Le remaniement gouvernemental de ce mercredi 23 octobre a réservé une surprise de taille avec la nomination d’Amine Tahraoui au poste de ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Khalid Aït Taleb.
Amine Tahraoui, nommé mercredi par le Roi Mohammed VI, est surtout connu pour être un gestionnaire, s’étant occupé en particulier de la gestion des entreprises familiales du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch... - Lire cet article
Amine Tahraoui fait son retour au gouvernement en tant que ministre de la Santé et de la Protection sociale, après avoir occupé le poste de chef de cabinet du ministre de l'Agriculture sous la direction de Aziz Akhannouch.
Ancien banquier d'affaires chez Attijari, il a ensuite été nommé directeur général du Groupe Aksal, appartenant à Salwa Idrissi, l'épouse d'Akhannouch.
Toujours actif dans le monde des affaires, Tahraoui a également été président-directeur général de l'entreprise Amazzine, spécialisée dans le développement de centres commerciaux au Maroc. Ainsi, Amine Tahraoui a navigué entre les ministères et le monde des affaires, notamment avec Akwa, le holding de l'actuel chef de gouvernement. - Lire cet article
Ce jeudi, le Conseil de gouvernement, présidé par Aziz Akhannouch, se penchera sur l'application des dispositions légales relatives à la publicité des médicaments, dans le cadre d'une réunion qui abordera également d'autres enjeux importants du secteur public.
L'application des dispositions relatives à la publicité des médicaments, stipulées dans le Code du médicament et de la pharmacie, sera au coeur des discussions du Conseil de gouvernement qui se tiendra ce jeudi. Sous la présidence du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, cette réunion revêt une importance particulière, tant pour la régulation du secteur pharmaceutique que pour la protection des consommateurs... - Lire cet article
Selon les spécialistes de la santé mondiale, l'abordabilité et la distribution massive seront essentielles au succès d'un médicament injectable de longue durée pour la prévention du VIH qui s'est révélé très efficace lors d'essais sur l'homme.
La société pharmaceutique américaine Gilead Sciences cherche à obtenir l’approbation réglementaire du médicament lénacapavir dans un certain nombre de pays africains – une étape clé vers sa disponibilité dans toute la région, où près d’une personne sur 25 vit avec le VIH.
Le lénacapavir est un produit de prophylaxie pré-exposition (PrEP) à action prolongée, un traitement qui agit en empêchant le VIH de pénétrer dans l'organisme et de se reproduire.
Contrairement aux traitements oraux de PrEP, qui sont pris quotidiennement, le médicament est administré à intervalles de six mois et constitue le produit injectable à action la plus longue produit à ce jour... - Lire cet article
Dans un contexte où la lutte contre le cancer est devenue une priorité de santé publique, une série de mesures visant à garantir la disponibilité des médicaments anticancéreux d’une manière permanente ont été annoncées par le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun. C’est ce qu’a indiqué un communiqué du ministère.
Ces mesures, présentées lors d’une réunion tenue, lundi, au siège du ministère, s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globale visant à garantir que tous les patients atteints de cancer aient accès aux traitements dont ils ont besoin, et ce, dans les meilleurs délais... - Lire cet article
Le Ministère de l’Industrie et de la Production Pharmaceutique met en garde contre toute pratique frauduleuse dans la distribution de médicaments. Dans un communiqué officiel, il souligne que toute forme de comportements déloyal nuisant à l’approvisionnement en soins sera fermement sanctionnée.
L’objectif est clair : garantir à tous les citoyens un accès sécurisé et constant aux médicaments. Et ce, tout en assurant la transparence et l’intégrité de la chaîne du médicament. Face à des risques de pénurie ou de tensions sur le marché, le ministère rappelle que chaque acteur est responsable de la protection de la santé publique... - Lire cet article
L’Association nationale des pharmaciens algériens (Anpha) vient de publier son rapport sur les cancers en Algérie. Fruit de deux années de rencontres et de débats avec des experts de diverses spécialités, à savoir pharmaciens, cliniciens, économistes de la santé et autres spécialistes à travers les différentes régions du pays et cela en collaboration avec le ministère de la Santé, le rapport s’est, en premier lieu, penché sur la façon d’optimiser le parcours de soins des patients atteins de maladies cancéreuses en Algérie.
A cet effet, le rapport indique que la coordination ville-hôpital «doit être un objectif partagé par l’ensemble des acteurs de santé impliqués dans la prise en charge du cancer». Celle-ci passe par un certain niveau de collaboration entre les protagonistes, à savoir le patient, les aidants et les professionnels, du dépistage à l’après-cancer. «Elle doit tenir compte du patient dans sa globalité, c’est-à-dire de son état physique, avant, pendant et après la maladie, de son contexte psychique et de sa situation socioéconomique», poursuit le rapport... - Lire cet article
CONAKRY-Depuis l’avènement du Comité National du Rassemblement pour le Développement (CNNRD) au pouvoir en Guinée une âpre lutte est menée contre les cliniques clandestines, le trafic et la vente de produits pharmaceutiques sur le marché parallèle, par des non-professionnels. Bien que la donne ait changé, mais la pratique persiste. Pour parler de cette lancinante problématique de santé publique, Africaguinee.com a interrogé Dr Thierno Oumar Barry, pharmacien et ancien enseignant-chercheur à la faculté des sciences et techniques de la santé à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry.
AFRICAGUINEE.COM : Que pensez-vous du trafic de faux médicaments ?
Dr Thierno Oumar BARRY : Avant tout, permettez-moi de remercier les autorités en place, notamment le CNRD et le ministre de la santé Dr Oumar Diouhé Bah, pour son leadership qui, pour la première fois a veillé sur la santé de la population parce que le trafic de faux médicaments est un fléau pour la santé publique. C’est la première fois en République de Guinée que les autorités affichent vraiment la volonté politique de débarrasser le pays de ce fléau pour le grand bonheur de la population guinéenne... - Lire cet article
Les régulateurs africains se demandent pourquoi les autorités nationales du médicament (ANM) africaines ne s'appuient pas davantage les unes sur les autres, de manière plus approfondie et plus significative. Cette même question a été soulevée par les chefs d'agences lors de la récente réunion de l'US Pharmacopeia qui s'est tenue à Johannesburg au début de l'année. Il s'agit d'une question importante qui est au cœur du développement et de la maturation de l'environnement réglementaire africain afin d'améliorer ses performances en matière de réglementation grâce à la collaboration entre les ARN africaines à différents stades de maturité. La confiance intra-africaine n'est pas au niveau souhaité par les responsables des agences de médicaments et les responsables africains de la réglementation veulent savoir ce qui peut être fait pour promouvoir une plus grande confiance et une collaboration plus significative entre les agences africaines de réglementation des médicaments en vue d'harmoniser les réglementations sur les médicaments sur le continent.
Selon l'OMS, plus de 70 % des agences nationales de réglementation des médicaments ont des systèmes réglementaires faibles. Seules 30 % des agences nationales de réglementation sont classées au niveau de maturité 3 ou 4 de l'OMS et, en Afrique, ce chiffre tombe à 11 %. L'un des moyens de combler cette importante lacune en matière de capacité, de réduire les doubles emplois et de promouvoir la disponibilité en temps utile de médicaments de qualité garantie, consiste à pratiquer la confiance, de manière appropriée et adaptée à l'objectif visé. La confiance est le processus par lequel une autorité réglementaire prend en compte ou donne un poids significatif aux évaluations réalisées par une autre autorité réglementaire ou une institution de confiance. En écoutant les régulateurs, il est clair que ce qui limite la confiance intra-africaine est en partie un déficit de confiance résultant de la manière dont l'OMS a procédé à l'évaluation comparative des pays... - Lire cet article
Le fait que les médicaments ne soient plus efficaces pour traiter les infections constitue un défi majeur pour la santé à notre époque. Cela se produit lorsque les agents responsables des infections (bactéries, virus ou champignons) deviennent résistants aux médicaments.
Les antimicrobiens sont une large gamme de médicaments qui agissent sur les microbes - comme les bactéries, les champignons, les virus ou les parasites. Les antibiotiques, par exemple, sont un type d'antimicrobien qui agit contre les bactéries.
La résistance aux médicaments antimicrobiens rend donc difficile le traitement et la prévention d'un large éventail d'infections.
La résistance aux antibiotiques compromet les programmes de santé publique, tels que les traitements contre la tuberculose. Elle peut également compromettre d'autres interventions médicales où le traitement est nécessaire pour prévenir l'infection, comme la chirurgie, les césariennes ou le traitement du cancer... - Lire cet article
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