En attendant quelques énigmes sont à élucider Le coup d’envoi de la campagne de vaccination tant attendu est prévu pour les jours à venir. En attendant, tant de questions restent à poser. Et pour cause, d’après Driss El Habchi, responsable du service de chimie et toxicologie à l’Institut Pasteur de Casablanca, la campagne de vaccination devrait débuter avant la deuxième semaine de ce mois-ci. Or, comme nous vous l’annoncions dans notre édition du lundi, l’entreprise d’État CNBG Sinopharm, principal fournisseur du vaccin antiCovid-19 dans le Royaume, vient à peine de déposer une demande de commercialisation de ses vaccins auprès de la Food and Drug Administration chinoise. Et cela, avant même d’avoir conclu les essais cliniques. Un empressement somme toute compréhensible d’un point de vue économique à défaut de l’être éthiquement et sanitairement. Certes, les représentants de Sinopharm rassurent. Mais du coup, à quoi servent les essais cliniques s’ils suffisaient de quelques déclarations pour garantir l’efficacité d’un vaccin et surtout la bonne santé des citoyennes et citoyens marocains ? - Lire cet article
A titre expérimental, les tests antigéniques ont été utilisés depuis quelques mois au niveau du laboratoire d’immunologie du CHU de Beni Messous. En comparaison avec les résultats des tests de la RT-PCR, il a été constaté, selon le Pr Réda Djidjik, chef de service d’immunologie dans ce CHU, que ce type de test peut constituer une alternative à la PCR à défaut de cette dernière. - Lire cet article
L’Algérie est-elle en train d’abandonner progressivement le traitement à base de l’hydroxychloroquine ? Officiellement non, mais l’augmentation spectaculaire du nombre de malades et de ceux hospitalisés ou en salles de réanimation et les études contradictoires sur l’efficacité clinique sèment le doute sur l’efficacité du traitement défendu et adopté depuis le mois de mars par les autorités sanitaires dans le protocole thérapeutique pour traiter les malades atteints du virus. Malgré la réticence des médecins qui le prescrivent de moins en moins, l’on attend toujours une décision du ministère de la Santé pour déclarer au grand jour l’abandon de cette option de traitement pour les malades atteints par le coronavirus. - Lire cet article
Une étude internationale devrait éclairer le mystère Dans un souci de diversification des sources d’approvisionnement, le Maroc avait passé une commande au laboratoire anglo-suédois AstraZeneca, qui collabore avec l'Université d'Oxford en Grande-Bretagne. Mais l'efficacité du vaccin candidat d’AstraZeneca, estimée à 70%, a récemment été remise en question. Et ce n’est peut-être pas plus mal. Car en plus de se démarquer par ses résultats jugés encourageants, il semblerait qu’une demi-dose serait plus efficace qu’une dose complète pour laquelle il est conçu à l’origine afin de garantir une protection optimale. Les chercheurs ont été surpris de découvrir qu’avec une demi-dose, l'efficacité constatée serait de 90%, contre seulement 62% de protection après l'injection de la seconde moitié, un mois après. Décidément, ce nouveau coronavirus ne cessera jamais de nous surprendre et d’intriguer les scientifiques qui n’ont évidemment pas tardé à afficher publiquement leur incompréhension. - Lire cet article
Malika Benhalima, professeur en immunologie, revient dans cet entretien sur la place des tests antigéniques dans le diagnostic de la Covid-19. Un moyen de diagnostic qui nécessite, selon elle, un encadrement spécifique avec des indications bien précises. Ils ne peuvent pas se substituer à la technique de référence utilisée actuellement, notamment la RT/PCR, a-t-elle insisté. - Lire cet article
Trois laboratoires nationaux se sont lancés dans la production des tests antigéniques et des tests PCR, dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus (Covid-19), a annoncé dimanche, dans un communiqué, le ministère de l'Industrie pharmaceutique. - Lire cet article
Les maladies chroniques n’épargnent personne aujourd’hui, et, si par le passé, ces pathologies dangereuses, notamment les maladies cardiovasculaires, touchaient principalement les personnes âgées, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Selon les spécialistes, les jeunes sont de plus en plus sujets à ces maladies chroniques, et pour mettre en avant les nouvelles évolutions que connaît cette spécialité médicale et débattre des facteurs de risques cardiovasculaires, la Société algérienne de cardiologie a organisé en visioconférence un Congrès international et les Journées de la Société algérienne de cardiologie (E-CISAC). - Lire cet article
Dès le début de l’épidémie, les autorités sanitaires avaient annoncé la couleur : pas de recours au dépistage massif. Plus qu’un choix, c’est une stratégie qui s’est imposée en raison de l’incapacité technique d’effectuer des tests à grande échelle. Sur les 300 000 prélèvements effectués en près de neuf mois, un peu plus de 80 000 se sont avérés positifs, soit un taux supérieur à 25%. L’Institut Pasteur assure le plus gros des opérations de dépistage avec un apport du privé qui tourne autour de 20%. - Lire cet article
La RDC est à l'entrée de la deuxième vague de Covid-19 a fait savoir le jeudi dernier le Dr Jacques Muyembe Tamfum, au cours d'une conférence de presse qu'il a animée dans l'enceinte de l'Institut national des recherches Biomédicales (INRB), à Kinshasa, après avoir constaté une augmentation des cas confirmés à la pandémie de coronavirus en RDC en général et surtout dans la capitale et cela suite au relâchement des gestes barrières dans le chef des Congolais. - Lire cet article
Président du Syndicat national des professeurs et chercheurs universitaires, le professeur Rachid Belhadj, chef de service de médecine légale au CHU Mustapha Bacha, à Alger, parle de «disparité» entre le nombre officiel des décès provoqués par la Covid-19 et la réalité, en expliquant que les autorités ne comptabilisent que les cas confirmés par un prélèvement PCR l Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il parle de chiffres noirs, de déperdition de données et évoque aussi cet Observatoire des décès, censé avoir la mission de collecter toutes les données auprès des services de l’état civil pour avoir les causes de la mortalité en Algérie, qui est totalement absent, selon lui. - Lire cet article
La responsabilité du Leem ne saurait être engagée au titre d'un site tiers auquel l'Utilisateur aurait accès via un lien hypertexte présent sur le Site. Le Leem ne dispose d'aucun moyen de contrôle du contenu de ces sites tiers. En tout état de cause, le Leem n'est pas responsable de l'indisponibilité des sites tiers, de leur contenu, publicité ou autres éléments disponibles sur ces sites tiers. Plus d'informations
Ce site utilise des Cookies collectant des données pour optimiser votre navigation. Plus d'informations.
Adresse
Téléphone
leemafrique.org© Copyright 2020-2024
Site réalisé et développé par APIDPM
Actualités
Le LEEM
Veille règlementaire
Comptes rendus