Industrialiser le secteur pharmaceutique La demande en produits pharmaceutiques se fait de plus en plus croissante et l’Afrique semble ne pas être à même de profiter ou de stimuler l’expansion de ce secteur, afin de répondre à ladite demande. - Lire cet article
Selon une étude parlementaire, la responsabilité de la cherté des médicaments incombe à la fois au secteur industriel et à l’administration chargée de la fixation des prix, en l’occurrence le ministère de la santé. C’est un véritable pavé dans la mare que vient de lancer le député PAM Hicham El Mhajri, élu dans la circonscription de Chichaoua, contre l’influence du lobby des laboratoires pharmaceutiques sur la politique. Intervenant lors d’une séance consacrée à l’audition du ministre de la santé, Khalid Aït Taleb, à la Chambre des représentants, ce député au verbe direct et incisif a ouvertement critiqué la politique et le silence de son ministère quant aux prix élevés pratiqués sur une grande quantité de médicaments. - Lire cet article
Le produit de contrebande découvert ce week-end par la douane dans un bus de transport. - Lire cet article
Le président de l'Union nationale des tradi-praticiens congolais, Gilbert Mounda, souhaite que le ministère en charge de la Santé s'active davantage pour la mise en place d'un cadre juridique visant à homologuer les produits de la médecine traditionnelle. - Lire cet article
Si le Syndicat des pharmaciens avait alerté l'opinion, il y a peu, sur une probable augmentation du prix du médicament liée à l'entrée en vigueur du Programme gabonais d'évaluation de la conformité (Progec), le directeur général de cet organisme a assuré ce 16 septembre que le médicament ne saurait faire l'objet d'une quelconque augmentation du prix via le Progec. - Lire cet article
Instauré par l’arrêté n°1080-20/MTCPMEI/MEF du 16 juillet 2020 et censé entrer en vigueur le 16 août, le certificat de conformité est décrié par les pharmaciens du Gabon qui ne voient pas son utilité, d’autant plus qu’au niveau du ministère de la Santé, il existe un organisme chargé du contrôle qualité. Son entrée en vigueur impliquera l’augmentation du prix du médicament. - Lire cet article
La liste des produits pharmaceutiques et les dispositifs médicaux au profit des établissements publics, dans le cadre de la procédure d’achat pour compte, a été signée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière le 16 août dernier. Elle compte 988 médicaments Dénominations communes internationales (DCI), dont 105 produits sont destinés à la cancérologie et 124 dispositifs médicaux. Les thérapeutiques innovantes, dont l’immunothérapie et l’hormonothérapie, enregistrées en 2018, ne figurent pas sur cette liste. - Lire cet article
Pourquoi l'Afrique ne fabriquerait-elle pas les médicaments dont elle a besoin ? COVID-19 a mis en évidence l'insuffisance des capacités de l'Afrique à fabriquer et à fournir les médicaments essentiels et les équipements de protection individuelle (EPI) nécessaires à enrayer la pandémie. Bien que les produits pharmaceutiques soient actuellement fabriqués dans des pays comme l'Afrique du Sud, le Kenya, le Maroc et l'Égypte, dans l'ensemble, l'Afrique importe actuellement plus de 80 % de ses produits pharmaceutiques et de ses consommables médicaux. Cette situation n'est pas viable. - Lire cet article
À Madagascar, l’industrie pharmaceutique demande à être développée. Le pays dispose du potentiel pour faire émerger le secteur par l’existence d’une biodiversité riche en plantes médicinales, un environnement économique favorable avec la mise en place de futures Zones d’émergence industrielles, et l’accès aux marchés régionaux africains (COMESA, SADC, COI, ZLEC) qui offrent un accès préférentiel à plus de 900 millions de consommateurs. Entre 2003 et 2013, le secteur connaît une croissance exponentielle en Afrique en atteignant 20,8 milliards USD. Et bien que seulement 3% de la production mondiale de médicaments provient du continent africain, le marché atteindra une valeur de 40 à 65 milliards USD au cours de cette année (2020), selon McKinsey & Company. - Lire cet article
L'approvisionnement et la distribution des médicaments ne se feront plus au Bénin par la Centrale d'achat des médicaments essentiels (Came). La structure sous-tutelle du Ministère de la santé a été dissoute et remplacée par la Société béninoise pour l'approvisionnement en produits de santé (Sobaps Sa). La décision a été officialisée lors de l'Assemblée générale extraordinaire de la structure tenue hier jeudi 3 septembre 2020 à Cotonou. - Lire cet article
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