La pseudoéphédrine, suspectée de provoquer des troubles neurologiques tels qu’un syndrome d’encéphalopathie postérieure réversible (SEPR) ou de vasoconstriction cérébrale réversible (SVCR) selon l’Agence européenne du médicament, a fait l’objet d’une réévaluation. Au Sénégal, l’Agence de réglementation pharmaceutique (ARP) a, par mesure de précaution, dans un communiqué daté du mois d’octobre dernier, et en attendant les conclusions de l’étude en cours menée par le comité des experts de l’Ema, recommandé d’éviter de prescrire, de conseiller ou d’utiliser les médicaments à base de pseudoéphédrine par voie orale, en cas de rhume, grippe ou d’allergie.
Trois mois après, cette recommandation semble être sans effet. En cette période de fraicheur favorable aux maladies respiratoires, la grippe, le rhume, entre autres, la consommation de ces médicaments à base de pseudoéphédrine s’accentue chez les Sénégalais. Les médecins continuent à faire la prescription, tout comme des pharmaciens, en les recommandant aux patients. Selon la Directrice générale de l’ARP, Dr Oumou Kalsoum Ndiaye Ndao, ces derniers sont dans leurs droits de prescrire ces médicaments ou de les conseiller car n’ayant pas fait l’objet d’interdiction...
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Dakar, 11 jan (APS) – Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a appelé, jeudi, à améliorer dans les plus brefs délais le taux de disponibilité des produits et médicaments d’urgence afin d’assurer une prise en charge correcte des urgences sanitaires.
38% de disponibilité pour les produits d’urgence, c’est un réel problème que nous devons régler en obtenant plus que cela. Il nous faut veiller à rendre les médicaments disponibles en urgence dans les semaines à venir, a-t-elle déclaré lors de la deuxième réunion du Comité interne de suivi (Cis) du Plan national de développement sanitaire et social (PNDSS) 2019-2028... - Lire cet article
Les pharmaciens des départements de Dakar et Guédiawaye ont pris connaissance des nouvelles réformes pharmaceutiques sur la chaine d’approvisionnement en médicaments et autres à travers un atelier de deux jours (26 et 27 décembre). Une occasion qui a permis à la directrice générale de l’Agence de la réglementation pharmaceutique de revenir sur les droits et devoirs de ces derniers tout en mettant à leur disposition l’arsenal juridique qui leur permet d’exercer pleinement leur rôle dans la gestion du médicament. Pour être plus proche des cibles, l’Arp a annoncé la mise en place de cinq pôles régionaux pour 2024.
La notion de substitution est bien acceptée en officine, même si certains médecins le refusent à leur patient. Selon la directrice générale de l’Agence de réglementation pharmaceutique du Sénégal, Dr Oumou Kalsoum Ndiaye Ndao, le pharmacien est autorisé à substituer un médicament à celui prescrit, à condition que ce médicament soit dans le même groupe générique et que le médecin n’ait pas exclu cette possibilité par l’apposition de la mention manuscrite « non substituable » sur l’ordonnance car maitrisant bien son patient. Dans cette situation où la mention est portée dans l’ordonnance, Dr Oumou Kalsoum a souligné : « le médecin est dans son droit et la loi le lui permet et dans cette figure, le pharmacien doit respecter la prescription où interpeller directement le médecin si son numéro figure sur l’ordonnance pour pouvoir faire la substitution ». Et de poursuivre : « cette procédure peut passer car le pharmacien a la connaissance sur le médicament et le médecin sur la prescription. Ils sont donc complémentaires ». Toutefois, pour mieux appuyer les pharmaciens dans leur rôle de conseil, l’Arp a décidé de les accompagner avec le guide des équivalences thérapeutiques à savoir pour chaque médicament, l’Arp va donner la liste des produits qui peuvent le substituer. Dr Oumou Kalsoum s’exprimait avant-hier, mercredi 27 décembre, lors de l’atelier sur les connaissances des nouvelles réformes pharmaceutiques sur la chaine d’approvisionnement en médicaments et autres à l’endroit des pharmaciens des départements de Dakar et Guédiawaye dont l’objectif est de contribuer au renforcement de capacité de ces derniers sur les nouvelles réformes du secteur pharmaceutique... - Lire cet article
Le taux de contraception du Sénégal se situe aujourd’hui à 25%, le ministère de la Santé et de l’action sociale projette d’atteindre un taux de 46% d’ici 2027. Pour l’atteinte de cet objectif, le Msas compte sur l’implication de tous les acteurs, parmi lesquels les officines privées, afin de réduire au maximum la mortalité maternelle comme infanto-juvénile. C’est dans ce sens que des innovations sont prévues pour la promotion de la planification familiale au niveau des pharmacies privées.
Les pharmacies privées constituent un maillon important dans la promotion de la planification familiale. D’ailleurs, les produits de planification familiale pour les femmes ainsi que pour les hommes sont déjà disponibles dans les officines. Une façon pour le gouvernement du Sénégal de rendre l’accès à ces produits plus facile... - Lire cet article
Pour renforcer le système national de pharmacovigilance et assurer la formation des professionnels de santé des différents niveaux de la pyramide sanitaire, l’Agence Sénégalaise de Réglementation Pharmaceutique (ARP) a organisé des ateliers sectoriels aux acteurs de la zone Nord. Une tribune qui a été saisie par les responsables de l’Arp pour partager avec les participants la nouvelle loi relative aux médicaments, aux autres produits de santé et à la pharmacie.La pharmacovigilance est cruciale dans la prévention des effets indésirables liés aux médicaments chez l’homme, la promotion de la sécurité des patients, et l’utilisation rationnelle des médicaments.
Pour Dr Madické Diagne, directeur de l’inspection de la surveillance du marché et des vigilances de l’Arp, donc il est primordial de former les professionnels de santé des différents niveaux de la pyramide sanitaire sur la pharmacovigilance et de partager la nouvelle loi sur les médicaments. » La nouvelle loi sur les médicaments a apporté des innovations pour pouvoir intégrer les traités signés par le Sénégal mais également intégrer les domaines qui n’étaient pas réglementé dans la chaîne pharmaceutique... - Lire cet article
L’Agence de réglementation pharmaceutique (l’Arp) est dans un processus de redynamisation de son système de surveillance de l’utilisation des médicaments et autres produits de santé qu’est la pharmacovigilance. A cet effet, elle a animé hier, mardi 21 novembre, un atelier à l’endroit des pharmaciens de Dakar et de Thiès sur la question. Selon sa directrice générale, Dr Oumou Kalsoum Ndao Ndiaye, « la pharmacovigilance accompagne le médicament ».
De plus en plus des médicaments sont retirés des rayons des pharmacies pour un souci. La dernière opération de retrait en date concerne les médicaments utilisés pour soigner le rhume ou la grippe. Pour la sécurité des Sénégalais, l’Agence de réglementation de la pharmacie (Arp) a fait de la pharmacovigilance un des piliers phares de sa mission. Une démarche qui entre dans un processus de redynamisation de son système de surveillance de l’utilisation des médicaments et autres produits de santé qu’est la pharmacovigilance...
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Dakar, 25 oct (APS) – L’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP) a appelé à éviter de prescrire, de conseiller et d’utiliser les médicaments à base de pseudo éphédrine par voie orale en cas de rhume, de grippe ou d’allergie, indique un communiqué transmis à l’APS.
‘’Par mesure de précaution et en attendant les conclusions de l’étude en cours menée par le comité des experts de l’EMA [Agence européenne des médicaments, en anglais], l’ARP recommande d’éviter de prescrire, de conseiller et d’utiliser les médicaments à base de pseudo éphédrine par voie orale en cas de rhume, de grippe ou d’allergie’’, lit-on sur un communiqué... - Lire cet article
Le 30 janvier 2020, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré une urgence de santé publique et de portée internationale, la pandémie de la Covid-19. Les pays du monde entier, frappés de plein fouet et saisis par une peur généralisée, étaient en croisade contre la rapidité de la transmission du virus et la gravité de la maladie. Cette guerre sanitaire, considérée comme juste et légitime, plongeait les pays dans des régimes d’exception. Ceux-ci ont décidé notamment la fermeture des frontières aériennes, terrestres, des écoles, des universités, des marchés et de tout autre lieu source de propagation et de contamination du virus. À cela s’est ajoutée la déclaration de l’état d’urgence assorti de couvre-feu, de confinement, d’interdiction de circuler et de toutes manifestations publiques sur l’ensemble du territoire national.
L’état d’urgence, consacré par l’article 69 de la Constitution du 22 janvier 2001 et appliqué par la loi n° 69-29 du 29 avril 1969, modifiée par la loi n° 2021-18 du 19 janvier 2021, tenant compte des situations de catastrophes naturelles ou sanitaires, a constitué une mesure administrative originale dans la gestion de la lutte contre la pandémie de la Covid-19 au Sénégal. La lutte contre ce virus a ainsi conduit à une restriction fondée et/ou justifiée des libertés publiques et individuelles... - Lire cet article
Dakar, 21 sept (APS) – Le taux de couverture du Programme national de couverture maladie universelle est passé de "20% en 2012 à 53, 6% en 2023", a indiqué jeudi le directeur général de l’Agence de la couverture maladie universelle, Dr Bocar Mamadou Daff.
"Pour l’assurance maladie, 4.480.000 personnes sont aujourd’hui dans les mutuelles de santé du pays, dont 2.442.000 bénéficiaires classiques, c’est-à-dire qui cotisent par eux-mêmes et 2.048.000 bénéficiaires de bourses de sécurité famille, pour qui l’État cotise chaque année à travers l’ANACMU", a souligné M. Daff dont les propos sont rapportés par un communiqué... - Lire cet article
Dakar, 20 sept (APS) – L’Agence sénégalaise de régulation pharmaceutique (ARP) a initié mercredi une rencontre de partage avec les »Bajenu gox » (marraines de quartier) des régions de Dakar et de Thiès pour les sensibiliser sur ses rôles et missions.
« L’agence sénégalaise de régulation pharmaceutique (ARP) est une nouveauté. Ce serait bien de nous appesantir sur les Bajenu gox pour faire connaître notre organisation », a dit sa directrice générale, docteur Oumou Kalsoum Ndiaye Ndao, lors de cette rencontre de partage... - Lire cet article
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