hôpitaux. Cette composante vise à doter des Centres hospitaliers universitaires et régionaux de services d’anesthésie-réanimation pour assurer une certaine autonomie et réduire les évacuations sanitaires.
Composante 3 : la création d’un Institut du cœur au Centre hospitalier universitaire de Tengandogo.
La mise en place de l’Institut du cœur permettra au Burkina Faso de disposer d’un centre d’excellence dans la sous-région en matière de cardiologie couvrant la chirurgie des enfants et des adultes, le pontage, les greffes de cœur, les mécanismes d’assistance du cœur, le traitement des maladies congénitales et acquises, la recherche sur le développement du cœur artificiel.
Composante 4 : le diagnostic moléculaire du cancer de sein. Cette composante vise à mettre à la disposition des structures de santé des produits innovants de classe mondiale encore absents sur le sol africain. Cela permettra au Burkina Faso de faire un grand pas dans l’amélioration de la prise en charge des malades du cancer de sein. Le financement de l’IPS est assuré par le Bureau national des grands projets du Burkina, le ministère en charge de la Santé et les communautés locales.
L’adoption de ce décret consacre l’institution de l’Initiative présidentielle pour la santé. - Lire ce document
Les intrants nutrition que sont les Plumpy'Nut et les plampy'Sup sont considérés par bon nombre comme des chocolats. La session a rassemblé des professionnels des médias et des communicants dans l'optique de concevoir des messages clés pour sensibiliser la population sur les dangers liés à la vente non autorisée d'intrants nutritionnels... - Lire ce document
Selon le Chargé de mission, Roger Dima, représentant le Ministre de la Santé et de l’hygiène Publique, la transformation digitale du secteur de la santé au Burkina Faso est un projet ambitieux qui nécessite un engagement et une bonne collaboration de l’ensemble des parties prenantes.
«Lors de l’analyse situationnelle rentrant dans le cadre de l’élaboration du plan stratégique de la santé numérique, il a été relevé que la transformation digitale rencontre un certain nombre de défis et c’est précisément pour échanger sur ces défis que nous sommes réunis en ce jour », a souligné le Chargé de mission... - Lire ce document
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