Le roi Mohammed VI a présidé, ce mercredi 13 juillet, un conseil des ministres. A cette occasion, le ministre de la Santé a présenté un exposé sur le projet de loi-cadre relatif au système national de santé. Ce projet de réforme structurant est basé sur quatre piliers fondamentaux, indique le porte-parole du Palais royal dans un communiqué.
Le premier pilier porte sur l’adoption d’une bonne gouvernance visant le renforcement des mécanismes de régulation de l’action des acteurs et la consolidation de la gouvernance hospitalière et la planification territoriale de l’offre sanitaire sur tous les niveaux... - Lire cet article
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié aujourd’hui le tout premier rapport sur la filière de développement de vaccins contre les infections dues à des bactéries résistantes aux antimicrobiens. L’analyse de l’OMS attire l’attention sur la nécessité d’accélérer les essais de ce type de vaccins à leur dernier stade de développement et d’accroître autant que possible l’utilisation des vaccins existants.
L’épidémie silencieuse de résistance aux antimicrobiens (AMR) est un problème de santé publique de plus en plus préoccupant. Les infections bactériennes résistantes sont en effet associées à près de 4,95 millions de décès chaque année et 1,27 million de décès sont directement attribués à l’AMR. Mais l’AMR ne se limite pas aux infections bactériennes. Ce phénomène se produit lorsque des bactéries, des virus, des champignons et des parasites évoluent et ne réagissent plus aux médicaments. Lorsqu’une personne est infectée par ces microbes, on dit que l’infection est résistante aux médicaments antimicrobiens. Ces infections sont souvent difficiles à traiter... - Lire cet article
L'Afrique a choisi comme thème « Stratégies et mécanismes pour la gestion transparente des fonds de lutte contre la Covid-19 », afin de célébrer, ce 11 juillet, sa journée de lutte contre la corruption. À l'occasion, le président de la Haute autorité de lutte contre la corruption (Halc), Emmanuel Ollita Ondongo, a fait une déclaration au nom de son entité.
La Journée africaine de lutte contre la corruption est l'occasion de renforcer la détermination, la concentration et l'expertise nécessaire pour lutter contre les nombreuses facettes de la corruption à laquelle l'Afrique est confrontée ; intensifier et accroître l'efficacité des efforts de plaidoyer, renforcer et élargir les partenariats avec toutes les parties prenantes par le biais d'une collaboration stratégique visant à lutter contre la corruption. Selon Emmanuel Ollita Ondongo, la célébration de cette journée permet de conscientiser la population africaine sur ce phénomène qui gangrène la gestion des affaires publiques à l'instar du plan national de lutte contre la covid-19 et de la mobilisation des fonds qui en a été faite. - Lire cet article
L'Afrique a choisi comme thème « Stratégies et mécanismes pour la gestion transparente des fonds de lutte contre la Covid-19 », afin de célébrer, ce 11 juillet, sa journée de lutte contre la corruption. À l'occasion, le président de la Haute autorité de lutte contre la corruption (Halc), Emmanuel Ollita Ondongo, a fait une déclaration au nom de son entité.
La Journée africaine de lutte contre la corruption est l'occasion de renforcer la détermination, la concentration et l'expertise nécessaire pour lutter contre les nombreuses facettes de la corruption à laquelle l'Afrique est confrontée ; intensifier et accroître l'efficacité des efforts de plaidoyer, renforcer et élargir les partenariats avec toutes les parties prenantes par le biais d'une collaboration stratégique visant à lutter contre la corruption. Selon Emmanuel Ollita Ondongo, la célébration de cette journée permet de conscientiser la population africaine sur ce phénomène qui gangrène la gestion des affaires publiques à l'instar du plan national de lutte contre la covid-19 et de la mobilisation des fonds qui en a été faite. - Lire cet article
La Banque mondiale (BM) vient d'approuver un financement supplémentaire de 29,67 millions de dollars en faveur du Congo. L'enveloppe permettra de renforcer le système de santé en soutenant la préparation aux risques épidémiques et la riposte à la covid-19.
L'appui qui provient de l'Association internationale de développement (IDA) servira, entre autres, à intensifier les mesures anti-covid en assurant un déploiement efficace des vaccins ; à améliorer la prestation et à combler les lacunes en matière de prévention et de lutte contre les infections. Avec ces fonds, il sera également question d'améliorer le traitement et les soins tout en renforçant la capacité du pays à fournir de l'oxygène; stimuler la demande vaccinale; élargir et améliorer les campagnes de communication ainsi que les activités de sensibilisation essentielles à la poursuite du déploiement de la vaccination... - Lire cet article
La directrice régionale de l'Afrique centrale et occidentale de l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation (Gavi), Marthe Essengué Elouna, a indiqué, le 8 juillet à Brazzaville, que son organisation a mis pour le moment plus de douze milliards FCFA auxquels le Congo pourra utiliser d'ici à 2025, afin de renforcer son système de santé.
Gavi ajoutera des Fonds pour introduire le vaccin contre le Papioma-virus humain, les hépatites B à la naissance ainsi que le paludisme, une fois que le Congo aurait fait une demande, a indiqué Marthe Essengué Elouna, au terme d'une séance de travail avec le ministre de la Santé et de la Population, Gilbert Mokoki, et les différents partenaires. - Lire cet article
La déclaration publiée le 7 juillet à Dakar, au Sénégal, à l'issue du sommet de l'Association internationale de développement (IDA), engage les dirigeants africains sur de nombreux impératifs qu'ils doivent surmonter pour mieux conduire les politiques destinées au développement du continent.
De prime abord, dans cette déclaration conjointe en quinze points, les chefs d'Etat et de gouvernement africains présents dans la capitale sénégalaise (1) sont unanimes pour reconnaître que « la plupart des pays du continent n'ont pas connu de progrès significatifs dans les domaines tels que la réduction de la pauvreté, l'atteinte des Objectifs de développement durable (ODDs) et l'accumulation de capital humain ». Ces objectifs sont proches de ceux contenus dans l'Appel d'Abidjan, lancé le 15 juillet 2021, qui préconisait : « l'amélioration du capital humain », « la création d'emplois par des politiques de développement du secteur privé », et « la relance économique ». - Lire cet article
C’est une très importante quantité de « faux médicaments » qui vient d’être saisie au port autonome de Conakry. Les services de sécurité ont mis la main sur 220 conteneurs remplis de produits pharmaceutiques impropres à la consommation, qui étaient destinés au marché guinéen. Ils ont été présentés à la presse ce jeudi, 7 juillet 2022, en présence du ministre de la santé, Dr Mamadou Péthé Diallo, du chef d’Etat-major général des armées, le colonel Sadiba Koulibaly, du Haut-commandant de la gendarmerie nationale, le colonel Balla Samoura, et du procureur spécial près la CRIEF, Aly Touré, rapporte un journaliste de Guineematin.com qui était sur place.
A cette occasion, le lieutenant Aly Badra Camara, chef de service central de police scientifique et technique de la gendarmerie nationale et chargé des opérations de perquisition des conteneurs à médicaments au port autonome de Conakry, est revenu sur la procédure qui a permis de procéder à cette saisie... - Lire cet article
Porté sur fonds baptismaux depuis 2019, le projet du Centre de Formation et d’Expertise de l’ACAME fait son entame opérationnelle par la tenue de la réunion du comité pédagogique élargi au comité de pilotage ce vendredi 08 juillet 2022. Ce Centre qui vise à combler le besoin de formation des acteurs de la Chaîne d’approvisionnement des médicaments, se distingue par son approche pratique et orientée vers les professionnels dont le besoin de renforcement des capacités est connu avec une offre de formation pratique quasi indisponible. C’est ce gap que va combler le CFEA dont les thématiques et le schéma de formations viennent d’être adoptés par le comité pédagogique.
L’atteinte de ces résultats a mobilisé des expertises du partenaire stratégique de l’ACAME qu’est Help Logistics. Entamé depuis le mois de décembre 2021, l’étude sur les besoins de formation avec une perception des modalités d’enseignement en fonction des différents acteurs de la chaîne d’approvisionnement, a concerné plus de 200 acteurs issus du réseau des Centrales nationales d’achats de médicaments membres de l’ACAME. Cette étude dont la phase de collecte des données s’est étendue du 08 au 29 avril a permis de présenter trois blocs de formation constitués de plusieurs modules pratiques qui seront dispensés dès la période Novembre-Décembre 2022 et couvriront tous les segments de la chaîne d’approvisionnement... - Lire cet article
Le ministre de la Santé publique (Minsanté), Manaouda Malachie, en a assez de l’implication des établissements de distribution en gros des médicaments et des dispositifs médicaux dans l’approvisionnement des pharmacies des hôpitaux publics. Dans une lettre-circulaire du 29 juin rendue publique le 4 juillet dernier, le membre du gouvernement rappelle aux responsables de ces structures que, conformément à la réglementation en vigueur, ils sont uniquement autorisés à approvisionner « les centrales d’achats privées à but non lucratif, les pharmacies des formations sanitaires privées, les pharmacies d’officine et le cas échéant, les Fonds régionaux pour la promotion de la santé (FRPS) ».
Ces prérogatives, précise-t-il, sont toutefois réservées aux établissements de distribution en gros des médicaments et des dispositifs médicaux munis d’un agrément et d’un certificat de bonnes pratiques de distribution en cours de validité. « En conséquence, l’approvisionnement des pharmacies des formations sanitaires relevant du secteur public leur est strictement interdit », affirme-t-il. Une décision qui vise à maîtriser le circuit de distribution du médicament dans les formations sanitaires publiques, alors que ces « mauvaises pratiques » désorganisent le marché mais surtout, favorisent la vente illicite des médicaments, dit-il... - Lire cet article
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