GENÈVE et NEW YORK--(BUSINESS WIRE)-- À la veille d’une étape importante des Nations unies, l’industrie pharmaceutique mondiale a lancé un « appel à l’action » pour inciter à une action collective dans le monde entier afin de lutter contre l’augmentation des maladies non transmissibles (MNT) telles que le cancer, le diabète, les maladies cardiovasculaires, les maladies pulmonaires, la santé mentale et les troubles neurologiques... - Lire cet article
Basé à Casablanca, il sera chargé de diriger les activités stratégiques de Novartis dans ces trois pays, renforçant ainsi l'engagement du groupe en matière de santé et d'innovation dans la région, indique un communiqué de l'entreprise.
Avec plus de 20 ans d'expérience dans l'industrie pharmaceutique, Yahya Abdallah incarne l'excellence et l'expertise, poursuit la même source, relevant que depuis son entrée chez Novartis en 2011, il a occupé des fonctions stratégiques clés, gravissant les échelons avec succès.
À son poste précédent, il a dirigé les équipes d'excellence commerciale et d'affaires publiques pour la région du Moyen-Orient, jouant un rôle déterminant dans le développement de stratégies d'accès aux soins et de partenariats public-privé... - Lire cet article
Au Maroc, la vente illégale de pilules à base de Misoprostol, utilisées pour interrompre les grossesses, se propage sur les réseaux sociaux. Bien que ce médicament soit interdit depuis 2018, il continue d’être vendu à des prix élevés et sans suivi médical, mettant en danger la santé de nombreuses personnes.
Sur les réseaux sociaux et sur certaines plateformes numériques comme TikTok, la vente illégale de pilules contenant du Misoprostol se répand de manière inquiétante. Ce médicament, utilisé principalement pour provoquer une interruption volontaire de grossesse (IVG), a été retiré des pharmacies dès 2018, dans le cadre d’une politique visant à protéger la santé publique. Pourtant, malgré cette interdiction, il continue d’être vendu clandestinement à travers le pays, mettant en danger de nombreuses personnes, souvent sans aucun suivi médical... - Lire cet article
Kinshasa, 21 mars 2025(ACP).- La fabrication des médicaments de tuberculeux en République démocratique du Congo a été envisagée par le gouvernement congolais pour lutter contre la rupture dans le pays a déclaré jeudi à Kinshasa, le directeur du Programme national de lutte contre la tuberculose (PNLT), au cours d’une tribune de santé.
« Pour pallier la rupture des médicaments anti- tuberculeux que nous connaissons, le gouvernement de la RDC a pris des dispositions suivantes : d’une part, fabriquer des médicaments de qualité au pays avec l’aide de l’Organisation mondiale de la santé ( OMS) pour faire une pré – qualification de façon à ce que les médicaments qui sortiront des usines de la RDC, soient de même qualité que ce qu’on achète à l’extérieur et, d’autre part, acheter une partie de médicaments là où on les fabrique, de façon à ce qu’on amène le 1/10ème par avion et l’autre partie par voie maritime », a déclaré le Dr Jean -Pierre Malemba Tshibuyi, directeur du PNLT. De son côté, le président de l’union des journalistes communicateurs en santé (UJCSA) , M. Michel Kiapas a fait savoir que la tribune santé est un espace réservée aux spécialistes en santé pour informer et sensibiliser la population à une épidémie dans le but de toucher toutes les zones... - Lire cet article
La Tunisie a pris des mesures stratégiques pour renforcer son autonomie dans le secteur pharmaceutique. Une réunion de travail, tenue mercredi au ministère de la Santé, a abouti à une série de décisions visant à accélérer l’octroi de licences pour les médicaments, assurant ainsi leur disponibilité rapide sur le marché.
Ces décisions incluent le renforcement des opportunités d’exportation, l’élargissement des partenariats régionaux pour faire de la Tunisie un pôle pharmaceutique, ainsi que la numérisation du secteur afin de garantir la transparence et la fluidité de la distribution.
Présent à cette réunion, le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, a mis en avant les directives du président de la République, Kaïs Saïed, visant à atteindre la souveraineté pharmaceutique, à renforcer la production locale et à s’appuyer sur les compétences nationales pour garantir la sécurité sanitaire... - Lire cet article
[KINSHASA] Trois nouvelles combinaisons de médicaments ont montré leur efficacité dans le traitement de la tuberculose multirésistante ou résistante a la rifampicine. Les combinaisons comprennent quatre à cinq médicaments.
C’est la conclusion d’un essai clinique mené par l’initiative endTB, un consortium constitué de Médecins Sans Frontières (MSF), Partners In Health et l’Interactive Research and Development (IRD).
Selon les résultats de cet essai clinique publiés dans The New England Journal of Medecine, la tuberculose résistante à la rifampicine, un médicament clé dans le traitement de la tuberculose, constitue une menace majeure pour la santé mondiale... - Lire cet article
Des médicaments antirétroviraux injectables à longue durée d’action sont désormais utilisables pour traiter le VIH dans différents pays occidentaux, dont la France. Ils pourraient également représenter une alternative aux comprimés en Afrique. Mais des chercheurs sénégalais et français font face à des blocages pour lancer une étude d’évaluation de l’acceptabilité et de l’efficacité de ces traitements.
Avec 39 millions de personnes contaminées dans le monde, selon les estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la lutte contre VIH demeure un défi majeur de santé publique sur l’ensemble de la planète et la transmission du virus se poursuit. L’Afrique reste particulièrement touchée puisque c’est sur ce continent que vivent la majorité des personnes vivant avec ce virus.
Depuis 2019, en Afrique, pour la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, l’usage des combinaisons d’antirétroviraux à doses fixes à base de dolutégravir est recommandé par l’OMS. Ces combinaisons permettent un traitement sous la forme d’un comprimé journalier unique, bien toléré, ce qui améliore considérablement la qualité de vie des personnes vivant avec le VIH... - Lire cet article
L’étude de surveillance Post marketing de la qualité des médicaments utilisés au Sénégal pour l’année 2024 a révélé un taux de conformité de 95,2% contrairement à 2023 où il se situait à 98%. Selon l’agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp), cela dénote de la performance de la surveillance même si moins de 5% proviennent des circuits parallèles. Une situation qui va permettre d’accentuer l’investigation pour la provenance de ces produits non conformes pour une couverture totale de la conformité. Ces résultats ont été dévoilés hier, mardi 18 mars, au cours d’un atelier à Dakar.
En plus des médicaments antipaludiques, les antibiotiques, les antihypertenseurs, antidiabétiques, antitussifs, antalgiques, solutés ou encore anesthésiques ont été concernés par l’étude de surveillance post marketing réalisée par les agents de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique (Arp) à travers la Direction du Contrôle de la Qualité (DICQ). Hier, mardi, les acteurs sont passés à la restitution des travaux menés pour l’année 2024. Sur un échantillon total de 416 médicaments, une conformité de 95, 2% contre 4,8% de non-conformité a été noté... - Lire cet article
D’après les informations de l’Agence de presse sénégalaise (APS), l’Agence de réglementation pharmaceutique (ARP) a rappelé 9 lors de médicaments et levé une suspension. Ce après avoir constaté un taux de non-conformité de l’ordre de 4,8% sur des médicaments les plus consommés en 2024. Cela fait suite à une étude sur la surveillance de la qualité des médicaments utilisés au Sénégal.
« Sur 416 échantillons, un taux de conformité de 4,8 % a été décelé et 95,2 % de conformité des échantillons. À la suite de ce constat, un rappel de lots au nombre de 9 a été effectué, ainsi qu’une levée de suspension de certains produits comme l’amlodipine », a confié le Professeur Mamadou Baldé, le directeur du contrôle qualité à l’ARP, à l’APS... - Lire cet article
La Société sénégalaise des agences de promotion médico-pharmaceutique (SOSEAP) compte sur l’Agence de réglementation pharmaceutique (ARP) pour porter le plaidoyer pour l’obtention des Autorisations de mises sur le marché (AMM) au niveau des autres pays de l’espace Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA). Selon les acteurs, si les produits sont enregistrés au Sénégal, ils peuvent l’être automatiquement dans les autres pays de l’espace communautaire.
Le Sénégal est le seul pays de l’Afrique francophone à atteindre le niveau de maturité 3. Une performance portée par l’Agence de réglementation pharmaceutique (ARP) et qui confère au pays une place de choix dans le domaine pharmaceutique. Hier, lundi 17 mars 2025, la Société sénégalaise des agences de promotion médico-pharmaceutique (SOSEAP) a signé une convention avec l’Agence de réglementation pharmaceutique (ARP). Il s’agit, pour ladite association, de faire porter le plaidoyer à l’ARP pour une facilitation de la délivrance des Autorisations de mise sur le marché (AMM) pour les médicaments dans l’espace Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA).
Le président de la SOSEAP, Mohamedou Bara Mbaye explique l’intérêt de cet accord. «Au cours de notre entretien avec le Directeur général de l’ARP, nous avons eu à échanger sur différents points, dont les conventions, en particulière la convention signée avec le Niger dans la mesure où ça permet aux laboratoires et aux agences sénégalaises de pouvoir bénéficier d’un avantage comparatif au Niger, c’est-à-dire qu’ils pourront avoir directement des AMM dans ce pays»... - Lire cet article
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