Le nouveau régime mauritanien a fait de la régulation de la vente des médicaments son cheval de bataille. A Nouakchott, le décor habituel autour des centres médicaux est méconnaissable : occupés il y a seulement quelques jours par les plus grandes pharmacies de la ville, grouillant de patients, les alentours des hôpitaux et dispensaires sont désormais déserts. Les pharmacies qui y pullulaient il y a peu de temps, sont fermées, une grande croix rouge sur leurs portes, signe qu’elles y ont été contraintes par l’administration. Ce sont les mesures engagées par le nouveau ministre de la Santé, Mohamed Nedhirou Hamed et qui interdisent aux officines d’être à moins de 200 mètres de distance des centres de santé. - Lire cet article
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF ont annoncé, le 18 janvier la création d’un stock mondial de vaccins anti-Ebola. Selon l’OMS, les démarches visant à créer ce stock ont été dirigées par le Groupe international de coordination (GIC). Une institution dont sont membres l’OMS, l’UNICEF, la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), ainsi que Médecins sans frontières (MSF) avec le soutien financier de Gavi. - Lire cet article
Le sommet de Lomé sur la lutte contre le trafic de faux médicaments s’est achevé samedi. Les trois chefs d’Etat présents (Ouganda, Sénégal et Togo) ont signé un appel à l’action pour lutter conte ce fléau. Vendre des contrefaçons d’aspirine ou d’antipaludéen présente beaucoup moins de risques que dealer de la cocaïne, mais peut être tout aussi rémunérateur. - Lire cet article
« Les faux médicaments ne soignent pas. Ce sont des tueurs silencieux, qui posent un sérieux problème de santé publique. Et ce sont des prédateurs à grande échelle, qui constituent un fléau économique planétaire. Selon l'Organisation mondiale de la Santé, entre 30 et 60% de faux médicaments circulent en Afrique, entrainant le décès de plusieurs centaines de milliers de personnes à travers le continent. Faiblement réprimé au plan judiciaire, le phénomène des médicaments contrefaits est extrêmement lucratif. - Lire cet article
Brazzaville, Congo (PANA) - Le Réseau d’Afrique centrale pour la recherche clinique envisage de créer une unité de pharmacovigilance au Congo, en vue de contrôler et d’évaluer les médicaments pour éviter les maladies liées à la prise des médicaments par la population congolaise, lors d’un atelier de formation sur la pharmacovigilance. La pharmacovigilance est l’activité qui consiste à enregistrer et évaluer les effets secondaires résultant de l’utilisation des médicaments. Les participants à cet atelier bénéficieront de l’expertise de la République démocratique du Congo. - Lire cet article
Romain Renard et Arnaud Pourredon ont mis au point une application « Meditect » pour permettre de détecter les faux médicaments et d'aider l'Afrique à lutter contre le fléau. Dans un entretien avec Les Dépêches de Brazzaville, les deux startups ont présenté leur projet, l'originalité de l'application, la possibilité d'accès et leurs partenaires avec des laboratoires. - Lire cet article
La création d’un ministère délégué à l’Industrie pharmaceutique pour la première fois dans le nouveau gouvernement de Djerad rattaché au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, dirigé par Lotfi Djamel Benbahmed, pharmacien et président du Conseil de l’Ordre des pharmaciens, témoigne, selon les opérateurs de la pharmacie, notamment les producteurs et les pharmaciens d’officine, « d’un intérêt certain accordé par les plus hautes autorités publiques à ce secteur particulier de l’économie du pays », tout en souhaitant voir une prise de décisions pratiques prochainement avec plus de prérogatives à ce nouveau ministre, M. Benbahmed, qui connaît dans le détail les problèmes rencontrés par cette jeune industrie. - Lire cet article
Suite aux ruptures cycliques des médicaments, les taux de récidives en hausse ne sont jamais enregistrés. Défaut de ces médicaments, notamment le Méthotrexate, le pronostic vital des patients est engagé. A l’occasion de la Journée internationale du cancer de l’enfant, célébrée le 15 février de chaque année, qui vise à promouvoir les soins, une grosse rupture nationale des médicaments pour la prise en charge des enfants cancéreux – notamment le Méthotrexate haute dose, l’Aracytine, et on annonce prochainement l’Asparaginase, des produits indiqués dans le traitement des leucémies, tumeurs du cerveau, cancer des os et les lymphomes chez les enfants – a déclenché une panique générale dans les services d’oncologie pédiatrique à travers le territoire national. - Lire cet article
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