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Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

Revue de presse

Revue de presse


Accès aux médicaments biosimilaires : où en sont les trois pays les plus avancés en Afrique? - 30/07/2024 - Le360 - Panafricain

L’adoption des biosimilaires en Afrique représente un enjeu majeur pour l’accès aux soins sur le continent. Mais tous les pays ne sont pas logés à la même enseigne. Trois pays africains, en particulier, sont les mieux préparés à l’arrivée des biosimilaires selon un récent rapport. Lesquels ?

D'ici 2027, des médicaments biologiques d’une valeur de 1,6 milliard de dollars devraient perdre leur exclusivité dans la région Moyen-Orient et Afrique (MEA), ouvrant la voie aux biosimilaires moins coûteux. De quoi donner le sourire aux patients, professionnels de santé, payeurs, décideurs politiques et associations de patients de la région.
C’est donc à dessein que Act4Biosimilars, une initiative mondiale, fondée et sponsorisée par Sandoz, division génériques et biosimilaires du groupe pharmaceutique suisse Novartis, œuvre à accélérer l’adoption des biosimilaires, qui pourrait augmenter d’au moins 30 points de pourcentage dans plus de 30 pays d’ici 2030... - Lire cet article


Lancement d’une nouvelle initiative destinée à accélérer la mise au point d’un vaccin à ARNm contre la grippe aviaire humaine (H5N1) - 29/07/2024 - Organisation Mondiale de la Santé - International

Un nouveau projet visant à accélérer la mise au point de vaccins expérimentaux à ARN messager (ARNm) contre la grippe aviaire humaine (H5N1) et à les rendre plus rapidement accessibles aux fabricants des pays à revenu faible et intermédiaire a été inauguré aujourd’hui. Le fabricant argentin Sinergium Biotech dirigera cette opération en s’appuyant sur le Programme de transfert de technologie ARNm de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Medicines Patent Pool (MPP).

Élaboré conjointement par l’OMS et le MPP, le Programme de transfert de technologie ARNm a été mis sur pied en juillet 2021 dans le but de renforcer les capacités des pays à revenu faible et intermédiaire en matière de développement et de production de vaccins à base d’ARNm. Sinergium Biotech, partenaire du Programme de transfert de technologie ARNm, a mis au point des vaccins candidats contre le H5N1 et veut procéder à une validation de principe sur des modèles précliniques. Une fois le corpus de données précliniques constitué, d’autres fabricants partenaires pourront bénéficier de la technologie, des matériels et du savoir-faire, ce qui contribuera à accélérer la mise au point de vaccins expérimentaux contre le H5N1 et à renforcer les mesures de préparation aux pandémies... - Lire cet article


Najla Cherif Hamdi nommée PDG de Sanofi Maroc - 29/07/2024 - Le site info - Maroc

Sanofi a nommé Najla Cherif Hamdi au poste de Président Directeur Général de Sanofi Maroc. Basée à Casablanca, Najla Cherif Hamdi a pris ses fonctions le 15 juillet 2024 et est également en charge des activités de Sanofi Pharma (médecine générale et médecine de spécialités) en Tunisie et en Libye.
Elle succède à Adrien Delamare-Deboutteville qui a été nommé Pharma General Manager Africa basé au Caire (Egypte).


Diplômée de l’institut supérieur de Gestion de Tunis, Najla Cherif Hamdi a occupé des responsabilités dans les ressources Humaines, la qualité, les affaires publiques et le Market Access dans différents secteurs d’activité et entreprises multinationales, notamment Air Liquide, Orange, UFI group en Tunisie et à l’étranger... - Lire cet article


La filière pharmaceutique industrielle du Maroc est- elle prête à relever le défi de la souveraineté sanitaire du royaume ? - 26/07/2024 - Policy Center for the New South - Maroc

Avec un chiffre d’Affaires en hausse de 50 % par rapport à 2022, l’industrie pharmaceutique au Maroc a connu une année record en 2023. Cette étude est consacrée à l’une des trois composantes de ce secteur :la composante industrielle. Elle regroupe 50 Établissements pharmaceutiques industriels (EPI). (Source : la Direction des médicaments et de la pharmacie (DMP).

L’analyse de chacun de ces EPI met en évidence un écosystème, amorcé dès 1933 avec la création de Pharma-Cooper. Écosystème constitué, en 2024, d’EPI, en synergie, dont les effectifs vont de quelques dizaines à plusieurs milliers. Écosystème très ouvert aussi à l’international, où 21 EPI sont des filiales marocaines de multinationales étrangères, leaders mondiaux dans leur domaine.

En 2024, cet écosystème est particulièrement dynamique, avec un fort potentiel de développement à partir d’un double moteur de croissance : interne et externe. Pôle d’excellence, spécialisédanslaproductiondegénériquesdemoinsenmoinschers,quigénère deséconomies importantes, indispensables à la préservation des équilibres financiers de l’assurance maladie, mais aussi à l’amélioration de la balance commerciale. Pôle confronté de nos jours à un autre défi mis en évidence par la pandémie de la Covid-19 et les conséquences de la guerre Russo- Ukrainienne : la souveraineté sanitaire. En priorisant l’usage des génériques et en diversifiant son offre, ce pôle est-il prêt à relever le défi de la souveraineté sanitaire du Maroc ? ... - Lire cet article


Entretien avec Pr Yérim Mbagnick Diop : « les besoins de la relance de l’Industrie pharmaceutique locale sont estimés à 326 milliards FCFA » - 26/07/2024 - Dakaractu - Sénégal

La relance de l’industrie pharmaceutique en Afrique, particulièrement, au Sénégal est au cœur des politiques publiques. Le but visé est d’arriver à faire de la souveraineté pharmaceutique une réalité au niveau local et sur le plan continental. Il ressort de la volonté du gouvernement sénégalais et des promoteurs du secteur d’atteindre une production de 20% de la demande en 2025 et de 25% d’ici 2030. Comment faudrait-il s’y prendre ? Sur quels leviers il faudrait s’appuyer pour l’atteinte des objectifs ? Le coordonnateur de la Delivery Unit (DU) du ministère de la Santé chargé de la relance de l'industrie pharmaceutique locale, Yérim Mbagnick Diop expose les orientations dans cet entretien avec Dakaractu.

Professeur agrégé titulaire de la chair de chimie analytique au département pharmacie de la faculté de médecine de pharmacie et odontologie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, M. Diop revient sur les objectifs principaux de la relance de l'industrie pharmaceutique locale au Sénégal, les principaux défis, les mesures concrètes prises pour favoriser la production locale de médicaments et le renforcement de capacités des acteurs locaux. Il a également fait part des besoins en termes de soutien financier, de formation et d'infrastructures pour stimuler la croissance de l'industrie pharmaceutique locale... - Lire cet article


À Paris, la communauté internationale réaffirme l’urgence de produire des vaccins en Afrique - 17/07/2024 - Jeune Afrique - Panafricain

En 2040, l’Afrique ambitionne de produire sur son sol 60 % des vaccins dont elle a besoin. La période du Covid a permis une prise de conscience internationale sur l’importance de ces sujets, mais tous les obstacles sont loin d’être levés.

Fin juin, alors que la France était en pleine ébullition électorale à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale, Paris accueillait le Forum pour la souveraineté et l’innovation vaccinale. Un événement coorganisé par la France et l’Union africaine (UA) visant à sensibiliser la communauté internationale sur les questions de production locale de vaccins et à récolter des promesses de don. L’occasion aussi de lancer l’AVMA, nouveau programme de financement qui prend la suite de Covax, dont il a beaucoup été question pendant la pandémie de Covid-19... - Lire cet article


Industrie pharmaceutique : un secteur clé pour l’économie tunisienne, africaine et mondiale - 17/07/2024 - La Presse - Tunisie

«Comparé à la Tunisie, qui est connue pour avoir un secteur biomédical plus développé avec des infrastructures de santé modernes, des institutions de recherche renommées et un plus grand nombre de professionnels de la santé, le Niger peut être en retard en termes de développement dans ce domaine», c’est ce qu’a affirmé Salifou Souleymane, directeur général adjoint à «Acak Bio Médical» au Niger. Sa participation récente au Tabm avait pour objectif de chercher des opportunités avec des entreprises tunisiennes et des partenaires africains.

Salifou Souleymane, directeur général adjoint à «Acak Bio Médical» au Niger, et Thierry Hermann Palenfo, directeur général adjoint à «Burkina Medical Facility» au Burkina Faso, ont tous les deux pris part à la troisième édition du «Tunisia Africa Business Meetings» organisée, au début du mois, par le Centre de promotion des exportations (Cepex). Leur participation à cet évènement avait pour objectif de chercher des opportunités avec des entreprises tunisiennes et des partenaires africains... - Lire cet article


Maturité réglementaire sur le continent africain et dans les pays d'où proviennent la majorité des médicaments africains, sur la base de la base de données RSS de l'Organisation mondiale de la santé - 16/07/2024 - Medicines for Africa - Panafricain

En regardant ce tableau, nous imaginons ce qui pourrait être possible en Afrique si la maturité réglementaire de l'Afrique était mise à profit avec des investissements significatifs et un soutien international pour intégrer les économies africaines productrices de médicaments dans la chaîne de valeur mondiale des produits médicaux.

Il s'agit là d'un excellent moyen de résoudre un problème mondial insoluble, à savoir comment parvenir à la sécurité sanitaire mondiale d'une manière qui permette à la population africaine d'en bénéficier en même temps que tous les autres. Contrairement aux traités internationaux tels que l'accord sur la pandémie, cette approche particulière serait réalisable et constituerait une solution plus pratique que la négociation de traités exigeant des autres pays qu'ils sacrifient leurs propres intérêts au profit des populations d'autres pays. L'intention des traités internationaux tels que l'accord sur la pandémie est bonne, mais ils sont terriblement peu pratiques et nous craignons qu'ils ne constituent jamais la solution réalisable dont le monde a besoin... - Lire cet article


Nouvelle baisse des prix des médicaments - 15/07/2024 - Aujourd'hui le Maroc - Maroc

Le ministère de la santé et de la protection sociale a publié une nouvelle liste des médicaments dont les prix vont baisser. Cette nouvelle liste comporte des médicaments prescrits dans le traitement des douleurs neuropathiques, arthrose, cancer, épilepsie et schizophrénie.

Le ministère de la santé et de la protection sociale a procédé à une nouvelle baisse de prix de plusieurs médicaments. Cette décision a été publiée dans le dernier Bulletin officiel du 4 juillet 2024. Cette nouvelle baisse concerne principalement les médicaments prescrits dans le traitement des douleurs neuropathiques, arthrose, cancer, épilepsie, schizophrénie ainsi que des médicaments visant à réduire la dépendance à l’alcool. La baisse la plus importante concerne le médicament «Erluntas», destiné à traiter le cancer, dont le prix est passé de 9.451 DH à 8.943 DH, ce qui représente une baisse de 508 DH. Le médicament Pradaxa 110mg (boîte de 60 gélules), prescrit pour le traitement des thromboses veineuses profondes et des embolies pulmonaires chez l’adulte, a vu son prix baisser de 199 DH en passant de 1.002 DH à 803 DH. Parmi les autres médicaments dont le prix a baissé figure aussi «Immunohbs 180 UI/ml» (solution injectable, boîte d’un flacon de 1ml), destiné à la prévention de la réinfection du virus de l’hépatite B après transplantation du foie. Son tarif public est passé de 1.111 dirhams à 1.035 dirhams, soit une baisse de 76 DH. Pour d’autres médicaments, la baisse reste dérisoire, se chiffrant à seulement quelques centimes... - Lire cet article


Campagne "Africa Skills Revolution" (révolution des compétences en Afrique) - 15/07/2024 - Union Africaine - Panafricain

D'ici à 2050, la population jeune de l'Afrique dépassera les 830 millions, ce qui représente une opportunité majeure pour la croissance économique et l'innovation. L'enseignement et la formation techniques et professionnels (EFTP) sont essentiels pour doter les jeunes Africains des compétences indispensables sur le marché du travail actuel. Malgré son potentiel, l'EFTP est confronté à des défis, notamment la stigmatisation et le manque de modèles.

En accordant la priorité à l'éducation et au développement des compétences, on peut exploiter l'énergie et l'ingéniosité de la jeunesse africaine, ce qui conduira à un avenir prospère. L'AUDA-NEPAD et Humana People to People se concentrent sur l'autonomisation des jeunes et l'amplification de leurs voix, dans le but de former les futurs leaders. L'initiative "Africa Skills Revolution", inspirée par l'Année de l'éducation 2024 de l'UA, cherche à libérer ce potentiel et à changer les perceptions négatives de l'EFTP.

L'initiative met l'accent sur l'inclusion, en garantissant l'accès à une éducation et une formation de qualité pour tous les jeunes, quel que soit leur milieu d'origine. La promotion de l'égalité des sexes et le soutien aux groupes vulnérables contribueront à une société plus juste.

L'initiative invite les gouvernements, les secteurs privés, les établissements d'enseignement, les ONG et les organismes internationaux à collaborer. Ensemble, ces efforts favoriseront le développement des compétences, stimuleront l'innovation et créeront une croissance économique durable, conformément à la vision de l'Union africaine d'une Afrique prospère et unifiée où chaque jeune peut s'épanouir... - Lire cet article




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