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L'emballage pharmaceutique est essentiel pour protéger les médicaments, assurer la sécurité des patients, maintenir la qualité des produits et respecter des normes réglementaires strictes. Il couvre les systèmes primaires, secondaires et tertiaires utilisant des matériaux spécialisés tels que le plastique et le verre, avec des efforts croissants pour améliorer la durabilité grâce à l'innovation dans les solutions d'emballage recyclables, biosourcées et à haute barrière.
Le dernier livre blanc de l'EFPIA, intitulé "Pharmaceutical Packaging : Driving Value for Patients, Healthcare Systems and Industry ", explore comment l'emballage peut évoluer d'un outil de conformité vers un contributeur dynamique à la sécurité des patients, à la durabilité et à la transformation numérique. Avec des idées provenant de l'ensemble de la chaîne de valeur pharmaceutique, le document décrit comment des solutions d'emballage innovantes peuvent soutenir la traçabilité, réduire l'impact environnemental et améliorer l'expérience des patients. - Lire ce document
De nombreux pays africains disposent actuellement de politiques de remboursement et de fixation des prix des produits pharmaceutiques et/ou travaillent à la mise en place de telles politiques. Cependant, étant donné les différences dans la mise en œuvre de ces politiques entre les pays, il est essentiel d'échanger sur la manière d'adapter au mieux les politiques de tarification et de remboursement des produits pharmaceutiques au contexte spécifique d'un pays.
Le réseau PPRI Afrique vise à permettre aux autorités publiques travaillant sur la tarification et le remboursement des produits pharmaceutiques de s'informer sur les politiques et de comparer les mécanismes mis en œuvre. Cela permet d'améliorer leur mise en œuvre ciblée dans les contextes nationaux et régionaux respectifs et de mieux gérer l'impact des prix des produits pharmaceutiques sur les budgets publics et privés. Ainsi, le projet contribuera à renforcer les politiques de couverture (remboursement) des régimes nationaux d'assurance maladie, à améliorer l'accès des patients aux médicaments essentiels et, en fin de compte, à améliorer les résultats en matière de santé pour les populations.
Compte tenu de l'expérience acquise par le département Pharmacoéconomie de l'Institut national autrichien de santé publique (Gesundheit Österreich GmbH / GÖG) dans le cadre du réseau PPRI élargi, un projet a été commandé par ENABEL à GÖG pour la mise en place d'un réseau africain d'autorités travaillant sur les politiques de fixation des prix et de remboursement (PPRI Afrique). Les experts du département Pharmacoéconomie, qui est un centre collaborateur désigné de l'OMS pour les politiques de prix et de remboursement des produits pharmaceutiques, constitueront le secrétariat du PPRI Afrique et soutiendront sa mise en place et son fonctionnement... - Lire ce document
Remboursement, taux, levier, coût, politique de couverture maladie : autant de questions soulevées par les participants lors de cette deuxième journée du 23.
Après un rappel des activités de la journée précédente, la séance du 22 s’est poursuivie avec une synthèse présentée par Catarina Habimana. Cette étape a été suivie d’une phase de questions-réponses, offrant de riches moments d’interaction et d’échanges d’expériences entre les participants.
Parmi les interventions marquantes, l’exemple de la réussite algérienne a retenu l’attention, notamment grâce à la forte présence d’industries pharmaceutiques. Cette industrialisation a eu un impact significatif sur la politique de santé du pays, comme l’a souligné Redha Belkacemi, représentant du ministère de l’Industrie pharmaceutique.
Ce succès a été mis en perspective par le Dr Alioune Diouf, directeur général de l’ARP, qui, dans son rôle de modérateur, a évoqué plusieurs leviers exploitables par les États présents pour initier des politiques similaires. - Lire ce document
Une délégation de l'Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique, composée d'inspecteurs assermentés, effectue une mission d’étude en Inde, du 19 au 28 avril, afin d’évaluer la conformité des usines pharmaceutiques Zydus, situées à Goa et Ahmedabad. Cette mission vise à vérifier le respect des normes de bonnes pratiques de fabrication établies par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), ainsi que des exigences spécifiques de l’Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique, en vue de l’octroi des Autorisations de Mise sur le Marché (AMM).
Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la Vision 2050, qui ambitionne de garantir à la population sénégalaise un accès à des médicaments sûrs, efficaces et de qualité. - Lire ce document
Une mission technique menée par l'Agence de Développement de l'Union Africaine (AUDA-NEPAD), en partenariat avec le cabinet de conseil CMCOMMS, a pris fin ce jeudi 17 avril à Abidjan. Organisée du 15 au 17 avril 2025 dans les bureaux de l'Autorité Ivoirienne de Régulation Pharmaceutique (AIRP), cette initiative avait pour objectif de soutenir la mise en œuvre des Plans de Développement Institutionnel (PDI) afin de renforcer la régulation du secteur pharmaceutique en Côte d'Ivoire. Dans le cadre du programme d'harmonisation des régulations pharmaceutiques en Afrique (AMRH), l'AUDA-NEPAD a déployé une équipe d'experts, dont Jane Mashingia, Anthony Kapeta et la consultante Caroline Getrude Dandira-Samatanga (CMCOMMS), pour évaluer les progrès de l'AIRP, identifier les lacunes structurelles et proposer des solutions concrètes. Cette mission fait partie d'une phase pilote visant cinq pays, dont la Côte d'Ivoire, choisie pour son engagement à améliorer ses fonctions réglementaires... - Lire ce document
Arrêt de commercialisation des produits Spirulina 500 mg, Spirulina 750 mg et Spirulina DUO S+M pour non-conformité réglementaire au Bénin - Lire ce document
Dakar, le 17 avril 2025 – L’Ambassadeur de la République de l’Inde au Sénégal, M. Dinker Asthana, a effectué ce mercredi une visite officielle au siège de l’Agence Sénégalaise de Réglementation Pharmaceutique (ARP), dirigée par le Docteur Alioune Ibnou Abou Talib Diouf.
Cette rencontre s’inscrit dans un contexte où l’Inde, considérée comme un géant de l’industrie pharmaceutique mondiale, assure près de 50 % de la production globale de médicaments. Avec plus de 60 000 médicaments génériques produits, le pays occupe une place stratégique dans le secteur, rendant cette collaboration particulièrement pertinente, comme l’ont souligné à la fois l’ambassadeur indien et le directeur général de l’ARP.
Lors de son intervention, M. Asthana a salué les avancées réalisées dans le domaine de la régulation pharmaceutique sous la direction du Dr Diouf. Il a également exprimé la volonté de son pays de renforcer les liens avec l’ARP, dans l’optique de faciliter l’accès aux médicaments essentiels et de promouvoir l’innovation dans le secteur pharmaceutique sénégalais.
De son côté, le Dr Diouf a souligné l’importance de cette coopération stratégique : « L’Inde est un leader mondial dans la production de médicaments génériques de qualité à coût abordable. » Il a également exprimé le souhait de renforcer l’approvisionnement du Sénégal en médicaments contre le cancer pédiatrique, soulignant l’urgence et la sensibilité de cette question. - Lire ce document
La Commission Nationale des Vigilances (CNV) a tenu sa première session ordinaire 2025 le 15 avril à l’hôtel Seen, sous l’égide de l’Autorité Ivoirienne de Régulation Pharmaceutique (AIRP), rassemblant 23 membres de la CNV et 3 représentants de l’AIRP pour huit heures de travaux intensifs.
Conformément au décret n°2018-926, cette session visait à renforcer la surveillance des produits pharmaceutiques et a examiné des dossiers sensibles tels que la sécurité des vasoconstricteurs, les alternatives à la 17-hydroxyprogestérone caproate (17-OHPC) et la gestion des effets indésirables de la Bupivacaïne.
Les discussions ont porté sur le reclassement des vasoconstricteurs (notamment la pseudoéphédrine), l’exploration d’alternatives à la 17-OHPC face aux alertes sanitaires, et le renforcement de la surveillance post-commercialisation de la Bupivacaïne. Les recommandations de la session devraient entraîner un durcissement de l'accès aux vasoconstricteurs (avec un possible retrait des formes pédiatriques), l'adoption de nouvelles lignes directrices pour la 17-OHPC, et une meilleure traçabilité des effets indésirables de la Bupivacaïne.
La session a réuni des acteurs clés tels que la Direction Générale de la Santé, le CNOP, et des représentants des laboratoires, soulignant l'impératif de transparence et de réactivité face aux risques émergents.
Aussi, cette session illustre la volonté des autorités ivoiriennes d'anticiper les crises sanitaires et d'adapter la réglementation, impactant directement la sécurité des patients et la crédibilité du marché pharmaceutique. - Lire ce document
Dans le cadre de la lutte contre les Produits Médicaux de Qualité Inférieure et Falsifiés (PMQIF), l’Autorité ivoirienne de régulation pharmaceutique (AIRP) a réuni, ce jeudi 17 avril 2025, les principaux acteurs du secteur lors d’une réunion stratégique à l’hôtel Silver Moon, à Cocody.
Présidée par Dr Bosson Jean Marie, sous-directeur de l’Inspection et de la Surveillance du marché, représentant le Directeur général de l’AIRP, cette première session trimestrielle de la plateforme de lutte contre les PMQIF visait à renforcer la collaboration interinstitutionnelle autour d’un objectif central : assurer à tous l’accès à des médicaments sûrs et efficaces.
La réunion intervient dans un contexte de vigilance accrue. En 2024, près de 20 tonnes de produits pharmaceutiques falsifiés ont été saisies et détruites, soulignant l’ampleur du problème. Face à cette situation, les autorités sanitaires réaffirment que la qualité des médicaments est un enjeu de santé publique essentiel.
En plus des structures nationales, plusieurs partenaires techniques et financiers, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ont participé aux discussions. La session a permis de formuler plusieurs recommandations et de mettre en place un plan d’action pour renforcer les dispositifs de surveillance et de répression.
L’engagement renouvelé de l’AIRP et de ses partenaires marque une nouvelle étape dans la lutte contre le marché illicite des médicaments en Côte d’Ivoire. - Lire ce document
Le 10ᵉ Salon International de la Santé et du Matériel Médical de Dakar (SISDAK) qui se tient du 15 au 19 avril 2025 au CICES, l’Agence Sénégalaise de Réglementation Pharmaceutique (ARP) s’est distinguée par une forte présence. Le Directeur Général de l’ARP a visité le stand de l’institution, saluant l’engagement du personnel et soulignant l’importance d’une communication claire autour des missions de l’Agence.
La visite du Ministre de la Santé a constitué un moment fort, mettant en lumière le rôle central de l’ARP dans le système de santé publique. À cette occasion, les agents présents ont brièvement présenté les principales missions de l’Agence ainsi que les actions engagées dans la lutte contre les Produits de Qualité Inférieure ou Falsifiés (PQIF). Il a également été rappelé au ministre la tenue, en début mars, de la commission chargée de l’ouverture des officines de pharmacie... - Lire ce document
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