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Du 3 au 4 juillet 2025, la Salle de conférence de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire à Cocody accueille l’atelier bilan du projet CLICQ en vue du partage des succès obtenus sur l’amélioration de la prise en charge des malades tuberculeux. Les bons résultats et bonnes pratiques initiées ont été présentée.
Ce projet a permis d’améliorer la notification des cas de tuberculose et la mise sous traitement effectives des malades identifiés. Les malades VIH et atteint de Tuberculose ont été ciblés par ce projet. Le projet CLICQ est financé par CDC PEPFAR, avec l’assistante technique de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) et de Business Spring Consulting (BSC) et le soutien institutionnel du Programme National de lutte contre la Tuberculose (PNLT).
Une trentaine de participants, issus des sites Centres Antituberculeux et d’hôpitaux d’Abidjan, seront réunis pour cette occasion.
Ces acteurs clés des soins ont déjà participé aux deux sessions d’apprentissage du programme, visant à garantir la continuité du processus d’apprentissage et à mettre en œuvre des actions concrètes d’amélioration de la qualité sur les sites concernés.
L’objectif principal de ce programme est de renforcer les compétences du personnel clinique et de laboratoire, afin d’optimiser l’utilisation des données cliniques et de réduire les lacunes identifiées à chaque étape du parcours des patients.
Grâce à l’appui du Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT), du Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) et des partenaires de mise en œuvre du PEPFAR, des lacunes critiques dans la cascade de soins de la tuberculose ont été identifiées sur cinq sites pilotes : CAT d’Adjamé, CAT de Koumassi, Hôpital Militaire d’Abidjan, Hôpital Général de Port Bouët et Hôpital Général Privé CEPREF.
Cet atelier représente une étape cruciale pour garantir l’efficacité des interventions et améliorer significativement la prise en charge des patients. - Lire cet article
Denk Pharma souligne son engagement en faveur de la « qualité made in Germany » à la suite d'une récente étude sur les médicaments de qualité inférieure en Afrique.
Denk Pharma, une entreprise pharmaceutique internationale qui se consacre à la fourniture de médicaments de qualité supérieure « Made in Germany », souligne le besoin urgent en produits pharmaceutiques sûrs et efficaces en Afrique à la suite d'une récente étude systématique révélant des taux élevés de médicaments de qualité inférieure et de médicaments falsifiés. L'étude d'Asrade Mekonnen B. et al, publiée dans le Journal of Pharmaceutical Policy and Practice, a analysé 7 592 échantillons de médicaments dans toute l'Afrique.
Les principales conclusions sont les suivantes :
- Une prévalence globale de 22,6 % pour les médicaments de qualité inférieure ou falsifiés.
- En outre, 34,6 % des médicaments échantillonnés n'étaient pas enregistrés ou ne bénéficiaient pas d’une autorisation dans les pays respectifs.
- Les médicaments de qualité inférieure, falsifiés, et non enregistrés les plus fréquemment signalés étaient les antibiotiques (44,6 %), les antipaludéens (15,6 %), les antihypertenseurs (16,3 %) et les anthelminthiques/antiprotozoaires (60,7 %).
La circulation de médicaments de mauvaise qualité présente de graves risques pour les patients et les prestataires de soins de santé, notamment des risques d’échecs thérapeutiques, de développement d'une résistance aux médicaments et d’augmentation de la morbidité et de la mortalité. Selon les estimations de l'Organisation mondiale de la Santé, des centaines de milliers de décès en Afrique subsaharienne sont liés à des médicaments inefficaces ou nocifs chaque année.
À la lumière de ces conclusions, Denk Pharma réaffirme son engagement de longue date en faveur des produits pharmaceutiques « Made in Germany » et de la sécurité des patients. Tous les produits Denk Pharma sont fabriqués en Allemagne dans le strict respect des bonnes pratiques de fabrication (BPF) et de distribution (BPD), testés par lots dans des laboratoires certifiés et autorisés par les autorités sanitaires compétentes, telles que l'EMA, le BfArM, le gouvernement de Haute-Bavière et les autorités de chacun des marchés de vente.
« Nous avons toujours accordé la priorité à la sécurité et à la confiance des professionnels de santé et des patients », déclare Tarja Neuwirth, directrice générale de Denk Pharma. « Cette nouvelle étude démontre une fois de plus à quel point il est essentiel de s'assurer que les médicaments répondent aux normes strictes de qualité, d'efficacité et de conformité réglementaire. Notre objectif est de fournir aux médecins et aux pharmaciens des produits fiables auxquels les patients peuvent faire confiance, quel que soit leur lieu de résidence. »
Denk Pharma invite les journalistes et les rédacteurs en chef de revues scientifiques d'Ouganda, du Ghana, du Sénégal, de Côte d'Ivoire et d'autres pays africains à participer à un webinaire sur ce sujet. L'événement aura lieu le 10 juillet à 11 h 00 (UTC) et permettra de découvrir les conclusions de l'étude, ainsi que des conseils pratiques sur la manière dont des médicaments vérifiés et de haute qualité peuvent contribuer à protéger la santé des patients. L'événement aura lieu en anglais. Inscrivez-vous via le lien : https://www.denk-connected.de/howtrustedpharmaceuticalsqualitymadeingermanyprotectpatientlives
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Du 30 juin au 2 juillet 2025, Lomé, la capitale togolaise, accueille la réunion régionale du Réseau 4S (syndrome sentinel surveillance system), rassemblant les points focaux de onze pays d’Afrique de l’Ouest.
Cet événement stratégique, présidé par le secrétaire général du ministère de la santé et hygiène publique du Togo, Dr Kokou Wotobe, vise à renforcer la coopération régionale en matière de surveillance épidémiologique.
Parmi les participants, la Côte d’Ivoire se distingue par la présence de deux représentants : Professeur Meité Syndou de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire et Dr Éboua Nguetta Emilienne de l’Institut National d’Hygiène Publique
La participation active de la Côte d’Ivoire à la réunion régionale du Réseau 4S à Lomé montre à quel point le pays s’engage à anticiper les crises sanitaires et à renforcer la coopération régionale.
La présence du Professeur Meité Syndou et du Dr Éboua Nguetta Emilienne illustre l’expertise nationale mobilisée pour des enjeux transfrontaliers.
La Côte d’Ivoire, en tant que pays invité, réaffirme son engagement à contribuer activement à la sécurité sanitaire collective en Afrique de l’Ouest.
L’objectif général de cette réunion est de faire le bilan des activités de surveillance sentinelle des données de l’ouverture des sites sentinelles dans les pays au 20 juin 2025 avec toutes les parties prenantes. Plus spécifiquement de partager la situation épidémiologique des pathogènes sous surveillance (virus respiratoires, arbovirus et fièvres hémorragique virale) dans les pays membres du réseau 4S régional de présenter la nouvelle plateforme régionale de collecte des données (WALIP) et discuter des modalités de partages des données. En plus de cela d’analyser les performances du réseau de surveillance sentinelle et les capacités des laboratoires, de présenter la stratégie régionale de transport des échantillons biologiques et d’analyser les défis et les perspectives et d’élaborer un plan d’action sous régional.
Le Directeur général de l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), Professeur Melchior Athanase Joël, a rappelé l’importance d’anticiper les crises sanitaires, en s’appuyant sur les leçons tirées de la pandémie de COVID-19. La plateforme WALIP marque une avancée majeure pour la collecte et l’analyse des données épidémiologiques à l’échelle régionale.
Cette rencontre s’inscrit dans un cadre plus large de renforcement des systèmes de santé en Afrique de l’Ouest, avec des objectifs ambitieux fixés pour 2050.
Les discussions devraient aboutir au renforcement du 4S avec élargissement du système au pays comme la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Nigeria ect . L’approche collective face aux menaces sanitaires est un signal fort d’unité et de résilience. - Lire cet article
Le Réseau Accès aux Médicaments Essentiels (RAME) a le plaisir de partager la synthèse de ses principales réalisations pour l’année 2024. Cette présentation met en lumière les projets phares pilotés par le RAME, les activités stratégiques menées ainsi que les résultats significatifs obtenus au bénéfice des communautés et des systèmes de santé au Burkina Faso.
Depuis sa création, le RAME œuvre sans relâche pour un accès équitable à des soins de santé de qualité à travers la veille citoyenne, le plaidoyer, la production d’évidences et le renforcement des capacités des acteurs de la société civile. L’année 2024 n’a pas dérogé à cette mission : grâce à l’engagement de ses équipes, au soutien de ses partenaires et à l’implication des communautés, nous avons pu réaliser 12 interventions majeures.
Nous tenons à exprimer nos sincères remerciements à l’ensemble de nos partenaires techniques et financiers, aux organisations de la société civile et aux bénéficiaires, sans qui ces avancées n’auraient été possibles. - Lire cet article
La population de l'Afrique devrait doubler d'ici 2050 et il est tout à fait intenable de dépendre à près de 100 % des médicaments importés, compte tenu de l'ampleur des besoins médicaux auxquels le continent est confronté. La Chine offre des enseignements essentiels sur la manière dont l'Afrique peut se préparer à relever ce défi.
Pendant des décennies, la montée en puissance de la Chine dans le secteur manufacturier s'est accompagnée de préoccupations persistantes quant à la qualité des produits, en particulier dans des domaines critiques tels que la sécurité alimentaire, les produits pharmaceutiques et les biens industriels haut de gamme. Malgré sa position dominante dans les chaînes d'approvisionnement mondiales, le pays a longtemps souffert d'une réputation de normes incohérentes, de matériaux de qualité médiocre et d'une application insuffisante de la réglementation.
Pourtant, cette réputation est en train de changer rapidement. Selon l'analyse de Fareed Zakaria dans Global Briefing, la Chine s'attaque systématiquement à ses déficits historiques en matière de qualité. Le pays a lancé une campagne sans relâche pour améliorer les cadres réglementaires et faire respecter la conformité dans tous les secteurs. Qu'il s'agisse de la refonte des processus d'approbation des produits pharmaceutiques ou du contrôle de la qualité de la fabrication par l'IA, la Chine fait preuve d'un engagement à long terme en faveur de l'excellence. Les agences de régulation ont été habilitées à sévir contre les médicaments contrefaits et les pratiques alimentaires dangereuses, et des investissements importants sont consacrés aux infrastructures d'assurance qualité et à la formation.
Le changement n'est pas seulement bureaucratique. Il est stratégique. Un article du Financial Times rédigé par Edward White et Harry Dempsey montre comment les fabricants occidentaux, longtemps protégés de la concurrence chinoise pour des raisons de qualité, sont désormais confrontés à de sérieux rivaux. "La mauvaise nouvelle, du moins pour l'Occident et ses entreprises, c'est que la Chine s'attaque à ces problèmes de manière méthodique et systématique", indique le rapport. Les entreprises européennes, japonaises et américaines tirent la sonnette d'alarme car les producteurs chinois commencent à rivaliser avec leur précision et leur régularité, en particulier dans des secteurs tels que la fibre de carbone, les roulements à billes et l'électronique... - Lire cet article
L’Algérie occupe une position stratégique sur le continent africain en matière de production pharmaceutique. Avec 218 installations industrielles sur les 600 recensées à travers l’Afrique, le pays a développé une capacité de production remarquable, lui permettant de satisfaire 79% de sa consommation nationale de médicaments.
Cette autonomie croissante est un atout majeur pour réduire la dépendance aux approvisionnements extérieurs. Cependant, malgré cette progression industrielle notable, les finances publiques algériennes subissent des pressions budgétaires considérables dans le secteur de la santé. Les révélations d’Abdelhafid Jeghri, responsable des prestations à la CNAS illustrent l’ampleur des enjeux financiers auxquels est confronté le système de protection sociale du pays.
Une explosion des coûts des médicaments
Les chiffres communiqués révèlent que les remboursements de produits pharmaceutiques ont absorbé 300 milliards de dinars du budget de la CNAS en 2024, soit près de la moitié de l’enveloppe totale de 630 milliards dédiée aux prestations sociales. Cette évolution place les dépenses médicamenteuses en tête des coûts, devant tous les autres risques traditionnellement couverts par l’assurance maladie. L’augmentation des pathologies chroniques, touchant 5,8 millions de patients parmi les 30 millions de bénéficiaires, en est l’une des raisons... - Lire cet article
Face à une situation jugée préoccupante, avec plus de 600 médicaments actuellement en rupture de stock dans les pharmacies marocaines, la Fédération marocaine des droits du consommateur réclame une intervention rapide.
Une pénurie alarmante frappe actuellement les pharmacies marocaines, suscitant l’inquiétude des professionnels de santé, des patients et des associations de consommateurs. Plus de 600 références de médicaments seraient en rupture de stock à l’échelle nationale, selon un communiqué récemment publié par la Fédération marocaine des droits du consommateur.
L’organisation se dit profondément préoccupée par cette situation qui touche des traitements essentiels, notamment ceux destinés aux maladies chroniques, aux infections et aux troubles de santé mentale. Parmi les médicaments les plus concernés figurent ceux utilisés contre le diabète, l’hypertension, les maladies cardiovasculaires, les cancers, ainsi que diverses affections neurologiques.
Dans un communiqué, la Fédération dénonce une crise pharmaceutique majeure qui compromet le droit fondamental à la santé et à l’accès équitable aux soins. Elle souligne que « les scènes de patients contraints de multiplier les visites en pharmacie pour trouver des traitements contre le diabète, l’hypertension artérielle, les maladies cardiovasculaires, neurologiques ou certaines formes de cancer sont devenues le triste reflet quotidien d’un système de régulation pharmaceutique défaillant ».
En d’autres termes, ce sont des médicaments indispensables au quotidien de centaines de milliers de Marocains. Face à leur raréfaction, de nombreux patients sont contraints de faire le tour de plusieurs officines, dans l’espoir de mettre la main sur leur traitement. Certains finissent par les trouver, mais à des prix parfois doublés ou triplés, tandis que d’autres restent bredouilles, mettant en péril leur suivi médical et leur état de santé.
Cette indisponibilité grandissante des produits pharmaceutiques met en lumière une crise silencieuse mais aux conséquences bien réelles sur la santé publique. En plus de compromettre le suivi thérapeutique de nombreux patients, elle alimente un sentiment d’abandon chez les plus vulnérables et fragilise la relation de confiance entre les citoyens et le système de santé... - Lire cet article
Le secteur pharmaceutique burkinabè s’enrichit d’un nouvel acteur. Le lancement officiel des activités de K-Pharma, établissement pharmaceutique de vente en gros, s’est tenu ce samedi 28 juin 2025, à Ouagadougou.
K-Pharma se positionne au deuxième niveau de la chaîne de distribution, avec pour clients les établissements pharmaceutiques de distribution en gros. Sa mission est d’assurer la mise à disposition régulière de médicaments essentiels et de produits de santé de qualité, sécurisés et équitables, en conformité avec la réglementation pharmaceutique du Burkina Faso.
En s’inscrivant dans la dynamique nationale de renforcement du système de santé, K-Pharma entend contribuer à la réduction des pénuries de médicaments, à la continuité des soins et à la construction d’un modèle économique durable et responsable dans le secteur de la santé.
Représentant le ministre en charge de la santé, le directeur de cabinet dudit ministère a salué l’initiative des promoteurs de K-Pharma. Dans son discours, il a souligné que le Burkina Faso, à l’instar de nombreux pays africains, fait face à des défis persistants en matière d’accès aux soins et aux médicaments de qualité, en particulier dans les zones rurales.
« Il y a toute une gamme de produits pharmaceutiques disponibles et déjà présents sur le terrain tels que des antibactériens, des antiparasitaires, des antalgiques, des solutés, des consommables, etc. Tous ces produits sont en lien direct avec le profil épidémiologique de notre pays et répondent aux besoins prioritaires en matière de prise en charge des patients. Nous sommes donc ici pour saluer cela et témoigner notre solidarité à de telles initiatives. Nous voulons aussi relayer les attentes du ministère et de la population, notamment en termes de disponibilité effective sur le terrain et d’accessibilité, qu’elle soit géographique ou financière, au profit de toutes les populations, y compris celles vivant en zones rurales. L’objectif est de réduire autant que possible les inégalités d’accès aux soins », a précisé le représentant du ministre en charge de la santé, par ailleurs son directeur de cabinet, Dr Adjima Combary... - Lire cet article
L’Institut Pasteur de Bangui (IPB), se félicitant d’une avancée majeure dans la lutte contre la tuberculose multi-résistante avec le traitement BPaLM, en République centrafricaine (RCA), met également en exergue, dans un communiqué rendu public ce dimanche 29 juin, les défis logistiques dans la livraison des médicaments.
Le traitement révolutionnaire BPaLM, un protocole thérapeutique de six mois, entièrement oral et avec moins d’effets secondaires, a démontré un taux de guérison exceptionnel de 100 % dans une étude récente menée à Bangui, informe le document.
Cependant, cette réussite serait assombrie par le fait que deux patients diagnostiqués seraient décédés avant même de pouvoir commencer le traitement, en raison d’une rupture de stock de médicaments dans le pays, déplore l’IPB qui évoque carrément «un drame» humanitaire.
Pour l’Institut Pasteur, ce paradoxe met en lumière les défis logistiques et économiques persistants dans la livraison de soins essentiels, même lorsque des traitements efficaces existent.
Soulignant qu’«un traitement efficace à 100 % a une efficacité réelle de 0% s’il ne parvient pas jusqu’au lit du malade », l’IPB invite l’ensemble des acteurs de la santé publique, les partenaires techniques et financiers, ainsi que la communauté internationale, à renforcer les systèmes de santé, garantir des chaînes d’approvisionnement fiables et assurer un accès équitable aux innovations médicales comme le régime BPaLM... - Lire cet article
Alors que les traitements contre le cancer évoluent rapidement, l’absence d’un cadre réglementaire clair sur l’usage et l’interchangeabilité des médicaments biosimilaires continue de soulever de nombreuses interrogations dans le corps médical.
Peut-on substituer un biosimilaire à un princeps sans directive officielle et sans informer les patients ? Le pharmacien peut-il intervenir en l’absence du prescripteur ? Peut-il remplacer un produit prescrit par un autre équivalent sans autorisation explicite ? Quels sont les critères pour autoriser le switch ? Ces questions ont été au cœur des débats lors d’une rencontre scientifique organisée, samedi à Alger, par les laboratoires El Kendi et qui a réuni plus de 200 spécialistes en oncologie, pharmacie hospitalière et santé publique.
Axée sur les évolutions récentes de la prise en charge du cancer en Algérie, cette manifestation a mis un accent particulier sur le cancer colorectal et le rôle croissant des médicaments biosimilaires, reconnus pour leur efficacité thérapeutique équivalente à moindre coût. S’ils représentent une opportunité majeure pour améliorer l’accès aux traitements, l’absence de textes réglementaires encadrant leur substitution et leur usage en routine clinique préoccupent les spécialistes.
Les participants locaux et de l’étranger ont échangé autour des enjeux médicaux, économiques et éthiques liés à ces traitements. Les débats ont permis de confronter les expériences et de pointer les avancées comme les lacunes du système national. La rencontre a notamment été l’occasion d’appeler à une clarification réglementaire urgente, jugée indispensable pour sécuriser les pratiques et garantir une prise en charge cohérente des patients... - Lire cet article
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