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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Pharmacie : le Maroc couvre 75 % de ses besoins et approvisionne des marchés africains - 27/05/2025 - Hespress - Maroc

Le secteur des industries pharmaceutiques et médicamenteuses au Maroc a généré un chiffre d’affaires dépassant 23 milliards de dirhams en 2023, soit environ 5 % du produit intérieur brut industriel national. Désormais, cette filière stratégique assure plus de 75 % des besoins en médicaments du marché local, tout en orientant une part croissante de sa production vers l’exportation, notamment en direction du continent africain.

Le tissu industriel national se compose de 56 unités de production, employant près de 65.000 personnes, dont 12.000 en emplois directs, a indiqué Youssef Fadel, directeur général de l’Industrie au ministère de l’Industrie et du Commerce. Selon lui, la production pharmaceutique locale couvre 58 % de la demande nationale en valeur, tandis que 17 % de cette production est destinée à l’export.

Ces indicateurs illustrent le rôle structurant et stratégique du secteur dans la consolidation de la souveraineté sanitaire du Royaume et dans son rayonnement régional, a souligné Fadel. Ils traduisent également la dynamique de transformation du secteur, portée par une nouvelle génération de projets industriels à haute valeur ajoutée.

Parmi ces projets figure l’usine « Marbio », présenté comme un tournant majeur dans la production de vaccins au Maroc. Grâce à l’unité industrielle de Benslimane, le pays dispose désormais d’une plateforme technologique de dernière génération, capable de répondre aux besoins nationaux et africains, tout en renforçant son autonomie en matière de vaccins et de biomédicaments alternatifs. D’autres projets structurants sont en cours dans le domaine des biosimilaires, un segment stratégique qui permet l’accès à des traitements innovants à coût maîtrisé, notamment pour les pathologies chroniques.

De son côté, Samir Ahid, président de l’Agence Marocaine des Médicaments et Produits de Santé (AMMPS), a réaffirmé la montée en puissance de l’industrie pharmaceutique nationale. « Nos 56 sites industriels couvrent aujourd’hui plus de 75 % des besoins du système de santé marocain, tout en exportant vers de nombreux pays africains et au-delà », a-t-il précisé... - Lire cet article


Tahraoui annonce le lancement d’un processus de révision approfondie du système de tarification des médicaments - 26/05/2025 - Aujourd'hui le Maroc - Maroc

Le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Amine Tahraoui, a annoncé, lundi à Rabat lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le lancement d’un processus de révision approfondie du système de tarification des médicaments au Maroc.

En réponse à une question orale du Groupe Haraki portant sur la « Politique nationale des médicaments », le ministre a précisé que cette réforme vise à établir un équilibre entre le pouvoir d’achat des citoyens, encourager l’accès aux médicaments innovants et garantir la pérennité de la couverture sanitaire.

Un nouveau modèle de tarification des médicaments est en cours d’élaboration dans un cadre consultatif avec toutes les parties concernées, en vue d’adopter une tarification juste et transparente, assurant l’équité, basée sur des références internationales tout en tenant compte des spécificités nationales, a-t-il fait savoir.

La politique médicamenteuse constitue l’un des piliers fondamentaux de la réforme du système de santé national, sous le Leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a affirmé le ministre.

Et d’ajouter qu’elle repose sur plusieurs axes stratégiques, notamment la création de Agence Marocaine des Médicaments et des Produits de Santé (AMMPS), rappelant que cette agence est officiellement opérationnelle depuis la nomination de son directeur général par Sa Majesté le 18 octobre dernier, suivie de la tenue de son premier conseil d’administration... - Lire cet article


SAIDAL : 200 produits pharmaceutiques exportés vers la Mauritanie - 26/05/2025 - El Watan - Algérie

Le groupe pharmaceutique public SAIDAL est sur le point de concrétiser une expansion majeure de ses activités à l'international, avec un accent particulier sur le marché africain. En marge de la 7e édition de la Foire des produits algériens à Nouakchott, le Dr. Atmane Meddad, directeur de l'exportation à SAIDAL, a révélé des chiffres et des partenariats qui marqueront l'avenir du groupe.

L'annonce phare concerne l'exportation prochaine de plus de 200 produits pharmaceutiques vers le marché mauritanien. Cette opération s'inscrit dans le cadre d'un contrat de partenariat signé récemment avec l'entreprise "Chinguity Pharma", l'aboutissement d'une année de négociations. L'enregistrement de 220 produits pharmaceutiques auprès des autorités sanitaires mauritaniennes est en phase finale, ouvrant la voie à leur distribution sur l'ensemble du territoire mauritanien.

L'ambition de SAIDAL ne s'arrête pas à l'exportation. Le partenariat avec "Chinguity Pharma" prévoit également le lancement d'une co-production de médicaments en Mauritanie. "Chinguity Pharma" dispose d'une usine de production en phase avancée de réalisation, qui sera mise en service avec le soutien technique de SAIDAL. Dans un premier temps, la production se concentrera sur les médicaments les plus couramment utilisés, tels que les sirops thérapeutiques et les comprimés, avant de s'élargir aux traitements des maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires) et aux anticancéreux.

La présence de l'Algerian Union Bank (AUB) en Mauritanie est soulignée comme un facilitateur clé pour la concrétisation de ce projet... - Lire cet article


Médicaments essentiels génériques: les prix en baisse depuis hier 26 mai - 26/05/2025 - Sidwaya - Burkina Faso

Le ministère de la Santé a animé une conférence de presse, le lundi 26 mai 2025 à Ouagadougou sur l’adoption des arrêtés relatifs à la fixation des prix des médicaments et consommables essentiels.

Le gouvernement a consenti une baisse des prix des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux essentiels pour l’année 2025. L’annonce a été confirmée par le ministère de la Santé, le lundi 26 mai 2025 à Ouagadougou, lors d’un point de presse. Cette décision est entrée en vigueur à compter du 26 mai dernier.

Elle intervient suite à l’adoption des arrêtés relatifs à la fixation des prix des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux essentiels adoptés par le département en charge de la santé. Selon le ministre de la Santé, Robert Kargougou, cette baisse concerne 71 produits traceurs dans les structures sanitaires publiques et conventionnées.

Il a expliqué que les baisses sont en fonction des produits concernés. Pour la plaquette de Catopril 25 mg comprimé, elle passe de 140 F CFA à 75 F CFA soit une réduction de 46%, a confié le ministre. De son avis, l’insuline injectable utilisée dans le traitement du diabète passe de 2750 F CFA à 2500 FCFA. M. Kargougou a aussi signifié que le prix de revient de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques (CAMEG) de l’ampoule du sérum antivenimeux polyvalent Afrique de l’Ouest injectable qui coutait 21 833 F CFA est cédé désormais à un prix de vente public de 2 000 F CFA soit une réduction de 19 833 F CFA... - Lire cet article


Pharmalagasy se lance dans la production de médicaments génériques - 24/05/2025 - L'express de Madagascar - Madagascar

Pharmalagasy reprend ses activités. Après une période de silence qui a suivi le succès du CVO+, cette usine pharmaceutique se relance en se tournant vers la commercialisation de médicaments génériques.

Après une période de silence consécutive à la commercialisation du CVO+, Pharmalagasy relance sa production. L’usine pharmaceutique nationale a annoncé le lancement, en phase de test commercial, de sept médicaments génériques, destinés au marché local.

Parmi les molécules concernées figurent le Paracétamol 500 mg, l’Ibuprofène 200 mg et 400 mg, la Prednisolone 5 mg, le Furosémide 40 mg, l’Allopurinol 100 mg et la Chlorphéniramine 4 mg. Ces médicaments, parmi les plus couramment utilisés dans les établissements de santé du pays, seraient proposés à des prix inférieurs de 20 % à ceux actuellement pratiqués.

Ce lancement s’inscrit dans le cadre d’un projet présidentiel, présenté comme structurant, avec pour objectif de renforcer l’accès aux médicaments essentiels. À moyen terme, certaines molécules de base pourraient être distribuées gratuitement aux populations vulnérables, notamment aux enfants scolarisés.

Les sept médicaments ont obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM). Pharmalagasy prévoit de commercialiser une trentaine de références dans les prochaines semaines, avec l’ambition d’en produire une centaine d’ici un an... - Lire cet article


Saviez-vous que l'Agence africaine du médicament (AMA) dispose d'un chef intérimaire de son secrétariat ? Rencontrez le Dr. Benjamin Djoudalbaye qui occupe ce poste - 22/05/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Rencontrez le Dr Benjamin DJOUDALBAYE, chef intérimaire du secrétariat de l'Agence africaine du médicament. Il est un leader chevronné de la santé publique mondiale avec plus de 22 ans d'expérience dédiée à l'amélioration des résultats de santé à travers l'Afrique. Médecin de formation, il est titulaire de diplômes d'études supérieures en santé publique et en maladies infectieuses. Il apporte à ce poste une grande expertise dans la conception, la gestion et l'évaluation de programmes de santé à grande échelle, notamment dans les domaines du VIH/SIDA, de la tuberculose, du paludisme, d'Ebola et de la santé maternelle et infantile.

Benjamin Djoudalbaye est actuellement à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA), tandis que l'agence se prépare à annoncer le nom du nouveau directeur général désigné. L'Union africaine (UA) a officiellement annoncé la nomination du Dr. Benjamin DJOUDALBAYE à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA) lors de l'inauguration du siège de l'AMA à Kigali, au Rwanda, le 1er novembre 2024. Dans ses remarques, S.E. Amb. Minata Samate Cessouma, alors Commissaire de l'UA pour la santé, les affaires humanitaires et le développement social, a souligné le rôle de leadership du Dr. Djoudalbaye dans le Secrétariat intérimaire, soulignant l'importance de ce poste pour faire avancer l'opérationnalisation de l'AMA.

Le Dr Djoudalbaye dirige actuellement les efforts visant à établir un cadre réglementaire unifié pour les médicaments et les technologies de la santé sur l'ensemble du continent africain. D'une certaine manière, on pourrait dire que son rôle consiste à préparer le terrain et à faire avancer le programme de l'AMA pendant que les préparatifs pour le directeur général désigné sont en cours. Sa nomination à ce poste clé s'appuie sur une longue carrière à la pointe de la santé publique, notamment en tant que haut responsable de l'Africa CDC et de la réponse de l'Union africaine aux principales urgences sanitaires.

Tout au long de sa carrière, le Dr Djoudalbaye a fait preuve d'une capacité unique à diriger des équipes multidisciplinaires et à naviguer dans des contextes sanitaires et humanitaires complexes. Il a collaboré étroitement avec des chefs d'État, des ministres, des donateurs mondiaux et des dirigeants de la société civile afin d'obtenir des ressources, de faire évoluer les politiques et de renforcer les systèmes de santé. Son travail dans les situations d'urgence en matière de santé publique a aiguisé sa capacité à anticiper et à répondre aux menaces émergentes tout en développant des solutions durables à long terme.

M. Djoudalbaye parle couramment l'anglais et le français, ce qui constitue un atout majeur pour aider le nouveau directeur général à naviguer efficacement sur le continent. Il est un chercheur publié qui allie l'excellence technique à la diplomatie stratégique. Sous sa direction, l'AMA est prête à se transformer pour passer sous la houlette du futur directeur général, qui travaillera sans aucun doute à ses côtés pour faire du projet d'Agence africaine du médicament un succès. - Lire cet article


Lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme : le Cameroun face aux nouveaux défis du financement international - 22/05/2025 - Ministère de la santé publique - Cameroun - Cameroun

En marge des rencontres stratégiques qui se tiennent à Genève, le Ministre de la Santé Publique du Cameroun, Dr MANAOUDA Malachie, a eu une audience à huis clos avec les hauts responsables du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. Parmi les interlocuteurs de marque figurait M. Mark Eldon-Edington, Chef de la Division de la gestion des subventions.

Cette réunion à caractère technique et stratégique a permis de faire le point sur les relations entre le Cameroun et le Fonds mondial, qui a déjà mobilisé près de 1,3 milliard de dollars en faveur du système de santé camerounais au fil des années.

L’un des sujets les plus sensibles abordés a été l’impact de la suspension partielle des financements américains, partenaire qui représente à lui seul environ un tiers des contributions au budget du Fonds mondial. Un changement de paradigme s’impose : « Ce ne sera plus comme avant », a reconnu une source proche des échanges. Les États-Unis ne pourront plus assumer la totalité des financements qu’ils soutenaient jusqu’ici.

Face à cette réalité, un réajustement stratégique des activités a été convenu. Les parties se sont accordées sur la réduction des interventions non essentielles afin de préserver les actions vitales pour la population. Le Cameroun devra en parallèle respecter ses engagements de cofinancement, sous peine de voir ses subventions réduites de 20 %. À ce sujet, le rapport de cofinancement pour l’exercice 2024 a déjà été transmis au Fonds mondial.

Le Ministre a également tenu à rassurer sur la destruction effective des produits pharmaceutiques périmés, désormais achevée dans les dix régions du pays. Une mesure saluée pour son importance dans la gestion des risques sanitaires. - Lire cet article


Industrie pharmaceutique : Saidal signe deux mémorandums d'entente avec deux laboratoires privés pour la production de traitements innovants - 21/05/2025 - Algérie Presse Service - Algérie

ALGER- Le Groupe Saidal a signé, mardi à Alger, deux mémorandums d'entente avec deux laboratoires privés, en vue de renforcer la coopération en matière de développement et de production des traitements innovants, indique un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique

Il s'agit des laboratoires "Orion Lab" sis à Oran, et "Democedes Pharma Algérie" basé à Ain M'lila (Oum El-Bouaghi), ajoute le communiqué.

La cérémonie de signature s'est déroulée au niveau du siège du Groupe Saidal, sous la supervision du Secrétaire général (SG) du ministre de l'Industrie pharmaceutique, Khaled Dahane, en présence de cadres du ministère et des deux laboratoires privés.

A travers ces mémorandums, le Groupe Saidal et les deux laboratoires conjugueront leurs efforts afin d'assurer l'échange d'expériences et de technologies innovantes pour développer des solutions thérapeutiques "avancées et efficaces" aux patients en Algérie, précise la même source.

Cette démarche s'inscrit dans le cadre de "la mise en œuvre de la feuille de route du mini stère de l'Industrie pharmaceutique pour l'année 2025, portant consolidation du partenariat efficace entre les secteurs public et privé, en vue d'assurer la disponibilité locale des traitements et de renforcer la sécurité sanitaire, conformément aux orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. - Lire cet article


Une « urgence en matière de financement de la santé » doit conduire à des solutions nationales fondées sur des données - 21/05/2025 - Organisation Mondiale de la Santé - International

Les ministres de plusieurs pays touchés par les coupes brutales dans les financements extérieurs destinés à la santé ont convenu de la nécessité urgente de mettre en œuvre des stratégies nationales et de se concentrer sur les données relatives à la santé lors d'un dialogue ministériel coorganisé par l'OMS et la Fondation Susan Thompson Buffett lors de la 78e Assemblée mondiale de la Santé.

Dans leurs allocutions liminaires, le professeur Senait Fisseha, vice-président des programmes mondiaux de la Fondation Susan Thompson Buffett, et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, ont donné le ton en soulignant que la crise offre l'occasion de changer radicalement la manière dont les politiques de financement de la santé et les systèmes de données sanitaires sont élaborés et mis en œuvre.

Plus précisément, le moment est venu pour les pays de réduire leur dépendance à l'égard des systèmes d'information sanitaire et des financements extérieurs, de développer leur infrastructure nationale de données, depuis les statistiques vitales jusqu'à l'impact en aval et au retour sur investissement, et de mettre en place des systèmes résilients conçus pour résister aux chocs, afin de protéger l'accès aux services essentiels... - Lire cet article


L’Assemblée mondiale de la Santé s’engage à une augmentation historique de 20 % des contributions fixées (cotisations des membres) et approuve le budget programme de base de l’OMS pour 2026-2027 s’élevant à 4,2 milliards USD - 20/05/2025 - Organisation Mondiale de la Santé - International

Les déléguées et délégués présents à la Soixante-Dix-Huitième Assemblée mondiale de la Santé ont approuvé le budget programme de base de 4,2 milliards USD pour 2026-2027, le premier à être entièrement établi sur la base du quatorzième programme général de travail, 2025-2028 (quatorzième PGT), lequel définit la stratégie mondiale pour la santé pour les quatre prochaines années. Le quatorzième PGT accorde la priorité à la promotion de l’équité en santé et au renforcement de la résilience des systèmes de santé.

Le budget présenté à la Commission A de l’Assemblée de la Santé a été réduit par rapport aux 5,3 milliards USD initialement présentés au Conseil exécutif en février dernier, compte tenu du contexte financier difficile. Tout en réduisant certains budgets régionaux ainsi que les budgets du Siège, les États Membres sont convenus de tenter de préserver les budgets nationaux dans la mesure du possible. Les ressources allouées dans le cadre du budget serviront à améliorer la coopération technique, à favoriser les partenariats et à faciliter la réalisation des cibles nationales et mondiales liées à la santé. Le projet de budget programme 2026-2027 réaffirme également le rôle indispensable du multilatéralisme pour relever les défis sanitaires complexes et interdépendants d’aujourd’hui... - Lire cet article




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