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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Centres de santé de base - Des traitements limités aux médicaments essentiels - 28/05/2025 - L'express de Madagascar - Madagascar

Un patient venu consulter un médecin dans un centre de santé de base (CSB) à Antananarivo est reparti les mains vides après s’être rendu à la pharmacie de l’établissement avec son ordonnance, hier. « Ces médicaments ne sont pas disponibles ici », lui a répondu un responsable de la pharmacie. Ces structures, censées offrir des soins de proximité et de première intention, se heurtent à une offre restreinte en médicaments. /strong>

« De nombreux médicaments ne figurent pas dans notre stock. En général, nous ne disposons que de médicaments essentiels comme le paracétamol, la vitamine C, le cotrimoxazole, entre autres », explique une source.

Les patients sont alors contraints de se tourner vers les pharmacies privées pour obtenir les traitements prescrits qui ne sont pas disponibles au sein des CSB. En milieu urbain, cela ne pose pas de difficulté majeure, en raison du grand nombre de pharmacies. En revanche, en zone rurale, la situation devient problématique. Certaines communes ne disposent ni de pharmacie, ni même d’un dépôt de médicaments. « Nous sommes obligés d’aller en ville pour acheter les médicaments prescrits par le médecin du village », témoigne un habitant d’une commune située à 20 kilomètres du centre-ville... - Lire cet article


L’atteinte du NM3 est le début d’une nouvelle exigence (DG ARP) - 28/05/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 28 mai (APS) – L’atteinte du Niveau de maturité 3 (NM3) est le début d’une nouvelle exigence pour le Sénégal, a soutenu mercredi à Dakar, Docteur Alioune Ibnou Diouf, directeur de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (ARP), estimant que cette reconnaissance doit être maintenue et renforcée à travers un engagement continu en matière d’amélioration de la qualité.

‘’Comme nous le savons tous, la reconnaissance du NM3 n’est pas une finalité en soi, mais plutôt le début d’une nouvelle exigence. Selon les procédures de l’OMS, cette reconnaissance doit être maintenue et renforcée à travers un engagement continu en matière d’amélioration de la qualité’’, a indiqué le directeur général de l’ARP.

Dr Diouf s’exprimait à l’ouverture de la quatrième réunion de la Coalition des parties intéressées (CIP) de l’OMS pour la mise en œuvre du Plan de développement institutionnel (PDI) de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique pour le maintien du Niveau de maturité 3 (NM3) et l’atteinte de la NM4.

”Nous devons également nous projeter vers un objectif encore plus ambitieux : l’atteinte du Niveau de maturité 4 (NM4), qui représente l’excellence en matière de réglementation pharmaceutique au niveau mondial”, a-t-il ajouté.

La quatrième réunion de coordination du réseau de la Coalition des parties intéressées (CIP), marque, selon lui, ”une étape cruciale dans notre mission collective de renforcer le système de réglementation pharmaceutique au Sénégal’’... - Lire cet article


Pharmacie : le Maroc couvre 75 % de ses besoins et approvisionne des marchés africains - 27/05/2025 - Hespress - Maroc

Le secteur des industries pharmaceutiques et médicamenteuses au Maroc a généré un chiffre d’affaires dépassant 23 milliards de dirhams en 2023, soit environ 5 % du produit intérieur brut industriel national. Désormais, cette filière stratégique assure plus de 75 % des besoins en médicaments du marché local, tout en orientant une part croissante de sa production vers l’exportation, notamment en direction du continent africain.

Le tissu industriel national se compose de 56 unités de production, employant près de 65.000 personnes, dont 12.000 en emplois directs, a indiqué Youssef Fadel, directeur général de l’Industrie au ministère de l’Industrie et du Commerce. Selon lui, la production pharmaceutique locale couvre 58 % de la demande nationale en valeur, tandis que 17 % de cette production est destinée à l’export.

Ces indicateurs illustrent le rôle structurant et stratégique du secteur dans la consolidation de la souveraineté sanitaire du Royaume et dans son rayonnement régional, a souligné Fadel. Ils traduisent également la dynamique de transformation du secteur, portée par une nouvelle génération de projets industriels à haute valeur ajoutée.

Parmi ces projets figure l’usine « Marbio », présenté comme un tournant majeur dans la production de vaccins au Maroc. Grâce à l’unité industrielle de Benslimane, le pays dispose désormais d’une plateforme technologique de dernière génération, capable de répondre aux besoins nationaux et africains, tout en renforçant son autonomie en matière de vaccins et de biomédicaments alternatifs. D’autres projets structurants sont en cours dans le domaine des biosimilaires, un segment stratégique qui permet l’accès à des traitements innovants à coût maîtrisé, notamment pour les pathologies chroniques.

De son côté, Samir Ahid, président de l’Agence Marocaine des Médicaments et Produits de Santé (AMMPS), a réaffirmé la montée en puissance de l’industrie pharmaceutique nationale. « Nos 56 sites industriels couvrent aujourd’hui plus de 75 % des besoins du système de santé marocain, tout en exportant vers de nombreux pays africains et au-delà », a-t-il précisé... - Lire cet article


Médicaments essentiels génériques: les prix en baisse depuis hier 26 mai - 26/05/2025 - Sidwaya - Burkina Faso

Le ministère de la Santé a animé une conférence de presse, le lundi 26 mai 2025 à Ouagadougou sur l’adoption des arrêtés relatifs à la fixation des prix des médicaments et consommables essentiels.

Le gouvernement a consenti une baisse des prix des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux essentiels pour l’année 2025. L’annonce a été confirmée par le ministère de la Santé, le lundi 26 mai 2025 à Ouagadougou, lors d’un point de presse. Cette décision est entrée en vigueur à compter du 26 mai dernier.

Elle intervient suite à l’adoption des arrêtés relatifs à la fixation des prix des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux essentiels adoptés par le département en charge de la santé. Selon le ministre de la Santé, Robert Kargougou, cette baisse concerne 71 produits traceurs dans les structures sanitaires publiques et conventionnées.

Il a expliqué que les baisses sont en fonction des produits concernés. Pour la plaquette de Catopril 25 mg comprimé, elle passe de 140 F CFA à 75 F CFA soit une réduction de 46%, a confié le ministre. De son avis, l’insuline injectable utilisée dans le traitement du diabète passe de 2750 F CFA à 2500 FCFA. M. Kargougou a aussi signifié que le prix de revient de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques (CAMEG) de l’ampoule du sérum antivenimeux polyvalent Afrique de l’Ouest injectable qui coutait 21 833 F CFA est cédé désormais à un prix de vente public de 2 000 F CFA soit une réduction de 19 833 F CFA... - Lire cet article


Tahraoui annonce le lancement d’un processus de révision approfondie du système de tarification des médicaments - 26/05/2025 - Aujourd'hui le Maroc - Maroc

Le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Amine Tahraoui, a annoncé, lundi à Rabat lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le lancement d’un processus de révision approfondie du système de tarification des médicaments au Maroc.

En réponse à une question orale du Groupe Haraki portant sur la « Politique nationale des médicaments », le ministre a précisé que cette réforme vise à établir un équilibre entre le pouvoir d’achat des citoyens, encourager l’accès aux médicaments innovants et garantir la pérennité de la couverture sanitaire.

Un nouveau modèle de tarification des médicaments est en cours d’élaboration dans un cadre consultatif avec toutes les parties concernées, en vue d’adopter une tarification juste et transparente, assurant l’équité, basée sur des références internationales tout en tenant compte des spécificités nationales, a-t-il fait savoir.

La politique médicamenteuse constitue l’un des piliers fondamentaux de la réforme du système de santé national, sous le Leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a affirmé le ministre.

Et d’ajouter qu’elle repose sur plusieurs axes stratégiques, notamment la création de Agence Marocaine des Médicaments et des Produits de Santé (AMMPS), rappelant que cette agence est officiellement opérationnelle depuis la nomination de son directeur général par Sa Majesté le 18 octobre dernier, suivie de la tenue de son premier conseil d’administration... - Lire cet article


SAIDAL : 200 produits pharmaceutiques exportés vers la Mauritanie - 26/05/2025 - El Watan - Algérie

Le groupe pharmaceutique public SAIDAL est sur le point de concrétiser une expansion majeure de ses activités à l'international, avec un accent particulier sur le marché africain. En marge de la 7e édition de la Foire des produits algériens à Nouakchott, le Dr. Atmane Meddad, directeur de l'exportation à SAIDAL, a révélé des chiffres et des partenariats qui marqueront l'avenir du groupe.

L'annonce phare concerne l'exportation prochaine de plus de 200 produits pharmaceutiques vers le marché mauritanien. Cette opération s'inscrit dans le cadre d'un contrat de partenariat signé récemment avec l'entreprise "Chinguity Pharma", l'aboutissement d'une année de négociations. L'enregistrement de 220 produits pharmaceutiques auprès des autorités sanitaires mauritaniennes est en phase finale, ouvrant la voie à leur distribution sur l'ensemble du territoire mauritanien.

L'ambition de SAIDAL ne s'arrête pas à l'exportation. Le partenariat avec "Chinguity Pharma" prévoit également le lancement d'une co-production de médicaments en Mauritanie. "Chinguity Pharma" dispose d'une usine de production en phase avancée de réalisation, qui sera mise en service avec le soutien technique de SAIDAL. Dans un premier temps, la production se concentrera sur les médicaments les plus couramment utilisés, tels que les sirops thérapeutiques et les comprimés, avant de s'élargir aux traitements des maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires) et aux anticancéreux.

La présence de l'Algerian Union Bank (AUB) en Mauritanie est soulignée comme un facilitateur clé pour la concrétisation de ce projet... - Lire cet article


Pharmalagasy se lance dans la production de médicaments génériques - 24/05/2025 - L'express de Madagascar - Madagascar

Pharmalagasy reprend ses activités. Après une période de silence qui a suivi le succès du CVO+, cette usine pharmaceutique se relance en se tournant vers la commercialisation de médicaments génériques.

Après une période de silence consécutive à la commercialisation du CVO+, Pharmalagasy relance sa production. L’usine pharmaceutique nationale a annoncé le lancement, en phase de test commercial, de sept médicaments génériques, destinés au marché local.

Parmi les molécules concernées figurent le Paracétamol 500 mg, l’Ibuprofène 200 mg et 400 mg, la Prednisolone 5 mg, le Furosémide 40 mg, l’Allopurinol 100 mg et la Chlorphéniramine 4 mg. Ces médicaments, parmi les plus couramment utilisés dans les établissements de santé du pays, seraient proposés à des prix inférieurs de 20 % à ceux actuellement pratiqués.

Ce lancement s’inscrit dans le cadre d’un projet présidentiel, présenté comme structurant, avec pour objectif de renforcer l’accès aux médicaments essentiels. À moyen terme, certaines molécules de base pourraient être distribuées gratuitement aux populations vulnérables, notamment aux enfants scolarisés.

Les sept médicaments ont obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM). Pharmalagasy prévoit de commercialiser une trentaine de références dans les prochaines semaines, avec l’ambition d’en produire une centaine d’ici un an... - Lire cet article


Lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme : le Cameroun face aux nouveaux défis du financement international - 22/05/2025 - Ministère de la santé publique - Cameroun - Cameroun

En marge des rencontres stratégiques qui se tiennent à Genève, le Ministre de la Santé Publique du Cameroun, Dr MANAOUDA Malachie, a eu une audience à huis clos avec les hauts responsables du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. Parmi les interlocuteurs de marque figurait M. Mark Eldon-Edington, Chef de la Division de la gestion des subventions.

Cette réunion à caractère technique et stratégique a permis de faire le point sur les relations entre le Cameroun et le Fonds mondial, qui a déjà mobilisé près de 1,3 milliard de dollars en faveur du système de santé camerounais au fil des années.

L’un des sujets les plus sensibles abordés a été l’impact de la suspension partielle des financements américains, partenaire qui représente à lui seul environ un tiers des contributions au budget du Fonds mondial. Un changement de paradigme s’impose : « Ce ne sera plus comme avant », a reconnu une source proche des échanges. Les États-Unis ne pourront plus assumer la totalité des financements qu’ils soutenaient jusqu’ici.

Face à cette réalité, un réajustement stratégique des activités a été convenu. Les parties se sont accordées sur la réduction des interventions non essentielles afin de préserver les actions vitales pour la population. Le Cameroun devra en parallèle respecter ses engagements de cofinancement, sous peine de voir ses subventions réduites de 20 %. À ce sujet, le rapport de cofinancement pour l’exercice 2024 a déjà été transmis au Fonds mondial.

Le Ministre a également tenu à rassurer sur la destruction effective des produits pharmaceutiques périmés, désormais achevée dans les dix régions du pays. Une mesure saluée pour son importance dans la gestion des risques sanitaires. - Lire cet article


Saviez-vous que l'Agence africaine du médicament (AMA) dispose d'un chef intérimaire de son secrétariat ? Rencontrez le Dr. Benjamin Djoudalbaye qui occupe ce poste - 22/05/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Rencontrez le Dr Benjamin DJOUDALBAYE, chef intérimaire du secrétariat de l'Agence africaine du médicament. Il est un leader chevronné de la santé publique mondiale avec plus de 22 ans d'expérience dédiée à l'amélioration des résultats de santé à travers l'Afrique. Médecin de formation, il est titulaire de diplômes d'études supérieures en santé publique et en maladies infectieuses. Il apporte à ce poste une grande expertise dans la conception, la gestion et l'évaluation de programmes de santé à grande échelle, notamment dans les domaines du VIH/SIDA, de la tuberculose, du paludisme, d'Ebola et de la santé maternelle et infantile.

Benjamin Djoudalbaye est actuellement à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA), tandis que l'agence se prépare à annoncer le nom du nouveau directeur général désigné. L'Union africaine (UA) a officiellement annoncé la nomination du Dr. Benjamin DJOUDALBAYE à la tête du Secrétariat intérimaire de l'Agence africaine du médicament (AMA) lors de l'inauguration du siège de l'AMA à Kigali, au Rwanda, le 1er novembre 2024. Dans ses remarques, S.E. Amb. Minata Samate Cessouma, alors Commissaire de l'UA pour la santé, les affaires humanitaires et le développement social, a souligné le rôle de leadership du Dr. Djoudalbaye dans le Secrétariat intérimaire, soulignant l'importance de ce poste pour faire avancer l'opérationnalisation de l'AMA.

Le Dr Djoudalbaye dirige actuellement les efforts visant à établir un cadre réglementaire unifié pour les médicaments et les technologies de la santé sur l'ensemble du continent africain. D'une certaine manière, on pourrait dire que son rôle consiste à préparer le terrain et à faire avancer le programme de l'AMA pendant que les préparatifs pour le directeur général désigné sont en cours. Sa nomination à ce poste clé s'appuie sur une longue carrière à la pointe de la santé publique, notamment en tant que haut responsable de l'Africa CDC et de la réponse de l'Union africaine aux principales urgences sanitaires.

Tout au long de sa carrière, le Dr Djoudalbaye a fait preuve d'une capacité unique à diriger des équipes multidisciplinaires et à naviguer dans des contextes sanitaires et humanitaires complexes. Il a collaboré étroitement avec des chefs d'État, des ministres, des donateurs mondiaux et des dirigeants de la société civile afin d'obtenir des ressources, de faire évoluer les politiques et de renforcer les systèmes de santé. Son travail dans les situations d'urgence en matière de santé publique a aiguisé sa capacité à anticiper et à répondre aux menaces émergentes tout en développant des solutions durables à long terme.

M. Djoudalbaye parle couramment l'anglais et le français, ce qui constitue un atout majeur pour aider le nouveau directeur général à naviguer efficacement sur le continent. Il est un chercheur publié qui allie l'excellence technique à la diplomatie stratégique. Sous sa direction, l'AMA est prête à se transformer pour passer sous la houlette du futur directeur général, qui travaillera sans aucun doute à ses côtés pour faire du projet d'Agence africaine du médicament un succès. - Lire cet article


Industrie pharmaceutique : Saidal signe deux mémorandums d'entente avec deux laboratoires privés pour la production de traitements innovants - 21/05/2025 - Algérie Presse Service - Algérie

ALGER- Le Groupe Saidal a signé, mardi à Alger, deux mémorandums d'entente avec deux laboratoires privés, en vue de renforcer la coopération en matière de développement et de production des traitements innovants, indique un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique

Il s'agit des laboratoires "Orion Lab" sis à Oran, et "Democedes Pharma Algérie" basé à Ain M'lila (Oum El-Bouaghi), ajoute le communiqué.

La cérémonie de signature s'est déroulée au niveau du siège du Groupe Saidal, sous la supervision du Secrétaire général (SG) du ministre de l'Industrie pharmaceutique, Khaled Dahane, en présence de cadres du ministère et des deux laboratoires privés.

A travers ces mémorandums, le Groupe Saidal et les deux laboratoires conjugueront leurs efforts afin d'assurer l'échange d'expériences et de technologies innovantes pour développer des solutions thérapeutiques "avancées et efficaces" aux patients en Algérie, précise la même source.

Cette démarche s'inscrit dans le cadre de "la mise en œuvre de la feuille de route du mini stère de l'Industrie pharmaceutique pour l'année 2025, portant consolidation du partenariat efficace entre les secteurs public et privé, en vue d'assurer la disponibilité locale des traitements et de renforcer la sécurité sanitaire, conformément aux orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. - Lire cet article




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