Le projet industriel Defi Pharma a été présenté le 27 décembre 2024 lors d’une rencontre avec M. Makhtar Diop, Directeur Général de la Société Financière Internationale (IFC).
DéfiPharma est une initiative du groupe Duopharm, qui comprend la construction d’une usine industrielle de production de médicaments et la création d'un laboratoire dédié à la recherche et au développement.
Étaient présents à cette rencontre, Dr Jules Charles Kébé - DG de Duopharm, Dr Sokhna Diagne Ndiaye - PCA, M. Moktar Vivien YANGUE SEPOU - Directeur Administratif et Financier et M. Olivier Buyoya, Directeur Régional de IFC pour la zone Afrique de l’Ouest. Les échanges ont porté sur l'industrie pharmaceutique locale au Sénégal et sur le projet Défi Pharma qui a été bien accueilli par les parties prenantes. Des pistes de collaboration et d’accompagnement ont été évoquées autour des opportunités offertes par le projet pour stimuler l'industrie pharmaceutique sénégalaise, notamment : ... - Lire cet article
Un pionnier de la nanomédecine et de la recherche sur l'administration de médicaments évoque son illustre carrière.
Ijeoma Uchegbu est célèbre dans le domaine d’évolution rapide de la nanotechnologie pharmaceutique, en ouvrant la voie à l'administration de médicaments puissants au cerveau par voie nasale.
Elle est professeur de nanosciences pharmaceutiques à l'University College London et présidente du Wolfson College de l'Université de Cambridge. Elle a été nommée dame dans les honneurs du Nouvel An 2025 pour sa contribution aux sciences chimiques, à la diversité et à l'inclusion.
Elle est directrice scientifique de Nanomerics, une société de nanotechnologie pharmaceutique spécialisée dans les solutions d'administration de médicaments. Ses travaux sur l'administration de médicaments à base de nanoparticules, notamment par voie nasale, ont ouvert de nouvelles possibilités de traitements plus efficaces pour toute une série de maladies... - Lire cet article
Une véritable bombe à retardement sanitaire menace le Cameroun. Les médicaments antirétroviraux, essentiels pour les personnes vivant avec le VIH, connaissent une hausse de prix alarmante. Autrefois largement subventionnés, ces traitements vitaux coûtent désormais entre 10 000 et 15 000 FCFA la dose, avec une nécessité de prise bimensuelle. Cette situation catastrophique risque d’engendrer une propagation massive du virus si des mesures urgentes ne sont pas prises.
La fin des subventions américaines provoque un séisme dans l’accès aux ARV
Le retrait des États-Unis de l’USAID et de l’OMS a eu des conséquences dévastatrices pour les programmes de lutte contre le VIH au Cameroun. Selon les informations recueillies par 237online.com, la décision de l’administration américaine de couper les subventions a directement impacté l’accessibilité des traitements. Les patients doivent désormais débourser environ 25 000 FCFA mensuellement pour obtenir leur dose complète d’antirétroviraux.
Cette somme représente un fardeau financier insoutenable pour de nombreux Camerounais, dans un pays où le salaire minimum reste très bas et où une part importante de la population vit de l’économie informelle. “Comment choisir entre se nourrir et se soigner ?“, s’interroge amèrement un patient sous ARV rencontré devant un centre de santé de Yaoundé... - Lire cet article
L’Algérie veut se donner les moyens d’assurer son indépendance en ce qui concerne son approvisionnement en médicaments. C’est dans cette optique qu’un projet vieux de plusieurs années est sur le point de renaître de ses cendres. Après près de deux décennies d’inactivité, l’Unité de fabrication de principes actifs pour antibiotiques du complexe « Antibiotical », relevant du groupe public Saïdal, s’apprête à reprendre du service en juin prochain. Une annonce faite par le ministre de l’Industrie pharmaceutique et rapportée par nos confrères d’Algérie-Eco, qui marque une avancée significative dans la volonté de l’Algérie de renforcer son autonomie pharmaceutique.
Située à Médéa, cette unité industrielle joue un rôle clé dans la production de principes actifs destinés aux antibiotiques, éléments essentiels pour le marché de la santé. Sa mise à l’arrêt, il y a 19 ans, avait contraint le pays à dépendre largement des importations pour couvrir ses besoins en antibiotiques. Sa réactivation vise donc à réduire cette dépendance et à développer une production locale compétitive... - Lire cet article
Le marché pharmaceutique tunisien est en pleine expansion et devrait atteindre 5,03 milliards de dollars d’ici 2030, contre 2,15 milliards de dollars en 2023, selon une étude récente de Maximize Market Research. Cette progression, caractérisée par un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 12,9 %, reflète la vitalité du secteur et son potentiel de développement.
La Tunisie, dotée de l’un des systèmes de santé les plus performants d’Afrique du Nord, attire de plus en plus d’investissements étrangers. Des groupes internationaux, tels que Sanofi Aventis, ont renforcé leur présence dans le pays grâce à des partenariats avec des entreprises locales. Ces collaborations visent principalement à stimuler la recherche et le développement, ainsi qu’à moderniser les unités de production.
La position géographique stratégique de la Tunisie en fait un hub important pour les exportations pharmaceutiques vers l’Afrique et l’Europe. Des entreprises locales, comme la Société Arabe des Industries Pharmaceutiques (Saiph), ont profité de cette opportunité pour étendre leur présence en Afrique du Nord et en Afrique de l’Ouest, tirant parti des opportunités de croissance du secteur... - Lire cet article
C’est un domaine qui nécessite une grande spécialisation pour ne pas compromettre la vie des hommes. La situation est craintive puisque nous assistons à une prolifération des produits « par terre » à travers des vendeuses et vendeurs emballants de médicaments dans la rue ou au bord des voies publiques. Cette pratique reste assez problématique. Faut-il y mettre fin sachant bien que des milliers de familles se nourrissent à travers elle ? Bien malin qui répondra à cette question.
Les médicaments vendus clandestinement à Bamako n’ont pas fini de nous livrer tout leur secret. Ça soigne ; ça tue mais ça fait aussi beaucoup d’argent. Le business des médicaments de la rue a de beaux jours devant lui. Grossistes véreux ; pharmaciens sans scrupule ou consommateurs inconscients, à qui profite le crime ? La vente illicite des médicaments est la distribution et la dispensation des médicaments en dehors du cadre légal... - Lire cet article
L’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS) et les centrales syndicales des pharmaciens d’officine se sont réunis le 28 février. Les principaux points de discussion ont porté sur la régulation du circuit du médicament, le droit de substitution, le prix des médicaments.
L’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS) a tenu le mercredi 28 février une rencontre avec les centrales syndicales des pharmaciens d’officine, à savoir la Fédération nationale des syndicats des pharmaciens du Maroc (FNSPM), la Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc, l’Union nationale des pharmaciens du Maroc et le Syndicat national des pharmaciens du Maroc. Les discussions ont porté sur la régulation du circuit du médicament et des autres produits de santé, le droit de substitution, le prix des médicaments, ainsi que d’autres dossiers préoccupant les pharmaciens, précise l’Agence dans un communiqué... - Lire cet article
L’Unité de fabrication de principes actifs pour antibiotiques relevant du complexe « Antibiotical » du Groupe Saïdal à Médéa, reprendra du service au mois de juin prochain. L’annonce a été faite par le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Wassim Kouidri, dans une déclaration à la presse à l’issue d’une visite d’inspection qu’il a effectuée ce lundi 3 mars au niveau de cette unité, en compagnie des autorités locales.
Le ministre a assuré que l’unité de fabrication de principes actifs pour antibiotiques de Harbil à Médéa, « reprendra du service en juin prochain, après un arrêt de 19 ans ». Elle constituera désormais « l’une des plus grandes unités de production de ce type de produits au monde, avec une capacité de production estimée à 750 tonnes /an, équivalant à 850 millions de dollars », a-t-il ajouté... - Lire cet article
La lutte contre la vente illicite de médicaments ne semble pas s’arrêter. Le Ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, à travers le comité technique national de lutte contre les pratiques médicales et paramédicales illégales, le trafic et la contrefaçon des médicaments et autres produits de santé, réaffirme sa volonté d’éradiquer cette pratique néfaste pour la santé de l’homme. Dans une conférence de presse animée hier, samedi 1er mars 2025, Dr Mamady Diabaté, directeur national de la pharmacie et des médicaments, est revenu sur les raisons de la lutte contre les faux médicaments, notamment au marché de Madina. Selon lui, l’État ne leur reconnaît pas à ces vendeurs la qualification de vendre les médicaments, a constaté Guineematin.com à travers un de ses reporters.
« Si nous avons mené la lutte contre les faux médicaments au marché et dans les boutiques, à ces gens-là, nous reprochons deux choses : la première, c’est parce que l’État ne leur reconnaît pas la qualification pour vendre les médicaments. Mais l’autre chose, c’est parce que nous ne maîtrisions pas la structure d’approvisionnement. Et la maîtrise du circuit d’approvisionnement, c’est la seule chose qui nous permet d’attester la qualité de ceux qui importent. Moi je ne remets pas en cause la qualité des médicaments qui sont vendus à Madina. C’est d’abord parce qu’ils n’ont pas le droit de ventre. Et autre chose, dans la loi pharmaceutique, il est dit que : un médicament est qualifié de faux médicament, même si c’est un bon médicament, mais lorsque c’est utilisé par quelqu’un qui n’a pas le droit de l’utiliser, c’est déjà un faux médicament. Donc, la qualité des médicaments de Madina, ce n’est même pas une question de laboratoire ou de l’État, c’est parce qu’on leur nie le droit de faire ça », a-t-il tranché... - Lire cet article
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé aujourd’hui les recommandations relatives à la composition virale des vaccins antigrippaux pour la saison grippale 2025-2026 dans l’hémisphère Nord (en anglais). L’annonce a été faite lors d’une séance d’information tenue à l’issue d’une réunion de quatre jours sur la composition des vaccins antigrippaux, réunion qui a lieu deux fois par an.
L’OMS organise ces consultations avec un groupe consultatif d’expertes et d’experts provenant de ses centres collaborateurs et de ses laboratoires essentiels de réglementation pour analyser les données de surveillance des virus grippaux générées par le Système mondial OMS de surveillance de la grippe et de riposte (GISRS). Les organismes nationaux de réglementation des vaccins et les sociétés pharmaceutiques utilisent les recommandations pour mettre au point, produire et homologuer les vaccins antigrippaux pour la saison grippale suivante.
L’actualisation périodique des virus contenus dans les vaccins antigrippaux est nécessaire pour que les vaccins soient efficaces, car les virus grippaux évoluent constamment, y compris ceux qui circulent et infectent les êtres humains.
L’OMS recommande que les vaccins trivalents destinés à être utilisés pendant la saison grippale 2025-2026 dans l’hémisphère Nord contiennent les virus suivants : ... - Lire cet article
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