Afrik.com : Le Covid-19 a frappé le monde entier. Comment le Sénégal et les pharmaciens en particulier y ont fait face ?
Dr Mouhamadou Saw : Pour le Covid 19, une étude du journal américain USA Today révèle que le Sénégal serait le deuxième pays au niveau mondial à avoir mieux géré le Covid-19 (Nouvelle Zélande, Sénégal, Danemark, ndlr). Et on peut s'en féliciter.
En termes d'approvisionnement, de distribution et de conseils, les pharmaciens ont joué un rôle éminemment important dans cette bataille contre la pandémie. Quand ils ont des symptômes, le premier réflexe des Sénégalais est d'aller en pharmacie. Donc nous, les pharmaciens, étions en première ligne dans la gestion de la pandémie. - Lire cet article
Le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmad, a affirmé mardi depuis Oum El Bouaghi que l’encouragement de l’investissement local «constitue une priorité» pour son secteur. «L’encouragement de la production pharmaceutique locale en vue de couvrir le marché national et promouvoir l’exportation constituent une priorité pour notre secteur», a déclaré le ministre en marge de sa visite d’inspection au Groupe Industrie Pharmaceutique «IMGS» à Ain M’lila (Oum El Bouaghi). - Lire cet article
Les importateurs de médicaments et de dispositifs médicaux qui opéraient jusque-là conformément à l’arrêté du 30 octobre 2008 devront désormais se conformer à la nouvelle réglementation instaurée pour mettre de l’ordre dans un marché juteux, dont la facture ne cesse d’augmenter et qui cause au Trésor public un manque à gagner important au moment où le recul des ressources de l'État va crescendo. Un arrêté du ministre de l'Industrie pharmaceutique, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmad, vient d'être publié dans le Journal officiel n°15 du 2 mars 2021, et ayant pour objet de fixer le cahier des conditions techniques à l'importation des produits pharmaceutiques et dispositifs médicaux destinés à la médecine humaine, et qui abroge, par conséquent, l’arrêté du 30 octobre 2008. - Lire cet article
Insufficient access to quality, safe, efficacious and affordable medical products in Africa has posed a significant challenge to public health for decades. In part, this is attributed to weak or absent policies and regulatory systems, a lack of competent regulatory professionals in National Medicines Regulatory Authorities (NMRAs) and ineffective regional collaborations among NMRAs. In response to national regulatory challenges in Africa, a number of regional harmonisation efforts were introduced through the African Medicines Regulatory Harmonisation (AMRH) initiative to, among others, expedite market authorisation of medical products and to facilitate the alignment of national legislative frameworks with the AU Model Law on Medical Products Regulation. The goals of the model law include to increase collaboration across countries and to facilitate the overall regional harmonisation process. The AMRH initiative is proposed to serve as the foundation for the establishment of the African Medicines Agency (AMA). The AMA will, as one of its mandates, coordinate the regional harmonisation systems that are enabled by AU Model Law domestication and implementation. In this paper, we review the key entities involved in regional and continental harmonisation of medicines regulation, the milestones achieved in establishing the AMA as well as the implementation targets and anticipated challenges related to the AU Model Law domestication and the AMA’s establishment. This review shows that implementation targets for the AU Model Law have not been fully met, and the AMA treaty has not been ratified by the minimum required number of countries for its establishment. In spite of the challenges, the AU Model Law and the AMA hold promise to address gaps and inconsistencies in national regulatory legislation as well as to ensure effective medicines regulation by galvanising technical support, regulatory expertise and resources at a continental level. Furthermore, this review provides recommendations for future research. - Lire cet article
[NAIROBI] La probabilité que les pays africains atteignent les objectifs de dépistage du VIH et d’utilisation du préservatif d’ici 2030 n’est que de 12,1% et 28,5% respectivement, ce qui fait du besoin de tests et de traitements supplémentaires une priorité, selon une étude de modélisation. Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH / sida (ONUSIDA) a lancé des objectifs ambitieux en 2014 pour mettre fin à l’épidémie de sida d’ici 2030, en s’assurant que 95% des malades sont diagnostiqués et que 95% des personnes séropositives prennent des médicaments contre la maladie... - Lire cet article
Dans une note adressée aux opérateurs pharmaceutiques, le ministère a indiqué qu'en application des dispositions de l'article 5 de l'arrêté du 26 décembre 2020 fixant la procédure de fixation des prix des médicaments par le comité économique intersectoriel des médicaments, la liste des pays comparateurs au niveau régional et international a été fixée par une décision ministérielle. Au niveau régional, le ministère a fixé la Tunisie et le Maroc comme pays comparateurs, tandis qu'au niveau international la liste des pays est composée de la Jordanie, la Turquie, l'Arabie saoudite, la Grèce, la France, la Belgique, le Royaume-Uni, l'Espagne et le pays origine du médicament. - Lire cet article
Dans le cadre de la riposte à la covid, cette maladie qui tient le monde en haleine depuis 2020, la RDC, à l’instar d’autres pays, s’est inscrite sur la voie de la prévention qui implique la vaccination contre la covid-19. C’est dans cette optique que le pays a réceptionné, depuis le 2 mars, son premier lot de plus d’un million sept cent mille vaccins contre cette pandémie. Concernant le choix du vaccin, la RDC s’est prononcée pour l’utilisation du vaccin AstraZeneca qui répond aux conditions de conservation existantes dans le pays entre 2°et 8°C. - Lire cet article
C’est un véritable cri de détresse que les professionnels de la médecine nucléaire lancent aux autorités. Privés des médicaments radiophamaceutiques destinés aux malades cancéreux et aux cardiopathes, ils se retrouvent depuis deux mois face à une véritable tragédie humaine. Des milliers de malades sont renvoyés chez eux sans traitement. - Lire cet article
Dans un communiqué publié le 2 mars, le groupe pharmaceutique américain Abbott a annoncé avoir découvert en République démocratique du Congo (RDC) un groupe de 10457 patients dont le test de dépistage des anticorps du VIH s’est révélé positif, sans détection significative du virus du VIH alors que ces personnes, appelées « contrôleurs d'élite du VIH », n’ont utilisé aucun traitement antirétroviral.
Les « contrôleurs du VIH » sont des patients séropositifs infectés par la pandémie, mais qui ne développent pas le sida et dont l'organisme parvient spontanément et durablement à contrôler la réplication virale, maintenant le virus indétectable ou presque dans le plasma... - Lire cet article
« A travers un don de 200.000 doses du vaccin Sinopharm fait au #Sénégal le Président Xi Jiping réaffirme son amitié à Son Excellence @Macky Sall et son attachement à la coopération sino-sénégalaise. Un engagement commun résolu à vaincre la #COVID19sn. Ensemble nous vaincrons ! ».
Ce tweet posté sur la page du ministre de la Santé et de l'Action Sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, avant d'être retiré, parce qu'il s'agirait d'une erreur de la part de l'administrateur, alors que le Sénégal les aurait acquis sur fonds propres à hauteur de 2 milliards de francs CFA, jette un doute dans la conscience collective des Sénégalais... - Lire cet article
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