Prudence, vigilance, précaution, mais pas de psychose. C’est en somme le message du Pr Jaâfar Heikel, invité de L’Info en Face pour un focus sur la situation épidémiologique au Maroc. Pendant 90 minutes de débat, le professeur de médecine préventive et spécialiste en maladies infectieuses a répondu aux questions de Rachid Hallaouy et celles des internautes dans le but d’apporter les éclairages nécessaires à un moment où les Marocains, et surtout les Casablancais, redoutent le pire dans l’évolution de la pandémie. Sans créer la psychose, l’expert a une nouvelle fois insisté sur la prudence et la nécessité de respecter les mesures barrières, et ce même en pleine discussion sur un probable vaccin anti-Covid qui serait disponible prochainement. - Lire cet article
En milieu hospitalier, les délais du rendu des résultats des tests PCR s’allongent de jour en jour. Un facteur de blocage dans la gestion du flux des lits d’hospitalisation. Les retards dans le diagnostic de la Covid-19 sont un sérieux problème dans la lutte contre la pandémie qui avance à grands pas, notamment la deuxième vague qui s’annonce déjà très violente. Le nombre de PCR réalisé à ce jour au niveau national ne représente qu’une partie infime de la réalité. Aucun chiffre exact n’est communiqué à ce jour. - Lire cet article
ALGER- Le Président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, Pr. Kamel Sanhadji a affirmé lundi à Alger que scientifiquement parlant, il ne s'agit pas d'une deuxième vague de Covid-19 en Algérie, insistant sur l’impératif "respect individuel et scrupuleux" des gestes barrières pour enrayer l’expansion du virus. Invité à la radio nationale, M. Sanhadji a indiqué que la récente hausse des cas de contaminés par la covid-19 en Algérie "ne signifie en aucun cas l'enregistrement d'une deuxième vague". Scientifiquement parlant, dans le cas d'une deuxième vague, le virus doit changer, faire des mutations génétiques, évoluer et changer ses caractéristiques, ce qui n'est pas le cas en ce moment en Algérie", a-t-il déclaré. - Lire cet article
Le protocole de prise en charge d’un patient confirmé Covid-19 au Maroc fait l’objet de plusieurs défaillances. Si cette mesure doit prendre en considération plusieurs critères, dont le plus important est d’éviter la contamination d’autres personnes (famille, amis, proches …), son application sur le terrain est scandaleuse, selon le témoignage de A.L, un jeune homme de Témara opérant dans le domaine du digital, qui a conté à Hespress Fr son périple après avoir été testé positif. - Lire cet article
Depuis plusieurs jours, les cas de contamination à la Covid-19 sont en hausse et l’inquiétude est forte. L’Algérie a franchi la barre des 60 000 cas depuis le début de la pandémie, laissant le personnel médical dépassé. Le professeur Riad Mahyaoui, membre du comité scientifique de suivi de l’épidémie, n’a pas hésité à exprimer ses inquiétudes quant à la situation épidémiologique que connaît le pays depuis quelques jours. - Lire cet article
C'est un choc. Cette phrase est de la responsable des situations d'urgence à l'OMS, Catherine Smallwoog, prononcée lors d'une interview accordée au quotidien français le Parisien. A l'entendre, des vagues de coronavirus vont se succéder jusqu'à la découverte éventuelle d'un vaccin efficace. C'est une douche froide. - Lire cet article
A mesure que le Sars-cov2 poursuit sa propagation express, on se rend de plus en plus compte des multiples dysfonctionnements qui servent son dessein. Prenons l’exemple des enfants contaminés. Sur le papier, le ministère de la Santé recommande, via un protocole sanitaire, de maintenir l’enfant à l’abri de tout risque, en déconseillant aux parents, entre autres, d’emmener leurs chérubins déclarés Covid+ dans des endroits où ils risquent de rentrer en contact avec des personnes fragiles, en l’occurrence les femmes enceintes, les malades chroniques ou encore les personnes âgées. Oui mais voilà, sur le terrain, c’est une toute autre histoire. Les choses ne sont pas aussi limpides que cela. Et pour cause, il faut d’abord que l’enfant soit positif au coronavirus et donc qu’il ait passé les tests en vigueur. - Lire cet article
L’usage précoce de certains antibiotiques et anti-inflammatoires, en guise d’automédication pour traiter les premiers symptômes du Covid-19 (maux de gorge, obstruction nasale, courbatures…), peut générer une résistance bactérienne et permettre au virus de se propager dans tout le corps et développer de la sorte une bronchite, une pneumonie, une néo-cardite… Pour se protéger contre le virus « Covid-19 » ou pour le traiter en cas de doute et suite à l’apparition de symptômes légers tels que les maux de gorge, les courbatures, une température légèrement élevée… - Lire cet article
Plusieurs inventeurs, innovateurs et spécialistes en plantes médicinales présentent du 5 au 6 novembre à Brazzaville, les produits de leurs recherches à l'occasion des journées d'exposition vente des produits innovants congolais de lutte contre la Covid-19. - Lire cet article
Comme chaque année, le Sommet mondial de la santé qui a toujours lieu à Berlin (Allemagne), a la réputation de définir l'agenda global, rallier le soutien à l'Agenda 2030 pour la santé et la campagne pour les innovations technologiques dans le domaine. - Lire cet article
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