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Actualités et enjeux de l’écosystème pharmaceutique en Afrique

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Revue de presse


Pharma Expo 2025 : l’Afrique veut renforcer son industrie pharmaceutique - 16/09/2025 - Agence d'information d'Afrique Centrale - Panafricain

La deuxième édition de Pharma Expo a rassemblé à Douala, au Cameroun, plus de 1 700 participants autour de l’ambition de bâtir une industrie pharmaceutique africaine durable et tournée vers l’innovation. De l’import-substitution à la valorisation des savoirs traditionnels, en passant par la lutte contre les faux médicaments, cet événement a marqué un tournant pour l’avenir sanitaire du continent.

Pharma Expo 2025 a fermé ses portes le week-end dernier après trois jours d’échanges, de partages de savoirs et d’innovations. Les principaux acteurs du secteur pharmaceutique ont été représentés, dont des chercheurs, des étudiants, des professionnels de santé, des autorités de régulation, des décideurs politiques, y compris des tradipraticiens. « Nous avons eu le plaisir d’accueillir une cinquantaine d’étrangers accompagnés de leurs délégations. Parmi les participants figuraient également des tradipraticiens, du personnel médical (infirmiers, dentistes, médecins)», s’est réjoui Dr Franck Dange Nana, président de l’Ordre des pharmaciens du Cameroun.

L’import-substitution a été le sujet central de cette édition, mettant l’accent sur une stratégie qui vise à favoriser la production locale de médicaments pour réduire la dépendance aux importations. Des centaines de milliards de FCFA sont chaque année englouties dans l’achat de médicaments importés. Pour le Pr Emmanuel Albert Mpondo Mpondo, président du Conseil scientifique du Cameroun, le continent réaliserait une économie importante s'il arrive à réduire de moitié ses dépenses d’importation de médicaments. « L’impact serait colossal sur notre économie et notre souveraineté », a-t-il souligné.

Au-delà des chiffres, cette stratégie est perçue comme une opportunité de création d’emplois, de transfert de technologies et surtout d’amélioration de l’accès aux soins, notamment dans les zones reculées.

Autre thématique forte : la valorisation des médicaments traditionnels améliorés. En s’appuyant sur les savoirs ancestraux, le Cameroun souhaite développer une médecine intégrée, fondée sur des solutions locales mais validées scientifiquement. Selon le Pr Denis Wouessidjewe, doyen-assesseur de la filière pharmacie de l’Université des Montagnes, à Bangangté, chaque pays doit désormais garantir son autonomie pharmaceutique. L’intégration des médecines traditionnelles dans la recherche scientifique, a-t-il ajouté, est une voie prometteuse... - Lire cet article


Industrie pharmaceutique : « L’Algérie, locomotive d’un pôle africain du médicament » - 16/09/2025 - El Moudjahid - Algérie

L’industrie pharmaceutique connaît un essor formidable en Algérie et le pari de la souveraineté sanitaire n’est, finalement, pas si loin que ça si on se fie aux chiffres ô combien révélateurs de ce secteur névralgique.

Aujourd’hui, le taux de couverture national tourne autour de 80% et la production nationale s’élevait en 2023 à 3,1 milliards de dollars pour atteindre 4 milliards de dollars en 2024. Le défi donc de la réduction de la facture des importations est sur le point d’être relevé

A présent, notre pays représente 30% de la production pharmaceutique du continent, soit un potentiel de 218 usines pharmaceutiques sur un total de 600 unités qui existent en Afrique. Ce qui place l’Algérie parmi les premières puissances du secteur au niveau continental.

«Ces résultats font de l’Algérie, non seulement un pays proche de l’autosuffisance, mais aussi un futur hub régional au service de ses voisins, en parfaite cohérence avec la Zlecaf, la Zone de libre-échange continentale africaine», se félicite le Syndicat national des pharmaciens algériens agréés dans une étude dont El Moudjahid détient une copie.

Un projet continental intégré

Le pôle africain du médicament vise, selon le Snpaa, à relier toutes les étapes de la chaîne. A commencer par la recherche scientifique ciblant les pathologies les plus répandues en Afrique, la production locale pour réduire la dépendance aux importations la régulation et contrôle qualité à l’échelle continentale ou encore la distribution via les pharmacies de ville, qui constitue le dernier maillon, mais toutefois «pilier central» de l’accès au médicament.
Pour l’organisation syndicale, le pharmacien doit être au cœur de la souveraineté. «La réussite de ce projet passe par une reconnaissance du rôle-clé du pharmacien.
La pharmacie n’est plus un simple point de vente, mais un véritable centre de santé de proximité. Notre vision repose sur plusieurs axes dont la reconnaissance et la rémunération de l’acte pharmaceutique, au même titre que les autres actes de santé... - Lire cet article


Surveillance et sécurité des produits de santé : 21 agences de pays africains en session à Dakar - 15/09/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Panafricain

Dakar, 15 sept (APS) – Des agences de réglementation pharmaceutique de 21 pays africains participent à une formation sur la surveillance des produits de santé et la sécurité sanitaire, ouverte lundi à Dakar, en vue d’assurer un alignement des politiques réglementaires concernant les médicaments et les vaccins.

Selon le directeur de l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique, docteur Alioune Ibn Abou Talib Diouf, cette initiative regroupant 12 pays au début s’étend désormais à 9 autres pays, “tous actuellement à Dakar” pour cette formation prévue pour deux jours.

Des autorités nationales, des partenaires techniques et financiers et des experts participent à ce 7ᵉ comité de pilotage du Programme de surveillance intelligente de la sécurité de l’Union africaine (AU-3S).

Les participants sont appelés à “discuter des mécanismes de renforcement de capacité des agences de réglementation pharmaceutique sur la pharmacovigilance, mais également des mécanismes d’harmonisation et d’alignement des politiques réglementaires concernant les médicaments et les vaccins”, a-t-il expliqué.

La pharmacovigilance “permet de travailler beaucoup sur la qualité du médicament et sa sécurité”, a souligné docteur Alioune Ibn Abou Talib Diouf à l’ouverture de la rencontre.

“Lorsque le médicament est commercialisé, il est important de surveiller au niveau des utilisateurs, donc de la population et des consommateurs, de voir s’il y a des effets secondaires ou des effets inattendus, ou des effets qui peuvent être néfastes pour l’utilisateur”, a-t-il ajouté... - Lire cet article


Hausse de 300 % du taux d'approvisionnement des hôpitaux en médicaments produits localement - 15/09/2025 - Algérie Presse Service - Algérie

ALGER- Le taux approvisionnement des hôpitaux en médicaments produits localement a enregistré une hausse de 300% au cours des cinq dernières années, marquant un tournant stratégique dans le processus de sécurité sanitaire en Algérie, a affirmé le Directeur général de la Pharmacie centrale des Hôpitaux (PCH), M. Sabri Djeroud.

Dans une déclaration à l'APS, M. Djeroud a expliqué que l'approvisionnement des hôpitaux algériens en médicaments produits localement "a connu un bond qualitatif au cours des cinq dernières années, grâce à la politique de l'Etat visant à encourager le produit national", comme en témoigne la valeur globale de ces médicaments, qui est "passée de 31 milliards de Dinars en 2020 à 107 milliards de Dinars en 2025", soit un taux de croissance "dépassant les 300%".

Il s'agit d'un "tournant stratégique dans le processus de sécurité sanitaire du pays", a-t-il souligné, ajoutant que cette orientation "a non seulement contribué à réduire la facture d'importation, mais a également permis de garantir la disponibilité de médicaments de haute qualité livrés aux hôpitaux dans un délai record et à des prix bas, en plus de réduire les transferts coûteux de patients à l'étranger".

A cet égard, M. Djeroud a fait savoir que la production locale dans ce domaine s'est élargie pour inclure des catégories sensibles, telles que certains médicaments anticancéreux, des médicaments innovants (immunologiques et hormonaux) et des médicaments pour les maladies rares.

Pour ce qui est du traitement du cancer, le même responsable a précisé que le nombre de médicaments produits localement "est passé de 33 en 2023 à 52 en 2025", ce qui constitue un "soutien significatif à l'enveloppe financière allouée à cette catégorie", d'autant que "les médicaments innovants représentent 66% du budget global consacré au traitement des cancers".

De plus, "l'enveloppe financière globale allouée au traitement des cancers a augmenté de 400% au cours de la même période, ce qui traduit l'engagement de l'Etat à assurer un traitement moderne à ces patients", a-t-il ajouté... - Lire cet article


Acquisition difficile en médicaments : les médecins privés du Sénégal font le plaidoyer pour la révision du circuit - 15/09/2025 - Sud Quotidien - Sénégal

Le syndicat des médecins privé du Sénégal a fait un plaidoyer samedi dernier pour une meilleure organisation dans l’approvisionnement du médicament. Au cours d’une table ronde sur la loi Numéro 2023-06 du 13 juin 2023 relative aux médicaments, autres produits de santé et de médicaments, ils ont demandé à mettre en place des officines qui leur seraient dédiées pour leur ravitaillement en médicament. Une démarche qui va contribuer à la pénurie et à la rupture de médicaments dans les soins dans le privé.

Contrairement aux structures de santé publique qui s’approvisionnent en médicaments à travers le système national d’approvisionnement en médicaments essentiels reposant sur la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA) et ses succursales régionales (Pra), les dépôts de districts et les dépôts des Centres et Postes de Santé, les établissements de santé privés font la commande directement au sein de la Pna en tenant compte des exigences de la société. Selon le syndicat des médecins privés du Sénégal, ce système doit évoluer et aller vers la mutualisation afin de permettre à leur entreprise de se ravitailler auprès des autres succursales que la Pna mettra à leur disposition. Une démarche qui pourra régler sans nul doute, les retards et les pénuries de certains médicaments essentiels et d’urgences dans leur stock. « A l’image du public, on peut avoir des sites gérés par des pharmaciens qui assuraient la fourniture de médicaments au lieu de nous imposer un pharmacien dans nos cabinets pour la gestion des médicaments qu’on utilise » préconise un des médecins. Des interventions recueillies samedi dernier lors de la tenue d’une table ronde sur la loi Numéro 2023-06 du 13 juin 2023 relative aux médicaments, autres produits de santé et de médicaments... - Lire cet article


L’Ouganda propose des réglementations de santé plus strictes - 14/09/2025 - Les pharaons - Panafricain

Une nouvelle loi introduite au Parlement ougandais créerait une nouvelle agence pour réglementer les médicaments, les dispositifs médicaux et autres produits de santé.

Le gouvernement de l’Ouganda a proposé un projet de loi qui introduirait une réglementation plus stricte des médicaments, des dispositifs médicaux et des suppléments nutritionnels, et réglementerait les cosmétiques pour la première fois.

Le projet de loi sur la National Drug and Health Products Authority, 2025, a été présenté au Parlement le 4 septembre par le ministre d’État à la Santé Anifa Kawooya.

Le projet de loi abrogeait et remplacerait la loi de 1993 sur la politique et l’autorité nationale de la politique des drogues pour inclure la réglementation des pharmacies, des versions de vaccins, des rappels de médicaments, des installations illégales, des cosmétiques, des dispositifs médicaux et des suppléments nutritionnels. Il réglementerait également les écrans solaires et autres produits de santé.

Un aspect clé de la législation serait la création de la National Drug and Health Products Authority pour superviser la fabrication, l’enregistrement et la distribution des médicaments, ainsi que des essais cliniques et des dispositifs médicaux.

Dans les remarques publiées par le site officiel de l’Assemblée législative, le ministre a déclaré au Parlement: «La loi de 1993 est dépassée. Avec les nouvelles technologies, les professions de la santé en évolution et les normes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), notre cadre réglementaire doit se moderniser.»

«Nos citoyens sont confrontés à des risques de drogues, de cosmétiques et d’appareils non réglementés. Ce projet de loi donne à l’Ouganda de réglementer, tester et rappeler des produits nocifs, protéger la santé publique», a-t-elle ajouté... - Lire cet article


Un médecin du privé pour une meilleure organisation de la disponibilité des médicaments - 13/09/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 13 sept (APS) – L’endocrinologue Awa Mbow Kane préconise une meilleure gestion de la disponibilité des médicaments, au regard des difficultés rencontrées notamment par les médecins opérant dans le privé pour accéder aux intrants nécessaires aux soins dont les patients ont besoin.

La loi 2023-06 du 13 juin 2023 relative aux médicaments et autres produits de santé “place le médicament au centre de toute la problématique de la santé”, mais la “problématique essentielle, c’est celle du patient et des populations”, a déclaré le docteur Kane.

Elle prenait part à une table ronde sur la loi 2023-06 du 13 juin 2023 relative aux médicaments et autres produits de santé, à l’occasion de l’assemblée générale du Syndicat des médecins privés du Sénégal (SYMEPS), tenue samedi à Dakar.

Selon docteur Awa Mbow Kane, c’est le patient qui doit être au cœur des préoccupations des hôpitaux, des établissements privés de santé et même du ministère de la Santé.

L’objectif commun doit être de préserver la santé des populations, dit-elle, en soulignant que cela passe par une organisation de la disponibilité des médicaments.

“Or, ajoute cette endocrinologue opérant elle-même dans le privé, cette loi comporte toutes sortes d’interdictions et toutes sortes de difficultés, et fait en sorte que la disponibilité” de certains médicaments “n’est plus une réalité”.

Awa Mbow Kane estime qu’il devient “extrêmement compliqué pour les structures privées de santé et même pour les établissements publics de santé, de mettre à disposition du patient […]” les médicaments dont il a besoin... - Lire cet article


Souveraineté pharmaceutique : Téranga Pharma met 4 milliards de FCfa pour la modernisation de son usine - 12/09/2025 - Le soleil - Sénégal

Alors que le Sénégal a l’ambition de produire localement un médicament sur deux d’ici 2035, Téranga Pharma se positionne comme un acteur clé dans la relance de l’industrie pharmaceutique nationale. Hier, à la zone industrielle de Mbao, l’entreprise a lancé le projet de modernisation de son usine. Un investissement de 4 milliards de FCfa sera mobilisé entre octobre 2025 et mars 2027.

RUFISQUE – « Nous sommes réunis pour marquer le point de départ de la contribution de Téranga pharma à la longue marche vers la souveraineté pharmaceutique », a indiqué, hier, son Président du conseil d’administration (Pca), Aimé Sène, lors du lancement de la modernisation de son usine. La cérémonie a été présidée par le ministre de l’Industrie et du Commerce (Mincom), Dr Serigne Gueye Diop, et lse directeur de cabinet du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, Samba Cor Sarr. Selon le Pca de Téranga pharma, cette évolution s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de l’axe 3 du plan stratégique 2020-2030 défini par l’entreprise.

Ainsi, renseigne-t-il, un investissement à hauteur de 4 milliards de FCfa est prévu entre octobre 2025 et mars 2027. Aimé Sène annonce que l’inauguration de la nouvelle usine moderne, qui, d’après lui, sera conforme aux normes Oms, se fera au cours du premier trimestre 2027. Le directeur de Téranga pharma, Mouhamadou Sow, souligne que ce projet est guidé par une logique de santé publique, autrement dit, « répondre aux besoins des populations à des coûts réduits ».

À cet effet, il précise que cet ambitieux projet aura un impact aussi bien sur le plan économique que sanitaire à travers la quête de la souveraineté pharmaceutique. « En décembre 2026, l’usine va générer 306 emplois directs. Elle permettra de réduire les importations à plus de 25 milliards de FCfa par an à partir de 2027 et à plus de 50 milliards de FCfa par an à partir de 2030 », a-t-il dit.

Outre ce projet qui inclut un transfert de technologie, il vise à réduire les coûts des médicaments 2027-202 ? et à proposer des traitements sûrs, efficaces, de qualité à coût abordable pour traiter 90 % des maladies les plus fréquentes au Sénégal. « D’ici 2030, nous voulons arriver à avoir une souveraineté pharmaceutique pour 75 molécules qui vont combattre les maladies fréquentes », ambitionne-t-il... - Lire cet article


Sanofi : Rami Mroueh nommé Président Directeur Général - 11/09/2025 - Pharmacie.ma - Maroc

Dans un communiqué daté du 10 septembre, Sanofi a annoncé la nomination de Rami Mroueh au poste de Président Directeur Général de Sanofi Maroc.

Basé à Casablanca, il a officiellement pris ses fonctions le 1er septembre 2025. En plus de ses responsabilités au Maroc, il supervisera également les activités de Sanofi Pharma (médecine générale et spécialités) en Tunisie et en Libye. Il succède à Najla Cherif Hamdi.

Pharmacien de formation et diplômé de l’EM Lyon Business School, Rami Mroueh a rejoint Sanofi en 2008. Au cours de sa carrière, il a exercé diverses fonctions industrielles (production et qualité), commerciales et managériales en France ainsi qu’à l’international, notamment en Ukraine et en République tchèque. Depuis 2023, il occupait le poste de Directeur Général de l’activité vaccins pour la République tchèque, basé à Prague.... - Lire cet article


Un infectiologue sénégalais élabore un guide d’antibiothérapie - 10/09/2025 - Agence de Presse Sénégalaise - Sénégal

Dakar, 10 sept (APS) – Le professeur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses du centre national hospitalier universitaire de Fann, a annoncé mercredi avoir préparé un guide d’antibiothérapie destiné aux praticiens et dont l’ambition est de limiter les dégâts liés à la résistance aux antimicrobiens.

“Nous avons créé un guide d’antibiothérapie. Nous plaidons pour que ce guide puisse être utilisé pour la confection d’applications. Ces applications pourront être téléchargées sur les téléphones”, a expliqué le professeur Seydi.

S’exprimant en marge de la journée de plaidoyer et de sensibilisation sur la résistance aux antimicrobiens, il a indiqué que ce guide pourrait être consulté en urgence, car “ce n’est pas tout le temps qu’on peut aller voir des livres, ou autres documents. Parfois, il faut agir en urgence, de manière pragmatique”.

L’universitaire a aussi relevé que la sensibilité des bactéries aux antibiotiques peut changer d’année en année, insistant sur la nécessité “d’une mise à jour des données”.

“Autre chose, c’est qu’il faut, au niveau des structures, que les responsables puissent prendre des décisions”, a ajouté le professeur Seydi.

“Si elles n’existent pas, le personnel ne peut pas faire un sondage urinaire dans les règles, ne peut pas faire une pension plurale, ne peut pas faire certains gestes médicaux. Et ces gestes non faits dans les règles peuvent entraîner des infections”, a expliqué le spécialiste.

Le chef du service des maladies infectieuses du CHU de Fann a aussi invité le ministère de tutelle à initier des messages d’alerte qui pourront être diffusés pour mieux sensibiliser les populations afin qu’elles sachent que “les antibiotiques peuvent constituer un danger pour la communauté”.

“Il faut que les antibiotiques ne puissent pas être vendus, par exemple, sans ordonnance. Il faut éliminer les sites où on vend illicitement ces antibiotiques”, a souligné l’infectiologue... - Lire cet article




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