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Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Dr Ghazi Jerbi: "La Tunisie est au cœur de l’innovation en cancérologie en Afrique" - 08/10/2025 - Espace Manager - Tunisie

Lors de sa participation à la 4e édition du Congrès international d’oncologie médicale à Tunis, le président de l’Association Nourane de lutte contre le cancer, Dr Ghazi Jerbi, a accordé l’interview suivante :

Comment jugez-vous la qualité des participants à la 4éme édition du Congrès international d’oncologie médicale qui vient de se tenir Tunis ?

Dr Ghazi Jerbi : Ce congrès a été d’une importance capitale, surtout qu’il a représenté le plus grand congrès en Afrique sur les dernières innovations en diagnostic et traitement des cancers. La Tunisie a attiré à cette occasion des experts hautement qualifiés d’experts venus d’Europe, d’Asie, d’Afrique et du monde arabe, pour présenter les dernières avancées scientifiques en matière de diagnostic, de traitement et de médicaments pour nos patients et ceux des pays voisins.

Est-ce que la tenue de ce congrès a abouti à des collaborations fructueuses dans le domaine et de la prévention et du traitement du cancer ?

La Tunisie a été pionnière dans le traitement du cancer par rapport aux pays africains, et nous voulons retrouver notre place en tant que référence et destination médicale. Nos partenariats avec les pays présents au congrès sont allés dans la bonne direction, notamment avec la participation de représentants du premier institut européen et du troisième mondial de traitement du cancer, qui a été représenté par son directeur et plusieurs chefs de service.

Un partenariat a été conclu dans ce cadre avec l’Institut Gustave Roussy et une clinique privée en Tunisie. Nous espérons que ce partenariat s’élargira bientôt à l’Institut Salah Azaïez. La Tunisie travaille activement sur la prévention des maladies cancéreuses, et nous pouvons nous appuyer désormais sur l’hôpital numérique pour le diagnostic, l’analyse des résultats et l’évitement des cas avancés.

Quelles sont désormais les cancers les plus fréquents en Tunisie et dans le monde ? ... - Lire cet article


Ventes des médicaments aux cliniques : mise au point du ministre de la Santé - 08/10/2025 - Pharmacie.ma - Maroc

Par une note d’application (n°18835) datée du 3 octobre 2025, le ministère de la Santé et de la Protection sociale rappelle fermement aux pharmaciens responsables des établissements pharmaceutiques leurs obligations légales concernant la vente de médicaments aux cliniques privées et aux établissements assimilés.

Cette mise au point intervient après le constat de plusieurs dépassements, telles que la vente de médicaments avec l’étiquette «prix public de vente» (PPV) au lieu du «prix hôpital» (PH), l’octroi de remises, la distribution d’unités gratuites ou encore la participation à des appels d’offres lancés par des cliniques privées. Le ministère évoque également l’absence, dans certains établissements, de médicaments correctement vignettés au prix hôpital.

Ces pratiques, souligne la note, contreviennent à plusieurs dispositions du Code du médicament et de la pharmacie (loi n°17-04). L’article 72 impose en effet que les cliniques s’approvisionnent directement auprès des établissements pharmaceutiques industriels ou des grossistes-répartiteurs, et que les médicaments soient cédés au prix hôpital. L’article 73 interdit, pour sa part, toute distribution gratuite ou payante de médicaments en dehors des locaux des cliniques concernées.

L’écrit rappelle également les exigences de la loi n°31-08 relative à la protection du consommateur, qui impose une information claire et transparente sur les prix, notamment par vignettage. Les médicaments administrés dans les cliniques doivent donc obligatoirement porter la vignette «prix hôpital».

Le ministère rappelle que toute vente aux cliniques doit se faire exclusivement au prix hôpital, sans remise ni gratuité, et que les établissements pharmaceutiques sont tenus de garantir la disponibilité de médicaments correctement vignettés.

Appuyé par l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS), le ministère prévient qu’il se réserve le droit de constater toute infraction et d’engager les poursuites nécessaires... - Lire cet article


Médicaments : Le ministère de la Santé renforce la traçabilité et le contrôle du circuit pharmaceutique - 08/10/2025 - Maroc diplomatique - Maroc

Face à la persistance du commerce illégal de médicaments et aux risques qu’il fait peser sur la santé publique, le ministère de la Santé et de la Protection sociale renforce le contrôle du circuit pharmaceutique national. Une nouvelle circulaire rappelle aux acteurs du secteur leurs obligations légales et les sanctions encourues en cas de non-respect des règles encadrant la fabrication, la distribution et la dispensation des produits de santé.

Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a publié la circulaire n°105 datée du 3 octobre 2025, signée par le ministre M. Amine Tahraoui, rappelant l’obligation du respect strict du cadre légal régissant la fabrication, la distribution et la dispensation des médicaments et des produits de santé sur l’ensemble du territoire national. En effet, cette mesure s’appuie sur un ensemble de textes fondateurs du système pharmaceutique marocain, dont la loi n°17-04 portant code du médicament et de la pharmacie, la loi n°10-22 relative à la création de l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé (AMMPS), et la loi n°11-22 portant création de l’Agence marocaine du sang et de ses dérivés.

Le document du ministère constate la présence d’infractions aux dispositions encadrant le circuit de vente et de distribution des médicaments sur le marché national. Le ministère y ordonne la mise en place de tous les moyens nécessaires pour garantir le respect du circuit légal par l’ensemble des acteurs du secteur. Les pharmaciens responsables des établissements pharmaceutiques, des cliniques et des officines doivent veiller à la traçabilité des médicaments depuis leur fabrication jusqu’à leur dispensation, en mentionnant obligatoirement le numéro de lot et la date de péremption sur les factures et bons de livraison.

Par ailleurs, les pharmaciens sont tenus de conserver les factures d’achat et de vente, ainsi que toute pièce justificative utile. De plus, les décisions de rappel ou de retrait de lots émises par l’administration doivent être immédiatement exécutées, avec retrait du marché des produits concernés. Les pharmaciens doivent également suivre les tendances de vente, signaler toute activité jugée anormale à l’AMMPS et informer sans délai l’Agence en cas de tension d’approvisionnement susceptible d’affecter la disponibilité des produits... - Lire cet article


Le ministère de la Santé lance une campagne nationale pour réguler le marché des médicaments - 08/10/2025 - La relève - Maroc

Le ministère de la Santé et de la Protection sociale a annoncé le lancement d’une vaste campagne nationale visant à réguler et à assainir le marché des médicaments et des produits de santé au Maroc. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour renforcer la transparence et garantir une concurrence loyale entre les différents acteurs du secteur.

Selon trois circulaires publiées le 3 octobre courant, cette opération de contrôle cible principalement les établissements pharmaceutiques, les cliniques privées et les établissements de soins, dont certains ont été soupçonnés d’enfreindre la loi 17-04, dite Code du médicament et de la pharmacie.

Le ministère a précisé que les infractions constatées concernent notamment la vente de médicaments à des cliniques à des prix illégaux, l’octroi de remises, d’unités gratuites ou d’échantillons non autorisés, en particulier pour les produits contenant des substances stupéfiantes ou psychotropes. Il a également mis en garde contre toute pratique restreignant la participation des établissements pharmaceutiques aux appels d’offres ou empêchant les cliniques de se procurer des médicaments aux prix réglementés.

Le ministère de la Santé a insisté sur le respect par les cliniques et établissements privés de plusieurs obligations essentielles, dont la facturation des médicaments distribués aux patients au tarif hospitalier uniquement, l’interdiction de délivrer des produits pharmaceutiques en dehors du cadre thérapeutique, ainsi que la présence obligatoire d’un pharmacien responsable du stock, conformément à une convention signée avec le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens.

Pour assurer la mise en œuvre effective de ces mesures, le ministère, en coordination avec l’Agence marocaine du médicament et des produits de santé, a mis en place des équipes d’inspection chargées de mener des contrôles rigoureux au sein des établissements pharmaceutiques et des cliniques opérant sans autorisation. Il a également exigé des pharmaciens un suivi précis du parcours des médicaments et produits de santé, depuis la fabrication jusqu’à la délivrance, en mentionnant les numéros de lots et les dates de péremption sur tous les documents de vente... - Lire cet article


Docteur Messaoud Belambri, expert en réglementation pharmaceutique : « Produire des vaccins, c’est un acte de souveraineté » - 08/10/2025 - El Moudjahid - Algérie

Le lancement à Annaba d’une nouvelle unité de production de vaccins par le groupe public Saidal marque une étape majeure dans la stratégie nationale de souveraineté sanitaire. Au-delà de l’aspect industriel, ce projet engage des choix politiques et économiques structurants pour l’Algérie. Dans cet entretien, Dr Messaoud Belambri, expert en réglementation pharmaceutique, analyse la portée de cette initiative et ses implications pour la santé publique, la sécurité nationale et l’avenir industriel du pays.

El Moudjahid : Le lancement d’une nouvelle unité de production de vaccins à Annaba par Saïdal est présenté comme un projet d’envergure. Quelle lecture en faites-vous ?

Messaoud Belambri : Ce projet dépasse la simple dimension industrielle : il s’inscrit dans une vision de souveraineté sanitaire. L’unité, bâtie sur 22.000 m², vient compléter celle déjà opérationnelle à Constantine, qui a produit récemment le vaccin antigrippal après avoir fabriqué le vaccin anti-Covid. Ce projet, dont la réalisation est prévue dans un délai de 24 mois, vise à assurer la production de vaccins pédiatriques essentiels, tels que le BCG, le DTCoq, la polio et la rougeole, qui sont au cœur du calendrier vaccinal national. L’Algérie sort ainsi d’une logique de dépendance pour entrer dans une logique d’autonomie, capable de sécuriser un programme vital pour la santé publique.

Pourquoi la production locale de vaccins représente-t-elle un tournant décisif en matière de souveraineté sanitaire ?

Parce que la vaccination est l’un des piliers de la prévention. Elle a permis d’éradiquer des maladies meurtrières et de protéger des générations entières. Chaque année, près d’un million de naissances imposent de garantir un approvisionnement sûr et constant. Or, nous avons connu des ruptures qui ont eu des répercussions négatives sur le programme national de vaccination. Produire localement, c’est protéger les enfants et, au-delà, consolider une politique de santé préventive qui prolonge l’espérance de vie. Atteindre 78 ans dans les prochaines années, contre 75 ans aujourd’hui, suppose une prévention solide, et la vaccination est un levier central de cette ambition nationale. Il était temps de s’orienter vers le lancement de ce segment de l’industrie pharmaceutique, qui a enregistré ces dernières années des avancées notables. Plusieurs unités de production se sont déjà tournées vers les médicaments innovants, les anticancéreux ainsi que ceux qui pèsent lourdement sur la facture d’importation. Cette orientation constitue donc une démarche stratégique... - Lire cet article


Dotation FABA Santé – Prix Amina Ben Ayed : Mohamed Bjaoui, lauréat de la 2e édition - 05/10/2025 - La Presse - Tunisie

Le projet de recherche gagnant de cette édition vise à mettre au point une technique rapide de dépistage des maladies cardiaques par analyse d’un échantillon sanguin.

Mohamed Bjaoui, maître-assistant en pharmacologie à la faculté de Pharmacie de Monastir, a remporté la première place de la 2e édition de la Dotation Faba Santé – Prix Amina Ben Ayed décerné par la Fondation Abdelwahab-Ben Ayed.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Bjaoui a expliqué que le projet de recherche qui lui a valu ce prix a pour objectif de mettre au point une technique rapide et simplifiée de dépistage des maladies cardiaques, telles que l’insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux, grâce à l’analyse d’un échantillon de sang dont les résultats sont disponibles en 15 minutes, ce qui permet d’orienter directement le patient vers le spécialiste approprié pour une intervention médicale.

Il a expliqué qu’il espérait, grâce à cette bourse, développer le prototype de cette technique en deux ans dans le cadre de recherches en laboratoire, soulignant que sa généralisation nécessiterait l’intervention de sociétés pharmaceutiques internationales pour sa fabrication et sa commercialisation.

Il a ajouté qu’il travaillait actuellement sur une autre recherche visant à permettre aux patients sous chimiothérapie ou sous antibiotiques et souffrant en même temps d’une maladie rénale d’obtenir des médicaments de substitution sans effets secondaires sur les reins, ce qui leur permettrait de poursuivre leur traitement en toute sécurité.

Il convient de noter que la bourse de la Fondation Abdelwahab-Ben Ayad Faba pour la santé – Prix Amina-Ben Ayad, qui a été décernée vendredi soir pour la deuxième fois, vise à encourager les jeunes chercheurs dans les domaines de la santé et de l’innovation scientifique... - Lire cet article


Médicaments : après la Mauritanie, SAIDAL lance les exportations vers un autre pays voisin - 05/10/2025 - Algérie 360° - Algérie

Le groupe pharmaceutique public algérien Saïdal a signé, ce dimanche, un protocole d’accord avec la société libyenne « Al Lou’loua Al Oula » pour l’importation de médicaments et de produits médicaux, marquant une nouvelle étape dans le renforcement des relations économiques et industrielles entre l’Algérie et la Libye.

La cérémonie s’est tenue au siège de la direction générale du groupe Saïdal à Alger, en présence de la présidente-directrice générale du groupe, Nabila Benyagzer Ouarath, et du directeur général de la société libyenne, Akram Ali Ahmed Essaïd, accompagnés de plusieurs responsables des deux parties. Cet accord vise à élargir la coopération dans le domaine pharmaceutique et à stimuler les échanges commerciaux entre les deux pays voisins.

Saïdal va exporter ses médicaments en Libye

Le protocole signé prévoit notamment la relance des exportations de Saïdal vers le marché libyen, une étape importante après plusieurs années de ralentissement des échanges dans ce secteur. Il inclut également le transfert d’expertise, de savoir-faire et de technologies en matière de production pharmaceutique.

L’objectif est de renforcer la capacité de production locale des deux pays et de favoriser un meilleur accès aux médicaments de qualité, tout en stimulant la complémentarité industrielle entre Alger et Tripoli... - Lire cet article


Cameroun : le Premier ministre Joseph Dion Ngute lance la construction d’un complexe pharmaceutique - 04/10/2025 - Africa 24 - Cameroun

Le Cameroun engage un virage stratégique en matière de santé et d’industrie. À Meyo, le premier ministre Joseph Dion Ngute a procédé à la pose de la première pierre du chantier du complexe pharmaceutique. L’infrastructure devrait permettre de répondre aux besoins nationaux et renforcer la souveraineté sanitaire du pays.

Le Cameroun amorce un tournant majeur dans sa politique sanitaire. Pour réduire les décès liés au paludisme, estimés à 11 602 en 2023 selon l’Organisation mondiale de la santé, et alléger une facture d’importation de médicaments dépassant les 166 000 milliards de francs CFA, le gouvernement mise sur la production locale. Actuellement, celle-ci ne couvre que 5 % des besoins nationaux, obligeant le pays à importer plus de 90 % de ses produits pharmaceutiques. C’est dans cette optique que le Premier ministre, représentant du chef de l’État, a procédé le 3 octobre 2025 à la pose de la première pierre d’un complexe industriel pharmaceutique à Meyo, dans l’arrondissement de Yaoundé 4ème.

Porté par l’homme d’affaires Mbe Idriss Confiance, en partenariat avec la société chinoise Yincheng, ce projet d’envergure vise à transformer durablement le secteur pharmaceutique camerounais. À travers la production locale de médicaments et de dispositifs médicaux, il entend améliorer l’accessibilité aux soins, réduire la dépendance extérieure, et dynamiser l’économie nationale par la création d’emplois et le développement d’un tissu industriel robuste... - Lire cet article


Insuline : fin des mesures antidumping sur les importations danoises - 03/10/2025 - Hespress - Maroc

La mesure antidumping appliquée aux importations d’insuline danoise a pris fin. Le ministère de l’Industrie et du Commerce a clos l’enquête de réexamen après le retrait de la requête de Sothema, à l’origine de la procédure un an plus tôt.

Depuis le mercredi 1er octobre 2025, la mesure antidumping qui s’appliquait depuis 2023 aux importations en provenance du Danemark est arrivée à son terme, sans reconduction. Le Ministère de l’Industrie et du Commerce a annoncé la clôture de l’enquête de réexamen, à la suite d’une décision actée le 24 septembre par la Commission de Surveillance des Importations (CoSI).

Ce dénouement s’explique par le retrait de la requête introduite par la société Sothema, à l’origine même du processus de réexamen. En application de l’article 28 de la loi n° 15-09 relative aux mesures de défense commerciale, un tel retrait entraîne automatiquement la clôture de l’enquête et l’absence de toute prorogation de la mesure.

Dès lors, les importations d’insuline originaires du Danemark entrent désormais au Maroc sans droit antidumping supplémentaire. Une évolution qui concerne directement un médicament vital pour des milliers de patients diabétiques, tout en touchant un secteur pharmaceutique où l’équilibre entre protection de la production locale et accès à la concurrence internationale reste particulièrement sensible.

Cette issue marque un contraste frappant avec la situation d’il y a un an. Le 21 octobre 2024, le ministère ouvrait une enquête de réexamen (avis public n° DDC/10/2024) sur la base d’une requête jugée recevable déposée par Sothema, seul fabricant d’insuline au Maroc et représentant de la branche de production nationale. L’entreprise affirmait alors que la fin de la mesure antidumping risquait d’entraîner une reprise des importations danoises en dumping à des niveaux élevés, avec un dommage sérieux pour la filière locale... - Lire cet article


Régulation pharmaceutique - L'Ethiopie devient le neuvième pays africain à atteindre le niveau de maturité 3 - 03/10/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Le 30 septembre 2025, l'Autorité éthiopienne des aliments et des médicaments (EFDA) est devenue le neuvième pays africain à atteindre le niveau de maturité 3 (ML3) dans le cadre de l'outil d'étalonnage mondial des systèmes réglementaires de l'Organisation mondiale de la santé. Cela signifie que l'Éthiopie dispose désormais d'une autorité réglementaire stable et fonctionnelle, capable de garantir la sécurité, la qualité et l'efficacité des produits médicaux pour sa population. Voici comment cela transforme l'environnement réglementaire de l'Afrique.

Il s'agit d'un moment décisif pour le continent. La réussite de l'Afrique en matière de réglementation dépend de la maturité de ses ARN, de son leadership politique, de l'alignement de ses régulateurs - et de la volonté des institutions continentales de respecter le rôle de l'AMA. medicines for africa (mfa) appelle les ARN qui travaillent à la réalisation du niveau ML3 et celles qui sont en passe d'atteindre la norme la plus élevée du niveau ML4 à continuer. Grâce à votre leadership, l'Afrique a une chance de changer l'image des médicaments dangereux... - Lire cet article




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