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Plateforme d'informations pour les acteurs du médicament en Afrique

Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Disponibilité des médicaments : La NPSP-CI veut sceller un partenariat avec les industriels locaux - 10/08/2025 - Fratmat.info - Côte d'Ivoire

La Nouvelle Pharmacie de la Santé Publique de Côte d’Ivoire (Npsp-CI) met les bouchées doubles pour relever le défi de la disponibilité des médicaments. Dans ce cadre, le directeur général de la structure, Dr Kouyaté Ibrahim Daniel, a échangé le jeudi 31 juillet 2025, avec les membres de l’Association des producteurs pharmaceutiques locaux de Côte d’Ivoire (App-CI). C’était lors d’une séance de travail stratégique à son siège à Treichville (Abidjan).

Cette rencontre avait pour objectif de sceller un partenariat fort et dynamique avec l’industrie pharmaceutique locale, afin de soutenir la mise en œuvre efficace de la Couverture maladie universelle (Cmu), qui vise à offrir des soins gratuits à la population, en particulier dans les centres de santé de premier contact. « Je veux un engagement ferme de votre part. Une fois que l’index thérapeutique 2026 vous sera transmis, je souhaite que le plan d’approvisionnement soit rapidement connu », a déclaré Dr Kouyaté.

Dans cette perspective, le patron de la Npsp-CI a annoncé l’organisation d’un forum de l’industrie pharmaceutique locale « avant la fin de 2025 ». Ce forum réunira les industriels ivoiriens et des investisseurs étrangers, notamment asiatiques et européens. Il visera à favoriser des partenariats stratégiques et à lever des financements.

Il a aussi évoqué l’ouverture, le 11 août 2025, de la phase de présélection des fournisseurs pour l’année 2026. Une base de données sera constituée à partir de cette sélection, permettant à la Npsp-CI de faire appel aux fabricants locaux en cas de rupture. Au nom de l’App-CI, le président Kouakou Ivan Bekan-N’thy a jugé cette nouvelle approche « pragmatique et structurante » pour le développement de l’industrie pharmaceutique en Côte d’Ivoire. « Nous sommes satisfaits des échanges. Un accord-cadre est annoncé et cela va donner un cadre formel à notre collaboration future », a-t-il fait savoir. - Lire cet article


L’Algérie mise sur les médicaments innovants pour conquérir de nouveaux marchés - 09/08/2025 - La Nouvelle Tribune - Algérie

Face à l’évolution rapide des besoins sanitaires et à la compétition croissante sur la scène internationale, l’Algérie revoit sa stratégie pharmaceutique. Le pays ambitionne désormais de renforcer sa présence sur les marchés africains et arabes en misant sur la production de médicaments innovants et sur la montée en puissance de ses capacités d’exportation.

Une orientation tournée vers l’Afrique et le monde arabe

Lors d’une visite de travail à Sidi Bel Abbès, le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Ouacim Kouidri, a affirmé que l’ouverture vers les marchés africains et arabes constitue désormais une priorité stratégique rapporte L’Algérie Aujourd’hui. Actuellement, le produit pharmaceutique algérien représente 25 % de la production africaine, un atout que le gouvernement entend valoriser à travers un modèle économique orienté vers la recherche, le développement et la haute valeur ajoutée.

Un secteur déjà proche de l’autosuffisance

Le ministre a salué la progression enregistrée par la production locale, avec 80 % des médicaments consommés sur le marché national désormais fabriqués dans le pays. Cette performance a permis d’atteindre une quasi-autosuffisance, mais l’exécutif veut aller plus loin : « La souveraineté pharmaceutique ne se limite pas à répondre à la demande interne, elle implique aussi une présence compétitive à l’international avec des produits conformes aux standards mondiaux », a-t-il déclaré... - Lire cet article


Saly : saisie de faux-médicaments évalués à plus de 394 millions de FCFA - 03/08/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Des éléments du commissariat de police de Saly (Mbour, ouest), ont saisi 39 cartons de faux médicaments évalués à plus de 394 millions de FCFA, a appris l’APS de sources sécuritaires.

”Cette saisie a été effectuée dans la nuit du 1-er au 2 août, dans deux véhicules de type 307, au cours d’une opération de sécurisation, au point de contrôle du Musée Saly“, a renseigné les mêmes sources.

Parmi ces faux-médicaments, il y en a qui se rapportent à la famille des anti-douleurs, dont le paracétamol et l’ibuprofène, à celle des laxatifs, des antibiotiques, entre autres.

Les deux chauffeurs qui transportaient la marchandise frauduleuse, ont été interpellés et conduits au commissariat urbain de Saly, poursuivent les mêmes sources, ajoutant qu’une enquête est ouverte et que le Procureur a été avisé. - Lire cet article


Le laboratoire GAMET veut renforcer la souveraineté sanitaire à travers les médicaments locaux - 01/08/2025 - Agence d'informations du Burkina - Burkina Faso

Le laboratoire Galénique des médicaments modernes et traditionnels (GAMET) célèbre ses noces d'argent, marquant 25 ans d'existence. L'annonce a été faite ce 1er août 2025 à Ouagadougou, au cours d'une conférence de presse. Cette célébration se tiendra sous le thème : « Contribution des unités de production pharmaceutique locales pour une souveraineté sanitaire au Burkina Faso ».

« La célébration des 25 ans du laboratoire GAMET est un jalon, non seulement dans notre parcours, mais aussi une étape significative dans notre engagement continu envers l'innovation et le bien-être de notre population », a déclaré le directeur général, Dr Anicet Sawadogo.

Selon lui, la vision du laboratoire GAMET est de fabriquer des médicaments sûrs et accessibles à toute la population, tout en exportant l'expertise burkinabè en Afrique.

Dr Sawadogo a indiqué : « Nous croyons fermement en notre pays et en la capacité des Burkinabè à produire leurs propres médicaments et à assurer leur chaîne d'approvisionnement. »

Le directeur général a précisé que la célébration se tiendra du 26 juillet au 20 septembre 2025, avec plusieurs activités au programme, notamment des journées d'animation dans les officines pharmaceutiques, une table ronde sur la production pharmaceutique locale, une séance d'aérobic, une visite officielle du laboratoire GAMET, ainsi qu'un gala de célébration pour rendre hommage au fondateur, Dr Jean-Marie Sawadogo... - Lire cet article


Une étude propose une révision du traitement de la malnutrition sévère - 30/07/2025 - Scidevnet - International

Les enfants présentant des niveaux critiques de malnutrition peuvent être réhydratés en toute sécurité par voie intraveineuse, selon une nouvelle étude qui appelle à une révision des directives de traitement existantes.

Les spécialistes de la santé infantile affirment que les directives vieilles de plusieurs décennies qui déconseillent la réhydratation intraveineuse en raison du risque perçu d’insuffisance cardiaque étaient basées sur l’opinion d’experts, mais n’étaient pas étayées par des preuves scientifiques.

Ils affirment que de nouvelles recherches suggèrent que la méthode recommandée de réhydratation orale peut avoir davantage d’effets indésirables et que les taux de mortalité constamment élevés parmi les enfants souffrant de malnutrition soulignent la nécessité d’un changement.

« Les enfants souffrant de malnutrition aiguë sévère et de déshydratation sont très malades, il est donc crucial que nous puissions leur fournir le meilleur traitement possible et rapidement », déclare Kathryn Maitland, pédiatre britannique de renom et directrice du Centre of African Research and Engagement à l’Imperial College de Londres au Royaume-Uni... - Lire cet article


CFAO Healthcare acquiert 100% de Goodlife Pharmacy et consolide sa position dans le secteur de la santé en Afrique de l’Est - 29/07/2025 - Afriquinfos - Panafricain

CFAO Healthcare, l’un des leaders de la distribution pharmaceutique en Afrique, annonce l’acquisition de 100% de Goodlife Pharmacy, le plus important réseau de pharmacies de détail privées en Afrique de l’Est. Cette opération stratégique marque une étape clé dans la vision à long terme de CFAO Healthcare. Celle de maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur pharmaceutique, de la fabrication jusqu’au patient, garantissant ainsi un accès sécurisé à des médicaments et des produits médicaux de qualité pour tous les pays africains.

Avec près de 150 pharmacies au Kenya et en Ouganda, Goodlife Pharmacy sert plus de 2 millions de patients par an. L’entreprise a été pionnière d’une approche moderne et multicanale des soins de santé, intégrant services pharmaceutiques en officine, diagnostics, télémédecine, e-commerce et livraison à domicile.

Après avoir initialement acquis une participation minoritaire de 30 % en 2022, CFAO Healthcare a été convaincue par les performances solides de Goodlife Pharmacy sur le marché, son expansion rapide et la confiance qu’elle inspire aux patients. Cet investissement stratégique positionne CFAO Healthcare comme un acteur majeur de la pharmacie de détail et s’inscrit dans sa vision plus globale visant à améliorer l’accès aux médicaments essentiels et aux produits de bien-être sur le Continent.

« En acquérant 100 % de Goodlife Pharmacy, nous accélérons notre transformation en un acteur global de santé, allant de la fabrication à la distribution jusqu’aux services directs aux patients », a déclaré Jean-Marc Leccia, président-directeur général de CFAO Healthcare. « Goodlife a construit une marque à très forte notoriété et un vaste réseau de pharmacies, qui sont aussi de véritables centres de bien-être. Ensemble, nous allons améliorer l’accessibilité, la qualité de service et l’innovation dans le secteur pharmaceutique. » ... - Lire cet article


La dangereuse illusion de la sécurité. Que se passe-t-il lorsque des systèmes censés vérifier l'authenticité de médicaments vitaux sont détournés et manipulés ? - 18/07/2025 - Medicines for Africa - International

Quelle est la solution lorsque les systèmes conçus pour protéger la santé publique - ceux qui sont censés vérifier l'authenticité des médicaments vitaux - sont eux-mêmes détournés et manipulés ? Cette question inquiétante n'est plus théorique. En Inde, des versions contrefaites du Levipil 500 (levetiracetam 500 mg), un médicament antiépileptique essentiel, sont entrées dans la chaîne d'approvisionnement pharmaceutique sans être détectées, leur légitimité étant faussement affirmée par des codes QR qui imitent ceux du fabricant original, Sun Pharma. Les implications sont considérables, non seulement pour les organismes de réglementation, mais aussi pour tous les patients qui confient leur vie au système.

Contrairement à la contrefaçon grossière d'autrefois, cette nouvelle vague de fraude pharmaceutique est très sophistiquée. Les faux comprimés de Levipil portent des codes QR, des marqueurs numériques uniques destinés à confirmer l'authenticité du produit. Lorsqu'ils sont scannés, ces codes extraient des données de ce qui semble être une base de données légitime, indiquant les numéros de lot, les dates de fabrication et les détails de la péremption. Même des pharmaciens et des inspecteurs des médicaments qualifiés sont trompés.

Au cœur de cette crise se trouve une vulnérabilité technique critique. Les codes QR fonctionnent comme des codes-barres numériques, chacun étant lié à une base de données dorsale gérée par une entreprise pharmaceutique ou son partenaire de sérialisation. Dans le cas de l'Inde, cette fonction est souvent prise en charge par des plates-formes telles que celles de PharmaSecure Inc, le fournisseur de solutions qui serait lié à Sun Pharma. Idéalement, chaque code est crypté et traçable, généré lors de l'emballage et relié à un registre central. Cependant, si ce système est violé - soit en piratant la base de données, soit en dupliquant des codes valides provenant de produits existants - les fraudeurs peuvent produire en masse de faux médicaments qui sont scannés comme des vrais... - Lire cet article


Production de médicaments à base de plantes : Vers la mise en place d’un cadre réglementaire - 16/07/2025 - Le soleil - Sénégal

L’État veut mettre sur le marché au moins 10 médicaments à base de plantes médicinales. C’était l’objectif de la réflexion entamée lors d’un atelier sur les essais cliniques, tenue, hier, entre décideurs politiques, universitaires, tradi-praticiens et experts.

Sur le chemin de la souveraineté pharmaceutique, le Sénégal veut s’appuyer sur les plantes médicinales. Hier, lors d’un atelier sur les essais cliniques des médicaments à base de plantes, organisé par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (Ansts), des acteurs du monde universitaire, des tradi-praticiens, et autres spécialistes se sont accordés sur la mise en place d’un cadre réglementaire. « Notre ambition est d’essayer d’avoir un cadre qui soit beaucoup plus conventionnel, maîtrisé, pour produire des médicaments de qualité et dont on maîtrise la posologie. Le ministère de la Santé et de l’Action sociale est dans cette optique. Avec la relance de l’industrie pharmaceutique locale, il est envisagé des médicaments à base de plantes », a déclaré Aynina Cissé, vice-président de l’Ansts. D’après Serigne Omar Sarr, de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp), l’État du Sénégal vise, dans cette approche, à commercialiser au moins 10 médicaments.

Pour cela, Khady Diatta Badji, enseignante en botanique et cryptogamie à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), a préconisé la protection et la préservation de la végétation pour une gestion durable des écosystèmes. L’universitaire prône aussi l’aménagement de nouvelles aires d’exploitation rationnalisées, comme les jardins botaniques de plantes médicinales. De plus, Mme Badji a appelé à « assurer une production suffisante de ressources végétales tout en sauvegardant les espèces en voie de disparition ». Dans cette perspective, le professeur Serigne Omar Sarr, de l’Arp, a informé qu’un dispositif réglementaire est mis en place, en collaboration avec le Comité national pour l’éthique et la recherche scientifique. « Il s’agit d’éviter les dérives connues par le passé, avec des expérimentations menées sur l’homme sans précaution ni règles éthiques et déontologiques. Cet encadrement réglementaire vise à accélérer le processus », a expliqué M. Sarr. Dans la nouvelle dynamique, Khady Diatta Badji a recommandé des innovations technologiques basées sur des biofertilisants. Selon elle, celles-ci peuvent jouer un « rôle primordial dans la production de matières végétales naturelles, en quantité et en qualité »... - Lire cet article


Soyons clairs : l'accès à des médicaments dangereux n'est pas un accès du tout. C'est une fausse promesse. C'est comme si rien ne se passait - 16/07/2025 - Medicines for Africa - International

1 médicament de chimiothérapie sur 5 échoue aux tests de qualité de base. Ce n'est pas seulement choquant. Il s'agit d'une urgence de santé publique mondiale. Pour les patients atteints de cancer dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, où l'accès est déjà limité, il s'agit d'une condamnation à mort enveloppée de faux espoirs. Les familles dépensent les économies de toute une vie pour des traitements qui ne fonctionnent pas. Ce n'est pas de l'accès. C'est une trahison. Nous devons exiger des médicaments sûrs et de qualité garantie pour chaque patient, partout. Les médicaments anticancéreux de qualité inférieure ne font pas que voler de l'argent. Ils volent des vies. L'accès à des médicaments dangereux n'est pas un accès du tout. C'est comme s'il n'y avait rien.

La récente révélation selon laquelle près d'un médicament chimiothérapeutique sur cinq testé dans le monde ne répond pas aux normes de qualité de base est plus qu'alarmante : il s'agit d'une crise mondiale de santé publique. Il ne s'agit pas seulement de statistiques. Il s'agit de personnes réelles - mères, pères, enfants - qui endurent le poids physique, émotionnel et financier du cancer, pour se voir administrer des traitements qui peuvent faire plus de mal que de bien.

Ce scandale est particulièrement dévastateur pour les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI), où les systèmes de santé manquent de ressources, où la surveillance réglementaire est souvent faible et où l'accès aux thérapies anticancéreuses essentielles est déjà limité. Lorsque les patients parviennent enfin à surmonter les nombreux obstacles au traitement - financiers, logistiques et systémiques - ils devraient pouvoir être sûrs que les médicaments qu'ils reçoivent sont sûrs, efficaces et de grande qualité. Mais ce n'est pas le cas pour beaucoup d'entre eux.

Au lieu de cela, les patients atteints de cancer et leurs familles paient, sans le savoir, pour des médicaments de qualité inférieure ou falsifiés - des produits qui sont soit dilués, soit fabriqués de manière incorrecte, soit entièrement contrefaits. Non seulement ces médicaments inefficaces ne traitent pas la maladie, mais ils peuvent en accélérer la progression, privant ainsi les patients de leur seule chance de survie. Les compagnies d'assurance et les ménages assument des dépenses catastrophiques pour ces médicaments défectueux, croyant investir dans un traitement salvateur. Dans de trop nombreux cas, le résultat est un déchirement sans espoir. Il ne s'agit pas seulement d'un problème de qualité pharmaceutique. Il s'agit d'une question de droits de l'homme fondamentaux... - Lire cet article


Ce que l'Afrique peut apprendre de la décision de la MRHA britannique de lever la suspension de l'utilisation du vaccin contre le chikungunya pour les personnes âgées - 14/07/2025 - Medicines for Africa - Panafricain

Le chikungunya est une maladie virale transmise par les moustiques, dont le nom provient d'une expression Makondé signifiant "ce qui se courbe". Elle provoque une fièvre soudaine, des douleurs articulaires intenses, des douleurs musculaires, des éruptions cutanées et parfois une arthrite durable. On pense qu'elle est apparue en Tanzanie en 1952 et elle est maintenant endémique en Afrique, en Asie du Sud-Est et dans certaines parties des Amériques, avec des épidémies saisonnières en Europe et aux États-Unis. Au niveau mondial, les cas de chikungunya dépassent le demi-million par an, avec des taux de mortalité d'environ 1 sur 1 000. Toutefois, les personnes âgées de plus de 65 ans et les personnes souffrant de maladies chroniques courent un risque beaucoup plus élevé.

En Afrique, des épidémies ont été signalées dans des pays comme le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali et l'Ouganda, tandis qu'en Amérique latine, des pays comme le Brésil, le Paraguay, l'Argentine et la Bolivie ont connu des centaines de milliers de cas ces dernières années. Les espèces de moustiques Aedes aegypti et Aedes albopictus sont les principaux vecteurs, et le changement climatique étend leur habitat, ce qui suscite des inquiétudes en matière de santé publique à l'échelle mondiale.

La bonne nouvelle, c'est que le chikungunya peut être prévenu par la vaccination. Le vaccin IXCHIQ, nom commercial Ixchiq, également appelé "Chikungunya vaccine (live)", est le premier vaccin vivant atténué homologué qui déclenche chez les personnes vaccinées une réponse immunitaire robuste pouvant durer jusqu'à deux ans après la vaccination. La MHRA britannique a approuvé la mise sur le marché du vaccin en février 2025 et l'Agence européenne des médicaments a approuvé son utilisation dans l'Union européenne à la mi-2024. Le vaccin est considéré comme une avancée considérable pour la préparation aux pandémies. IXCHIQ est disponible au Royaume-Uni depuis le 18 juin 2025 et constitue un outil important pour protéger les voyageurs et les populations à haut risque avant de s'aventurer dans les régions endémiques... - Lire cet article




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