Quelle est la réglementation en vigueur en Algérie concernant la commercialisation des compléments alimentaires, qu’ils soient vendus en pharmacie, en magasins spécialisés ou en ligne ?
La réglementation en vigueur est celle relative aux aliments (denrées alimentaires), ce qui veut dire que c’est pratiquement la même réglementation qui gère les aliments de tous les jours que nous connaissons et celle des compléments alimentaires, et ce sont des produits vendus partout, pas seulement en officine. On les retrouve dans les commerces habituels (parapharmacie, superettes, épiceries, etc.).
Les compléments alimentaires nécessitent-ils une autorisation spécifique ou un enregistrement auprès des autorités sanitaires avant leur mise sur le marché ?
Il est nécessaire de faire l’enregistrement du produit principalement auprès du ministère du Commerce. C’est le ministère principal qui exerce son autorité en matière de compléments alimentaire. Parfois, le ministère du Commerce peut avoir recours au ministère de la Santé, ou même au ministère de l’Industrie pharmaceutique lorsqu’il est nécessaire d’avoir des renseignements sur certain composants (sels minéraux, vitamines, substances végétales ou même chimiques)... - Lire cet article
Alors que la nouvelle année commence, plusieurs médicaments sont en rupture de stock dans des pharmacies privées. Les grossistes, censés approvisionner ces produits, ne livrent pas. Ce problème persiste depuis décembre, indique Chetan Dookun, président de la Pharmaceutical Association of Mauritius.
Un grossiste nous explique que ce problème touche tous les acteurs du marché. Indiquant qu’il échappe à leur contrôle, se trouvant probablement à la source. Le manque de matières premières pour la production est en grande partie responsable de cette situation, un problème qui perdure depuis la pandémie de Covid-19.« Lorsque nous passons nos commandes, nous recevons à peine la moitié, voire un quart, des quantités demandées. » Pour limiter les impacts, « en priorité, nous distribuons les médicaments dans toutes les pharmacies afin que chacune puisse servir ses patients. Sans cette répartition, les grandes chaînes risqueraient de tout prendre. S’il en reste et si d’autres pharmacies en font la demande, nous leur en fournissons également. » ... - Lire cet article
Le Sénégal célèbre une avancée historique avec l’atteinte du niveau de maturité NM3 dans le domaine de la gestion pharmaceutique.
Ce jalon témoigne de nos efforts collectifs pour garantir l’accès équitable aux médicaments essentiels et la régulation efficiente de notre secteur pharmaceutique. Cependant, derrière ce succès se profile un défi de taille : la fuite des jeunes pharmaciens diplômés. Si nous voulons maintenir le NM3 et progresser vers le NM4, il est impératif d’agir rapidement pour retenir ces talents précieux.
Un exode aux conséquences lourdes
Aujourd’hui, de nombreux jeunes pharmaciens, confrontés à des rémunérations peu compétitives (entre 100 000 et 300 000 FCFA par mois) et à une précarité professionnelle accrue, choisissent l’exil. Ils se tournent vers des horizons plus prometteurs, affaiblissant ainsi notre système de santé et compromettant les efforts de développement du secteur pharmaceutique... - Lire cet article
Le Ministère de la Santé a annoncé une révision à la baisse des prix de plusieurs médicaments essentiels, une décision qui s’inscrit dans le cadre d’une politique visant à rendre les traitements médicaux plus accessibles pour les citoyens. Cette baisse des prix concerne principalement des médicaments utilisés pour traiter des pathologies chroniques, des traitements onéreux en oncologie et des produits injectables, qui ont un impact direct sur la qualité de vie des patients.
Les prix de vente de certains médicaments ont été ajustés à la baisse, avec des réductions allant de quelques dirhams à plusieurs centaines de dirhams par boîte. Parmi les médicaments concernés, on retrouve des produits utilisés dans le traitement des maladies cardiovasculaires, du diabète, ainsi que des traitements pour les maladies auto-immunes. Par exemple, des médicaments comme le Durogesic et l’Enbrel, utilisés pour la gestion de la douleur chronique et des maladies inflammatoires, voient leurs prix diminuer de manière substantielle, ce qui permet de réduire les coûts pour les patients et les systèmes de santé... - Lire cet article
En Afrique, près d'un médicament sur cinq est de mauvaise qualité, mettant en péril la sécurité des patients et exigeant des mesures urgentes pour renforcer les systèmes de santé.
La question de la qualité des médicaments en Afrique est un sujet de préoccupation majeur pour la santé publique. Selon une récente étude, environ 22,6 % des médicaments sur le continent sont soit contrefaits, soit de mauvaise qualité. Ce chiffre alarmant souligne l’ampleur des défis auxquels sont confrontés les systèmes de santé africains. Ces médicaments de qualité inférieure ne se contentent pas de compromettre les traitements médicaux, mais ils posent également un risque significatif pour la vie des patients. Les causes de ce problème sont multiples, impliquant des réglementations inadéquates, des chaînes d’approvisionnement inefficaces et une forte dépendance à des fournisseurs peu fiables. Face à cette situation critique, il est impératif de prendre des mesures urgentes pour améliorer la qualité des médicaments et assurer la sécurité des patients. Explorons les différentes facettes de ce problème complexe et les solutions possibles pour y remédier... - Lire cet article
Les chercheurs avertissent contre une augmentation potentielle des parasites du paludisme résistants aux médicaments en Afrique, à l'image de l'Asie du Sud-Est.
Une résistance à l'artémisinine, un médicament antipaludique salvateur, pourrait apparaître chez les jeunes enfants africains atteints d'infections graves, selon une étude menée auprès de patients d'un hôpital ougandais.
L'étude menée par des chercheurs du Kenya, de l'Ouganda, du Royaume-Uni et des Etats-Unis, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), a observé une résistance partielle à l'artémisinine chez 11 des 100 enfants, âgés de 6 mois à 12 ans, qui suivaient un traitement contre le paludisme compliqué - paludisme présentant des signes de maladie grave causée par le parasite du paludisme Plasmodium falciparum... - Lire cet article
Le ministère de la Santé a décidé une série de mesures visant à promouvoir l’industrie de la santé et la production de vaccins en Tunisie lors d’une séance de travail tenue le 13 janvier au siège du ministère. Il s’agit, selon un communiqué du département, d’accélérer la numérisation des processus de production des vaccins, dans le but d’améliorer l’efficacité et la qualité de la production et de parachever les procédures liées au projet de l’ARN messager, considéré comme essentiel pour le développement de vaccins avancés.
Ces décisions incluent également l’élaboration d’une étude de faisabilité pour la production de médicaments biologiques, afin de localiser cette technologie en Tunisie et de promouvoir la recherche sur les techniques d’ARN messager, de manière à appuyer les orientations modernes en matière de santé. Cela inclut également d’organiser des formations et des ateliers et de créer des projets de recherche conjoints, dans le but de renforcer les compétences nationales et de favoriser l’échange d’expertise internationale... - Lire cet article
Dans le paysage de la régulation pharmaceutique au Sénégal, un enjeu fondamental subsiste : la procédure dans la délivrance des Autorisations de Mise sur le Marché (Amm). Cette situation constitue régulièrement un goulot d’étranglement pour l’approvisionnement en médicaments et fragilise un secteur stratégique à la fois pour la santé publique et l’économie nationale. Pourtant, une solution existe et a fait ses preuves ailleurs : déléguer la signature des AMM à l’Agence de régulation pharmaceutique.
Nous sommes depuis mars 2024 dans un contexte de renouveau des pratiques dans la gestion des affaires publiques, fait de transparence et de vertu dans la gestion. Mais cette délégation, outre son efficacité, s’inscrirait dans une vision d’efficience et de responsabilité, en harmonie avec les orientations de rigueur et de transparence prônées par les nouvelles autorités. Nous ne disposons que de sept (07) industries pharmaceutiques locales qui n’approvisionnent que 05% du marché ! ... - Lire cet article
Le ministère de la Santé a mis en garde le 14 janvier tous les citoyens contre l’utilisation d’un produit commercialisé sous le nom « GEE Dexa », découvert sur les marchés de manière illégale.
Dans un communiqué, le ministère indique que ce produit représente un grave danger pour la santé des consommateurs. « Ce produit n’est ni un complément alimentaire ni un médicament autorisé, et il est totalement dangereux pour la santé ».
Selon la même source, ce produit peut causer des troubles hormonaux tels que des irrégularités menstruelles, des problèmes de fertilité, une croissance excessive et anormale des poils, ainsi que d’autres effets physiques graves, notamment une rétention d’eau dans le corps, un gonflement et une prise de poids anormale... - Lire cet article
Le président du Conseil national de l’Ordre des Pharmaciens en Tunisie (Cnopt), Mustapha Laroussi, a affirmé, ce mercredi, qu’il n’existe pas de médicaments susceptibles d’être falsifiés en Tunisie, grâce à la transparence des circuits de distribution qui régissent le secteur.
Dans une déclaration à l’Agence Tap, Laroussi a précisé que les circuits de distribution et de vente des médicaments dans le pays sont clairement définis, que ce soit pour les produits importés ou fabriqués localement, car tous sont vendus aux citoyens exclusivement dans les pharmacies... - Lire cet article
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